UN GRAND MERCI POUR CE BULLETIN SPÉCIAL CONCERNANT NOS ARMÉES EN CE JOUR MÉMORABLE DU 11 NOVEMBRE.
L'ennemi principal de nos armées est l'inflation, celle-ci mange sur la durée 25% de nos budgets alloués à notre défense nationale. C'est notre part des anges budgétaire. En priorité arrive notre arme nucléaire indépendante avec toute la logistique qu'elle comprend pour environ trois cents têtes nucléaires. Ceci représente un autre 25% de nos budgets nationaux digérés par seulement trois jeux de missiles balistiques intercontinentaux (ce qui représente que 48 missiles) pour nos quatre sous marins SNLE. Plus les cinquante quatre missiles supersoniques nucléaires adaptables sur nos Rafale de l'armée de l'air et de la marine nationale véhiculés sur notre seul porte-avions. L'indépendance nucléaire a un coût exorbitant, vous pouvez jouter le domaine spatial et sa dimension militaire.
A la sortie, il vous reste 50% des budgets pour faire fonctionner tout le reste des autres armées avec une zone économique exclusive maritime grande comme la Sibérie !!! La France étant à la fois une puissance continentale européenne et une puissance maritime mondiale et spatiale, l'équation budgétaire est quasiment insoluble à résoudre avec la politique des ces trente dernières années. A la chute de l'URSS en 1991, on a décidé de réduire la voilure militaire, on a investi dans le social et la construction européenne, les fameuses dividendes de la paix. On a donné la priorité à la projection de nos armées dans des guerres dissymétriques. C'est à dire contre des ennemis ayant une technologie militaire inférieure à la nôtre sur des continents hors européens. La Russie revenant dans le cœur du débat avec notre fiasco ukrainien, faut faire machine arrière à présent. Comme quoi la Russie décide du destin du continent européen mêlé aux intérêts de l'oncle Sam du moment.
Autre variable d'importance politique à prendre en considération ; Sarkozy nous a ramenés dans le commandement intégré de l'Otan en 2009. De Gaulle nous en avait fait sortir à partir du moment où nous étions pleinement possesseur de notre arme nucléaire en 1966. A ce titre, Sarkozy a supprimé un escadron nucléaire à notre armée de l'air dès 2010. On avait déjà perdu un sous marin nucléaire lanceur d'engins par le passé, de cinq on est passé à quatre. En 2008, toujours sous Sarkozy, un plan de retrait africain avait été programmé, il était prévu de rester au Gabon et à Djibouti. C'est pleinement réalisé sous l'ère Macron, la Libye en 2011 (toujours sous Sarkozy) et ses conséquences a retardé ce plan de retrait de nos armées en Afrique. La Russie nous remplace dans notre ancien pré carré africain. Seulement à cette heure, Bamako est une nouvelle fois encerclée par des djihadistes, retour à la case départ pour les maliens. Quant à Macron, il finit d'achever notre arme nucléaire en voulant la partager, tout cela dans un but fédéraliste chimérique européen. Faut bien qu'il essaie de se rattraper aux branches en essayant de se donner de l'importance dans sa piteuse fin de règne, encore une fois cela sert sa petite personne et pas les intérêts stratégiques du pays.
En août 1914, l'armée française d'active compte 800.000 hommes et la mobilisation porte à 3 580 000 soldats rejoignant des forces combattantes pour une population totale d'environ 40 millions d'habitants. Soit seulement 20% de moins que l'armée allemande, alors que l'Allemagne était déjà deux fois plus peuplée que la France et Berlin va s'occuper de deux fronts simultanément au commencement de la guerre.
En septembre 1939, on avait mobilisé près de 5 millions d'hommes pour 41 millions d'habitants, mais seulement la moitié de cette mobilisation est combattante, l'armée comptait un effectif total de 2.274.000 soldats, c'est moins qu'en 1914. Par contre, l'Allemagne étant toujours deux fois plus peuplée que la France en 1939 car elle a regagné tous ses territoires ancestraux perdus lors du traité de Versailles.
Aujourd'hui, on ne pourrait pas refaire des mobilisations aussi importantes puisque les casernes et la conscription obligatoire pour tous sans exception n'existent plus depuis la fin des années 90. De même on imagine l'argent que cela coûterait pour tout recommencer alors que les finances de la France ne le permettent plus depuis bien longtemps.
Peut-être qu'en ce moment, les CDU (Cdt d'unité - capitaine) établissent des listes de volontaires pour partir en intervention .... comme au 2nd semestre 1990 - compter les volontaires parmi les "engagés" pour partir dans le Golfe !!!... voir certains déposer leur brevet sur une table, en attendant le passage de la tempête.
Petit commentaire suite à cette parution ??? https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000052472683?isSuggest=true
UN GRAND MERCI POUR CE BULLETIN SPÉCIAL CONCERNANT NOS ARMÉES EN CE JOUR MÉMORABLE DU 11 NOVEMBRE.
RépondreSupprimerL'ennemi principal de nos armées est l'inflation, celle-ci mange sur la durée 25% de nos budgets alloués à notre défense nationale. C'est notre part des anges budgétaire.
En priorité arrive notre arme nucléaire indépendante avec toute la logistique qu'elle comprend pour environ trois cents têtes nucléaires. Ceci représente un autre 25% de nos budgets nationaux digérés par seulement trois jeux de missiles balistiques intercontinentaux (ce qui représente que 48 missiles) pour nos quatre sous marins SNLE. Plus les cinquante quatre missiles supersoniques nucléaires adaptables sur nos Rafale de l'armée de l'air et de la marine nationale véhiculés sur notre seul porte-avions. L'indépendance nucléaire a un coût exorbitant, vous pouvez jouter le domaine spatial et sa dimension militaire.
A la sortie, il vous reste 50% des budgets pour faire fonctionner tout le reste des autres armées avec une zone économique exclusive maritime grande comme la Sibérie !!!
La France étant à la fois une puissance continentale européenne et une puissance maritime mondiale et spatiale, l'équation budgétaire est quasiment insoluble à résoudre avec la politique des ces trente dernières années.
A la chute de l'URSS en 1991, on a décidé de réduire la voilure militaire, on a investi dans le social et la construction européenne, les fameuses dividendes de la paix.
On a donné la priorité à la projection de nos armées dans des guerres dissymétriques. C'est à dire contre des ennemis ayant une technologie militaire inférieure à la nôtre sur des continents hors européens.
La Russie revenant dans le cœur du débat avec notre fiasco ukrainien, faut faire machine arrière à présent. Comme quoi la Russie décide du destin du continent européen mêlé aux intérêts de l'oncle Sam du moment.
Autre variable d'importance politique à prendre en considération ; Sarkozy nous a ramenés dans le commandement intégré de l'Otan en 2009.
De Gaulle nous en avait fait sortir à partir du moment où nous étions pleinement possesseur de notre arme nucléaire en 1966. A ce titre, Sarkozy a supprimé un escadron nucléaire à notre armée de l'air dès 2010. On avait déjà perdu un sous marin nucléaire lanceur d'engins par le passé, de cinq on est passé à quatre.
En 2008, toujours sous Sarkozy, un plan de retrait africain avait été programmé, il était prévu de rester au Gabon et à Djibouti. C'est pleinement réalisé sous l'ère Macron, la Libye en 2011 (toujours sous Sarkozy) et ses conséquences a retardé ce plan de retrait de nos armées en Afrique. La Russie nous remplace dans notre ancien pré carré africain. Seulement à cette heure, Bamako est une nouvelle fois encerclée par des djihadistes, retour à la case départ pour les maliens.
Quant à Macron, il finit d'achever notre arme nucléaire en voulant la partager, tout cela dans un but fédéraliste chimérique européen. Faut bien qu'il essaie de se rattraper aux branches en essayant de se donner de l'importance dans sa piteuse fin de règne, encore une fois cela sert sa petite personne et pas les intérêts stratégiques du pays.
Depuis quand la Russie est une menace pour la France ?
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/shorts/w4C0ZndGCUI
En août 1914, l'armée française d'active compte 800.000 hommes et la mobilisation porte à 3 580 000 soldats rejoignant des forces combattantes pour une population totale d'environ 40 millions d'habitants. Soit seulement 20% de moins que l'armée allemande, alors que l'Allemagne était déjà deux fois plus peuplée que la France et Berlin va s'occuper de deux fronts simultanément au commencement de la guerre.
RépondreSupprimerEn septembre 1939, on avait mobilisé près de 5 millions d'hommes pour 41 millions d'habitants, mais seulement la moitié de cette mobilisation est combattante, l'armée comptait un effectif total de 2.274.000 soldats, c'est moins qu'en 1914.
Par contre, l'Allemagne étant toujours deux fois plus peuplée que la France en 1939 car elle a regagné tous ses territoires ancestraux perdus lors du traité de Versailles.
Aujourd'hui, on ne pourrait pas refaire des mobilisations aussi importantes puisque les casernes et la conscription obligatoire pour tous sans exception n'existent plus depuis la fin des années 90.
De même on imagine l'argent que cela coûterait pour tout recommencer alors que les finances de la France ne le permettent plus depuis bien longtemps.
Peut-être qu'en ce moment, les CDU (Cdt d'unité - capitaine) établissent des listes de volontaires pour partir en intervention .... comme au 2nd semestre 1990 - compter les volontaires parmi les "engagés" pour partir dans le Golfe !!!... voir certains déposer leur brevet sur une table, en attendant le passage de la tempête.
RépondreSupprimerPetit commentaire suite à cette parution ???
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000052472683?isSuggest=true