Ukraine : bilan de la journée du 13 novembre 2023 (Military Summary)


 

Commentaires

  1. Par contre, Zaloujny a raison dans son interview, il est difficile de faire quelque chose sur le champ de bataille quand on est épié de la sorte par tout l'attirail de détection, d'observation et de brouillage que possède chaque camp.
    De plus le terrain est miné, il est difficile d'avancer, de progresser, la météorologie va rendre les choses encore plus difficiles à présent.
    En attendant, les russes vont continuer leur poussée avec du grignotage, méthodiquement, lentement, sans se presser, pour avancer vers Seversk, Sloviansk, Kramatorsk et reprendre le terrain conquis aux ukrainiens cet été afin de leur donner un coup au moral au départ du printemps prochain.
    Les russes vont continuer à laisser les ukrainiens accoster le long de leur rive sur le Sud du front afin de continuer à les décimer.
    On ne voit pas de gros matériel de génie engagé par les ukrainiens, que des zodiacs avec des rames, pas de grands risques en somme pour les russes.

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  2. Pour intercepter un avion, il faut que l'avion chasseur ait une vitesse au moins 30% supérieure à l'avion qu'il poursuit afin de l'intercepter et l'avoir en visuel.
    Un F-16 chargé en fuel et équipé en armements pour une mission air-sol reste subsonique, il faut qu'il largue tout son attirail extérieur pour redevenir supersonique même à basse altitude. Mais il a une consommation très élevée en carburant, il ne peut rester supersonique longtemps au ras du sol.
    Un MIG-31 est le plus rapide de tous les intercepteurs sur terre et c'est lui qui possède aussi le plus haut plafond opérationnel.
    Ses missiles d'interception de dernière génération R-37M atteignent MACH 5.
    F-16 ou pas F-16, cela ne changera rien, si il est repéré, j'espère pour lui qu'il peut se faufiler dans le décors à l'abri du relief à grande vitesse pour espérer s'en sortir.

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