Comment peut on trouver scandaleux que la Russie annexe le Donbass tout en légitimant l' annexion du Kosovo par l'OTAN au dépend de la Serbie ? Et la Turquie membre de l' OTAN n' a-t-elle pas annexé une partie de Chypre ?
Merci pour ce point. Trump a les cartes en main à présent, il va lancer un ultimatum à Zelensky, c'est à prendre ou à laisser, c'est la paix ou tu te débrouilles seul avec l'UE et les russes. En 2024, les 61 milliards de dollars votés pour l'Ukraine par le congrès américain arrivent à leur fin à présent. Trump ne pouvait pas arrêter l'aide militaire d'un coup, surtout celle votée par le congrès, sinon c'était se faire passer pour le fossoyeur de l'Ukraine. Tandis que maintenant, Trump relance une solution de paix concrète avec les russes et les armes vont être achetées par les hurluberlus d'européens via l'Otan.
C'est Zelensky le mauvais garçon aujourd'hui qui refuse toute proposition de règlement du conflit suite à sa dernière déclaration avant de prendre l'avion pour Washington. Ses sponsors européens lui emboîtent le pas, donc ils refusent aussi les propositions de paix énoncées par l'oncle Sam. Par conséquent, Trump ne sera pas le fossoyeur de l'Ukraine puisqu'il n'arrête pas l'aide militaire mais financière qui doit être reprise par les européens qui en n'ont pas les moyens comme leur puissance militaire. Ce qui permet à Trump de se déresponsabiliser, de faire passer les européens pour des va t'en guerre sans moyens de réaliser leurs ambitions, c'est à dire les futurs fossoyeurs de l'Ukraine. De toute manière pour signer quelque chose de tangible avec les russes il faut se débarrasser de Zelensky qui n'est plus légitime et procéder à de nouvelles élections. Si bien que tout le monde tournait, tourne et tournera en rond en Occident avec cette signature à légitimer, étant pragmatique Trump prend la tangente.
Du côté américain on se dirige vers une ambiguïté stratégique au sujet de l'Ukraine à pas cher, c'est tout bénéfice, ils pourront réactiver le dossier quand ils le voudront. Ce n'est pas Trump qui signera de toute manière à la fin des opérations, il s'en fout, ce n'est pas sa guerre comme il aime à le clamer, lui c'est le business first.
Du côté russe, ils n'attendent pas grand chose de la solution de paix avec le trublion Zelensky et ses sponsors européens enlisés dans leur narratif guerrier envers eux. Comme ceci ils pourront devenir encore plus fort sur le terrain encore plus vite et monter leurs exigences pour la prochaine étape, celle de la dislocation du front. Les échanges réciproques de territoire proposés ne tiennent pas la route juridiquement face à la constitution russe. C'est l'ensemble administratif des 4 oblasts ou rien, c'est compliqué de revenir sur des référendums populaires et une ratification à la Douma. Sinon les russes copieraient l'Union Européenne avec ses référendums populaires en les ignorant. Ce qui posera un problème à terme car certains russophiles ne seront pas englobés dans la nouvelle Russie d'Ukraine décidée en 2022 ce qui provoquera des sérieux remous politiques en interne à Moscou. Faut se rappeler du retrait tactique russe de fin 2022 sur Kherson et Kharkov, certains civils pro-russes ont eu des problèmes avec les autorités ukrainiennes qui revenaient occuper le terrain. Déjà que le cas d'Odessa est litigieux.
Du côté européen, on continue l'humiliation, on a fait des promesses à Zelensky en avril 2022 que nous ne sommes pas capables de tenir sur la durée et Pustula von der la Hyène vient d'en remettre une couche avec cette promesse. A part l’émission de sanctions économiques futiles envers la Russie, rien. Il est à présent certain que le goudron et les plumes seront pour nous au bout du tunnel ukrainien.
Avant cette réunion Trump voulait asphyxier la Russie en surtaxant ceux qui comme la Chine ou l'Inde achètent du pétrole et gaz russe. Après cette réunion ExxonMobil va revenir en Russie pour pomper le pétrole de Sakhaline. Du coup Trump renonce à surtaxer la Chine et l'Inde. Conclusion: USA, Russie, Chine,Inde sortent gagnant......les européens eux sont cocus et 10 fois cocus.
Pour Jacques Baud, cette rencontre était la confirmation de la remise en route des nouvelles relations russo-américaines au cours de laquelle Poutine a pu expliquer à Trump les exigences russes sans intermédiaire. Trump a compris ce que voulaient les russes, d'où la disparition du cessez-le-feu inconditionnel clamé par l'Occident et la mise en place d'un accord global avant un cessez-le-feu. Trump n'est pas perdant, il garde la place de médiateur incontournable du conflit. Les perdants sont les européens qui vont essayer de persuader Zelensky de ne rien lâcher face à Trump. Pour les USA l'Europe fait partie du problème ukrainien. Les premiers échanges téléphoniques ne se sont pas bien passés à la suite de la réunion avec Poutine, ni avec Zelensky, ni avec les européens. Si l'Ukraine continue à écouter les européens elle sera détruite.
De toute manière les USA vont quitter le conflit d'une façon ou d'une autre, ils l'ont annoncé officiellement par la bouche de Vance car il est hors de question de continuer à payer pour un conflit resté coincé dans un cul de sac ne menant à rien. Les européens se retrouveront avec un conflit sur les bras qu'ils ne pourront assumer ce qui anéantira l'entité ukrainienne à terme si on se dirige vers cette direction.
On comprend mieux pourquoi la CIJ ne promulgue pas la reconnaissance d'un génocide à Gaza. Une vice présidente du tribunal du nom de Julia Sebutinde, une juriste ougandaise, dit que Dieu lui a confié la mission de protéger Israël et donc elle bloque toute reconnaissance juridique. Personne ne la débarque de son poste bien entendu.
A la page 115 du rapport de la Rand Corporation de 2019 dont le titre est Extending Russia, apparait le chapitre : comment exploiter les tensions dans le Sud du Caucase. La prise de contrôle des USA pour 99 ans du corridor de Zanguezour entre l’Azerbaïdjan et l'Arménie n'est donc pas anodine. C'est au stade commencement. A la page 103 de ce même rapport apparait le chapitre : apporter un large soutien aux rebelles syriens contre le régime de Bachar Al-Assad. Ça c'est fait. Les russes viennent de tirer sur une station pétrolière à Odessa appartenant à une compagnie pétrolière azerbaïdjanaise. Ils ont compris le message.
Merci pour cette édition, et pour Ma Dalton que je n’avais pas vu venir….😀. Le plus inquiétant, c’est que même si ils vont en tôle, les Dalton en sortent toujours très rapidement.
Tout politique - sans exception – est un Maitre dans l’Art de mentir, de manipuler. Je ne comprends pas la Russie, humiliée depuis 1990 par l’Occident. Les USA ont mis en œuvre un plan de destruction de ce territoire, de son histoire, de sa culture. Depuis février 2022, les USA + satellites UE tuent officiellement des soldats russes (+ 100 000 hos) – via ses renseignements, ses armes, ses munitions, ses entrainements (avt 2022)... Si la diplomatie est de parler avec tout le monde – y aurait-il des limites !??? La peau des soldats ne vaut vraiment rien.
Un pays neutre aurait regroupé sur son sol, USA (et sa bande) face à la Russie. Mais Trump semble imposer son tempo / son scénario / son show !!!
Il serait temps également de ne plus employer les termes de Ukraine / Russie MAIS OTAN / Russie.
Le "Patriotisme" est une « pilule hypnotique » ayant pour but d'envoyer chacun de nous défendre les intérêts des Puissants (Cf la chanson de Craonne) – cela a toujours été le cas depuis des millénaires. Le faible apporte ses mains, son travail, son sacrifice physique pour nourrir, distraire, enrichir, abriter le Fort, parfois, porter l’épée pour défendre son confort, accroitre sa puissance – sans que ce premier bénéficie des intérêts gagnés. Les Seigneurs / Rois / Politiques inventent des prétextes bidons, qui plus tard, sont entretenus par les historiens. Les guerres n’ont jamais eu de sens pour les peuples, seuls à toujours payer le prix fort, pour des intérêts qui leur sont étrangers. L’armée de mercenaires (type royale) trop chère, peu nbreuse, pas fiable si cessation de solde – il est impératif d'inventer un nouveau stratagème : l'impôt du sang. Au XIXème, cette stratégie est mise en œuvre. Dès l’école, via l’éducation civique, les esprits sont formatés, préparés au sacrifice ultime ; le Pouvoir, d'un claquement de doigts, décide de se servir de la vie d'une partie de son peuple ! Des prétextes / explications simplistes sont inventés, car les réelles intentions ne peuvent être dévoilées.
Un fanion, une écharpe dans un stade, un drapeau sur le champ de bataille…. Et des hochets pour pavoiser les poitrines, celles qui ont la chance de revenir !!!
Comment peut on trouver scandaleux que la Russie annexe le Donbass tout en légitimant l' annexion du Kosovo par l'OTAN au dépend de la Serbie ? Et la Turquie membre de l' OTAN n' a-t-elle pas annexé une partie de Chypre ?
RépondreSupprimerMerci pour ce point.
RépondreSupprimerTrump a les cartes en main à présent, il va lancer un ultimatum à Zelensky, c'est à prendre ou à laisser, c'est la paix ou tu te débrouilles seul avec l'UE et les russes.
En 2024, les 61 milliards de dollars votés pour l'Ukraine par le congrès américain arrivent à leur fin à présent. Trump ne pouvait pas arrêter l'aide militaire d'un coup, surtout celle votée par le congrès, sinon c'était se faire passer pour le fossoyeur de l'Ukraine. Tandis que maintenant, Trump relance une solution de paix concrète avec les russes et les armes vont être achetées par les hurluberlus d'européens via l'Otan.
C'est Zelensky le mauvais garçon aujourd'hui qui refuse toute proposition de règlement du conflit suite à sa dernière déclaration avant de prendre l'avion pour Washington.
Ses sponsors européens lui emboîtent le pas, donc ils refusent aussi les propositions de paix énoncées par l'oncle Sam. Par conséquent, Trump ne sera pas le fossoyeur de l'Ukraine puisqu'il n'arrête pas l'aide militaire mais financière qui doit être reprise par les européens qui en n'ont pas les moyens comme leur puissance militaire.
Ce qui permet à Trump de se déresponsabiliser, de faire passer les européens pour des va t'en guerre sans moyens de réaliser leurs ambitions, c'est à dire les futurs fossoyeurs de l'Ukraine. De toute manière pour signer quelque chose de tangible avec les russes il faut se débarrasser de Zelensky qui n'est plus légitime et procéder à de nouvelles élections. Si bien que tout le monde tournait, tourne et tournera en rond en Occident avec cette signature à légitimer, étant pragmatique Trump prend la tangente.
Du côté américain on se dirige vers une ambiguïté stratégique au sujet de l'Ukraine à pas cher, c'est tout bénéfice, ils pourront réactiver le dossier quand ils le voudront.
Ce n'est pas Trump qui signera de toute manière à la fin des opérations, il s'en fout, ce n'est pas sa guerre comme il aime à le clamer, lui c'est le business first.
Du côté russe, ils n'attendent pas grand chose de la solution de paix avec le trublion Zelensky et ses sponsors européens enlisés dans leur narratif guerrier envers eux.
Comme ceci ils pourront devenir encore plus fort sur le terrain encore plus vite et monter leurs exigences pour la prochaine étape, celle de la dislocation du front.
Les échanges réciproques de territoire proposés ne tiennent pas la route juridiquement face à la constitution russe. C'est l'ensemble administratif des 4 oblasts ou rien, c'est compliqué de revenir sur des référendums populaires et une ratification à la Douma.
Sinon les russes copieraient l'Union Européenne avec ses référendums populaires en les ignorant. Ce qui posera un problème à terme car certains russophiles ne seront pas englobés dans la nouvelle Russie d'Ukraine décidée en 2022 ce qui provoquera des sérieux remous politiques en interne à Moscou.
Faut se rappeler du retrait tactique russe de fin 2022 sur Kherson et Kharkov, certains civils pro-russes ont eu des problèmes avec les autorités ukrainiennes qui revenaient occuper le terrain. Déjà que le cas d'Odessa est litigieux.
Du côté européen, on continue l'humiliation, on a fait des promesses à Zelensky en avril 2022 que nous ne sommes pas capables de tenir sur la durée et Pustula von der la Hyène vient d'en remettre une couche avec cette promesse.
A part l’émission de sanctions économiques futiles envers la Russie, rien.
Il est à présent certain que le goudron et les plumes seront pour nous au bout du tunnel ukrainien.
Avant cette réunion Trump voulait asphyxier la Russie en surtaxant ceux qui comme la Chine ou l'Inde achètent du pétrole et gaz russe. Après cette réunion ExxonMobil va revenir en Russie pour pomper le pétrole de Sakhaline. Du coup Trump renonce à surtaxer la Chine et l'Inde. Conclusion: USA, Russie, Chine,Inde sortent gagnant......les européens eux sont cocus et 10 fois cocus.
RépondreSupprimerPour Jacques Baud, cette rencontre était la confirmation de la remise en route des nouvelles relations russo-américaines au cours de laquelle Poutine a pu expliquer à Trump les exigences russes sans intermédiaire. Trump a compris ce que voulaient les russes, d'où la disparition du cessez-le-feu inconditionnel clamé par l'Occident et la mise en place d'un accord global avant un cessez-le-feu.
RépondreSupprimerTrump n'est pas perdant, il garde la place de médiateur incontournable du conflit. Les perdants sont les européens qui vont essayer de persuader Zelensky de ne rien lâcher face à Trump. Pour les USA l'Europe fait partie du problème ukrainien. Les premiers échanges téléphoniques ne se sont pas bien passés à la suite de la réunion avec Poutine, ni avec Zelensky, ni avec les européens. Si l'Ukraine continue à écouter les européens elle sera détruite.
De toute manière les USA vont quitter le conflit d'une façon ou d'une autre, ils l'ont annoncé officiellement par la bouche de Vance car il est hors de question de continuer à payer pour un conflit resté coincé dans un cul de sac ne menant à rien.
Les européens se retrouveront avec un conflit sur les bras qu'ils ne pourront assumer ce qui anéantira l'entité ukrainienne à terme si on se dirige vers cette direction.
On comprend mieux pourquoi la CIJ ne promulgue pas la reconnaissance d'un génocide à Gaza. Une vice présidente du tribunal du nom de Julia Sebutinde, une juriste ougandaise, dit que Dieu lui a confié la mission de protéger Israël et donc elle bloque toute reconnaissance juridique. Personne ne la débarque de son poste bien entendu.
A la page 115 du rapport de la Rand Corporation de 2019 dont le titre est Extending Russia, apparait le chapitre : comment exploiter les tensions dans le Sud du Caucase. La prise de contrôle des USA pour 99 ans du corridor de Zanguezour entre l’Azerbaïdjan et l'Arménie n'est donc pas anodine. C'est au stade commencement.
A la page 103 de ce même rapport apparait le chapitre : apporter un large soutien aux rebelles syriens contre le régime de Bachar Al-Assad. Ça c'est fait.
Les russes viennent de tirer sur une station pétrolière à Odessa appartenant à une compagnie pétrolière azerbaïdjanaise. Ils ont compris le message.
Merci pour cette édition, et pour Ma Dalton que je n’avais pas vu venir….😀.
RépondreSupprimerLe plus inquiétant, c’est que même si ils vont en tôle, les Dalton en sortent toujours très rapidement.
Tout politique - sans exception – est un Maitre dans l’Art de mentir, de manipuler.
RépondreSupprimerJe ne comprends pas la Russie, humiliée depuis 1990 par l’Occident.
Les USA ont mis en œuvre un plan de destruction de ce territoire, de son histoire, de sa culture.
Depuis février 2022, les USA + satellites UE tuent officiellement des soldats russes (+ 100 000 hos) – via ses renseignements, ses armes, ses munitions, ses entrainements (avt 2022)...
Si la diplomatie est de parler avec tout le monde – y aurait-il des limites !???
La peau des soldats ne vaut vraiment rien.
Un pays neutre aurait regroupé sur son sol, USA (et sa bande) face à la Russie.
Mais Trump semble imposer son tempo / son scénario / son show !!!
Il serait temps également de ne plus employer les termes de Ukraine / Russie MAIS OTAN / Russie.
Le "Patriotisme" est une « pilule hypnotique » ayant pour but d'envoyer chacun de nous défendre les intérêts des Puissants (Cf la chanson de Craonne) – cela a toujours été le cas depuis des millénaires.
Le faible apporte ses mains, son travail, son sacrifice physique pour nourrir, distraire, enrichir, abriter le Fort, parfois, porter l’épée pour défendre son confort, accroitre sa puissance – sans que ce premier bénéficie des intérêts gagnés.
Les Seigneurs / Rois / Politiques inventent des prétextes bidons, qui plus tard, sont entretenus par les historiens.
Les guerres n’ont jamais eu de sens pour les peuples, seuls à toujours payer le prix fort, pour des intérêts qui leur sont étrangers.
L’armée de mercenaires (type royale) trop chère, peu nbreuse, pas fiable si cessation de solde – il est impératif d'inventer un nouveau stratagème : l'impôt du sang.
Au XIXème, cette stratégie est mise en œuvre. Dès l’école, via l’éducation civique, les esprits sont formatés, préparés au sacrifice ultime ; le Pouvoir, d'un claquement de doigts, décide de se servir de la vie d'une partie de son peuple !
Des prétextes / explications simplistes sont inventés, car les réelles intentions ne peuvent être dévoilées.
Un fanion, une écharpe dans un stade, un drapeau sur le champ de bataille…. Et des hochets pour pavoiser les poitrines, celles qui ont la chance de revenir !!!