Sur Paix et Guerre, concernant l'affaire des missiles Taurus. Merz, le chancelier mal élu car mal aimé, a effectué un rétropédalage concernant l'envoi de missiles Taurus vers Kiev. Effectivement il faut l'aval de Washington car ces missiles contiennent des composants électroniques Made in USA, une loi d'extraterritorialité pouvant s'appliquer en cas de non respect de la volonté de Washington. L'Allemagne a un stock compris entre 400 et 500 missiles Taurus dont 250 seraient opérationnels. Il était prévu d'en envoyer 150 unités à l'Ukraine et pour se faire l'Angleterre les auraient achetés pour ensuite les renvoyer vers Kiev afin de dédouaner les allemands. Londres se chargeant de convaincre Washington afin de lever son véto. Tout cela est tombé à l'eau. Cependant Merz pour se rattraper renvoie 5 milliards d'euros d'aides à Kiev et se propose de construire ses futurs missiles de 2500 km de portée. Les seuls missiles ayant cette portée en Europe sont les Tomahawk américains. On comprend toujours pas où il veut en venir. Ce qui veut dire aussi que Kiev ne peut plus fabriquer grand chose, à part des drones et quelques véhicules blindés.
L’État profond néo-con serait en train de reprendre la main aux USA avec les propositions de Lyndsay Graham de taxer à 500% les pays achetant des hydrocarbures russes. Les ennemis de Steve Witkoff se sont mis ensemble pour essayer de l'étouffer et ainsi amoindrir son influence sur la Maison Blanche. Je viens de lire sur X que la cour fédérale des USA aurait interdit la mise en place des tarifs douaniers de Trump pour cause d'abus de pouvoir. Si cela est confirmé, on retournerait au scénario du premier mandat de Trump qui se fait savonner la planche par l’État profond. Quant à Elon Musk, il vient de finir son contrat de 130 jours à la tête de son fugace ministère. Dans quelques semaines on y verra plus clair sur la question ukrainienne de la part d'oncle Donald. Quoi qu'il en soit Trump avance plus vite sur les questions stratégiques du Moyen-Orient notamment avec les négociations iraniennes.
Sur Paix et Guerre, concernant l'affaire des missiles Taurus.
RépondreSupprimerMerz, le chancelier mal élu car mal aimé, a effectué un rétropédalage concernant l'envoi de missiles Taurus vers Kiev. Effectivement il faut l'aval de Washington car ces missiles contiennent des composants électroniques Made in USA, une loi d'extraterritorialité pouvant s'appliquer en cas de non respect de la volonté de Washington.
L'Allemagne a un stock compris entre 400 et 500 missiles Taurus dont 250 seraient opérationnels. Il était prévu d'en envoyer 150 unités à l'Ukraine et pour se faire l'Angleterre les auraient achetés pour ensuite les renvoyer vers Kiev afin de dédouaner les allemands. Londres se chargeant de convaincre Washington afin de lever son véto.
Tout cela est tombé à l'eau.
Cependant Merz pour se rattraper renvoie 5 milliards d'euros d'aides à Kiev et se propose de construire ses futurs missiles de 2500 km de portée. Les seuls missiles ayant cette portée en Europe sont les Tomahawk américains.
On comprend toujours pas où il veut en venir.
Ce qui veut dire aussi que Kiev ne peut plus fabriquer grand chose, à part des drones et quelques véhicules blindés.
L’État profond néo-con serait en train de reprendre la main aux USA avec les propositions de Lyndsay Graham de taxer à 500% les pays achetant des hydrocarbures russes. Les ennemis de Steve Witkoff se sont mis ensemble pour essayer de l'étouffer et ainsi amoindrir son influence sur la Maison Blanche.
Je viens de lire sur X que la cour fédérale des USA aurait interdit la mise en place des tarifs douaniers de Trump pour cause d'abus de pouvoir.
Si cela est confirmé, on retournerait au scénario du premier mandat de Trump qui se fait savonner la planche par l’État profond.
Quant à Elon Musk, il vient de finir son contrat de 130 jours à la tête de son fugace ministère.
Dans quelques semaines on y verra plus clair sur la question ukrainienne de la part d'oncle Donald.
Quoi qu'il en soit Trump avance plus vite sur les questions stratégiques du Moyen-Orient notamment avec les négociations iraniennes.