Un drone russe inhokodets, une version de frappe du drone Orion, vient de couler un drone naval ukrainien au large de la Crimée en lui lançant un missile ou une roquette guidée. La victime de ce tir serait peut être d'un drone naval de type MAGURA-V5 de la société ukrainienne Spetstekhnoexport, les images prises par le drone russe ne sont pas assez nettes pour confirmer le type de drone naval détruit lors de l'impact du missile.
Quoi qu'il en soit les russes font évoluer leur guerre navale en faisant participer du drone lourd à log rayon d'action équipés de missiles courte portée guidés ou des roquettes du même type. Au début du conflit, ce sont les SU-30 de la marine russe qui intervenaient pour tenter d'intercepter des drones navals ukrainiens au canon. Ensuite on a vu les hélicoptères russes s'en charger au canon ou avec des drones FPV kamikazes guidés par des dronistes à leur bord. Mais les ukrainiens ont équipé leurs drones navals lourds kamikazes de missiles antiaériens et un équipage de MI-8 russe en a fait les frais tout récemment. Alors, désormais, pour que la lutte soit plus économique et moins coûteuse en pertes humaines, ce sera un drone aérien intercepteur russe contre un drone naval kamikaze ukrainien au large de la Crimée.
En réponse aux frappes ukrainiennes sur des objectifs pétroliers et gaziers russes avec leurs drones longue portée, Moscou vient de répondre. Ils ont balancé des ISKANDER sur un complexe gazier à Poltova, résultat des courses, secousses mesurées jusqu'à 3.67 sur l'échelle de Richter. C'est la démonstration que les drones égratignent mais leur harcèlement épuise psychologiquement. Cependant, rien ne remplace la grosse artillerie de précision.
Un drone russe inhokodets, une version de frappe du drone Orion, vient de couler un drone naval ukrainien au large de la Crimée en lui lançant un missile ou une roquette guidée. La victime de ce tir serait peut être d'un drone naval de type MAGURA-V5 de la société ukrainienne Spetstekhnoexport, les images prises par le drone russe ne sont pas assez nettes pour confirmer le type de drone naval détruit lors de l'impact du missile.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit les russes font évoluer leur guerre navale en faisant participer du drone lourd à log rayon d'action équipés de missiles courte portée guidés ou des roquettes du même type.
Au début du conflit, ce sont les SU-30 de la marine russe qui intervenaient pour tenter d'intercepter des drones navals ukrainiens au canon.
Ensuite on a vu les hélicoptères russes s'en charger au canon ou avec des drones FPV kamikazes guidés par des dronistes à leur bord.
Mais les ukrainiens ont équipé leurs drones navals lourds kamikazes de missiles antiaériens et un équipage de MI-8 russe en a fait les frais tout récemment.
Alors, désormais, pour que la lutte soit plus économique et moins coûteuse en pertes humaines, ce sera un drone aérien intercepteur russe contre un drone naval kamikaze ukrainien au large de la Crimée.
En réponse aux frappes ukrainiennes sur des objectifs pétroliers et gaziers russes avec leurs drones longue portée, Moscou vient de répondre.
RépondreSupprimerIls ont balancé des ISKANDER sur un complexe gazier à Poltova, résultat des courses, secousses mesurées jusqu'à 3.67 sur l'échelle de Richter.
C'est la démonstration que les drones égratignent mais leur harcèlement épuise psychologiquement. Cependant, rien ne remplace la grosse artillerie de précision.