Ukraine : bilan de la journée du 21 avril 2024 (Military Summary)


 

Commentaires

  1. Dima est-il entrain d'aller beaucoup, beaucoup trop loin dans la connerie pour faire un scoop?
    Il balance que les forces françaises seraient déjà à Odessa...
    Il est absolument le seul à en parler.
    Alors soit, à 99%, c'est faux, et Dima prouvé définitivement son vrai niveau de crédibilité.
    Soit c'est vrai. Alors nos dirigeants sont des fous furieux, notre opposition un tas de trous du cul sans entrailles. On sait déjà que nos médias sont des fonctionnaires de propagande.

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    1. Castel avait dit la même chose puis il y a eu rétractation de sa part.
      Blinken est passé à l'Elysée et a dit non, c'est une ligne rouge otanienne à ne pas franchir de façon formelle.

      Il y a eu des mélanges de fait par le passé entre des anciens légionnaires retirés du service actif se battant en Ukraine, d'autres ayant la permission de l'armée française d'aller se battre en Ukraine parce qu'ils sont nés là bas.
      Ce qui est certain c'est qu'il y a des conseillers militaires français sur le terrain pour manier nos équipements technologiques et que des anciens militaires français se battent avec des milices ukrainiennes voire avec l'armée ukrainienne car ils ont de facto la nationalité ukrainienne en voulant combattre sur le sol ukrainien grâce à la loi de ZELENSKY.

      Si tel était le cas, Macron a désobéi aux ordres otaniens, et l'Otan n'interviendra pas pour l'aider alors il se serait mis dans la mouise tout seul, mais pourquoi faire ?
      Prouver aux autres acteurs européens leur lâcheté dans un combat perdu d'avance ? C'est se faire encore plus haïr par ses partenaires pour ne rien récolter au final.
      Ne resterait que la raison électorale européenne du mois de juin, par contre c'est toujours envisageable, le coup d'éclat pendant une campagne bien mal barrée pour son matricule en endossant le rôle de chef de guerre qui veut sauver l'âme de la résistance ukrainienne. Mais qui y croit encore ?

      Posséder l'arme nucléaire de façon souveraine, c'est pas à cela qu'elle va servir, en faire à sa tête comme un sale gamin mal élevé ne changera pas le problème de fond ukrainien à cette heure trop tardive.
      Maintenant que l'Europe est devenue un champ de manœuvres militaires sous couvert otanien, comme disait mon grand père : " Il est temps de ch... quand le pot est plein."

      De Gaulle nous avaient équipé de l'arme nucléaire pour nous faire prendre au sérieux par les deux superpuissances de l'époque, et ainsi éviter que l'Europe devienne un terrain d'essais nucléaires entre Washington et Moscou. Peu de temps auparavant, il y avait eu la guerre de Corée avec la menace nucléaire de MacArthur sur la Chine.

      Notre arme nucléaire pourrait faire éviter des guerres en Europe si et seulement si la France assurait son rôle de puissance neutre médiatrice.
      Déjà que cela n'a pas empêché la guerre de Yougoslavie et surtout le Kosovo parce qu'en plus il faut la stature du bonhomme à l'Elysée et pas vivre sous une cohabitation.
      Mais depuis 2008 avec la politique de Sarkozy, on s'aligne tout le temps à la volonté otanienne, sauf le cas géorgien en 2008, il était encore tout feux tout flamme à l'époque, mais il a sur les épaules le dossier libyen de 2011.
      Si bien qu'on ne pèse plus rien diplomatiquement parlant, notre rôle d'interlocuteur international a disparu dans le même temps et nous devons assumer désormais un statut de roquet international où notre président n'est qu'un vulgaire pantin désarticulé inaudible.
      Le tout renforcé par notre dissolution nationale au sein de l'UE toujours depuis 2008 et la reconnaissance de sa constitution trahissant le vote nationale de 2005.
      A force on devient la risée du monde à cause des déclarations macroniennes et de son "et en même temps" à l'emporte pièce juste pour essayer encore d'exister sur la scène internationale.

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    2. Des légionnaires français à Odessa, et même à Slaviansk, une fausse nouvelle à laquelle j'ai cru, une connerie si elle devenait vraie. Mais rien d'impossible.
      Mettez-vous à la place de Macron : le voici chef d'état, il veut son épopée !

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