Merci pour ce point. Hervé Carresse sur Vu du Droit, les USA abandonnent la stratégie de la confrontation guerrière grâce au Rimland contre le Heartland. Ceci ne rapportant rien au bout du compte, l'hégémon est fatigué de cette stratégie et d'assurer son unipolarité. Ils partent sur une stratégie de conciliation avec les russes et les chinois en se répartissant les zones d'influence dans le monde en s'aidant d'une tactique de rapprochement et de coopération.
Jacques Baud sur Espoir et Dignité à propos du clash dans le bureau ovale. En réalité, selon Reuters, les ukrainiens ont proposé leurs métaux rares et leurs matières premières à Washington dès novembre 2024, sachant que le vent allait tourner avec Trump. C'était dans l'optique d'effacer l'ardoise américaine et de continuer à se faire livrer des armes pour continuer la guerre. Sans le soutien américain Kiev n'est plus rien. Trump a saisi la balle au bond, mais pas dans l'optique d'effacer l'ardoise mais plutôt de commencer à rembourser ce que les USA avaient envoyé en Ukraine. Or Selon une étude de Bloomberg, il y a très peu de métaux rares en Ukraine qui seraient susceptibles d'intéresser les USA, ou sinon Washington pour rentrer dans son argent devrait envoyer des armes à l'Ukraine pendant 150 années. Les métaux rares sont détenus en réalité par les BRICS, Chine en tête, puis arrive le Vietnam pas encore dans les BRICS, puis le Brésil et après la Russie, l'Afghanistan, etc.
Zelensky a déjà bradé les bijoux de famille ukrainiens et fait des promesses à bon nombre de pays. D'autant que Washington réclame des enquêtes sur les détournements se fonds. Donc c'est un marché de dupes de la part de Kiev, Trump le sait et il essayait de le mettre au pied du mur pour mieux finaliser le processus de conciliation en cours avec la Russie. Zelensky ne pouvait que jouer l'enfant gâté, quelqu'un osait lui tenir tête, l'occasion était trop belle et en plus les USA ne lui donnent pas de garanties de sécurité en retour en lui interdisant l'accès à l'Otan. Macron et Starmer lui ayant préparé le terrain à ce sujet, lui offrant des garanties d'intervention en Ukraine sauf que Trump refuse pendant cet état de guerre. Avec Trump c'est, tu craches ta Valda et on s'occupe de tout à ta place avec les russes et tu verras ensuite avec les européens pour ta sécurité quand on aura une solution de paix. Quant à l'UE, elle ne peut définir ses intérêts avec cet ensemble d’États avec des intérêts divergents, donc elle n'a pas de stratégie dans cette affaire, alors elle fait des ronds dans l'eau.
Pour vous donner une idée, lors de la guerre froide il y avait en permanence 350.000 GI's américains sur le sol européen. Aujourd'hui ce sont 90.000 GI's dont 50.000 stationnés sur le sol allemand. Et demain ce sera encore moins avec l'équipe Trump.
Vous pourrez remarquer qu'à la réunion So British de ce dimanche, il n'y a pas la présence des États Baltes, TOUS ABSENTS, alors qu'ils sont TOUS membres de l'Union Européenne. La présence du Canada s'explique par le fait que Trudeau est un ennemi de Trump et que le roi du Canada est sa majesté Charles III qui s'est fait défoncer par les propos de Trump avec son hypothétique annexion du Canada comme 51ième État des États-Unis d'Amérique.
Cependant, la Kallas de l'UE n'arrête pas de beugler contre Moscou. Certains européens ont dû prendre peur de la future réaction moscovite et donc ont préféré ne pas énerver le Kremlin avec la présence de ces trois petits pays russophobes frontaliers de l'Empire de sa majesté Vladimir. Quel courage !!! Et en plus, les membres de cette réunion dite résistante en l'honneur de Volodymyr organisée à la va vite, réclament l'aide américaine ou plutôt sa continuation sinon le front ukrainien s’effondrerait comme un château de cartes. De ce fait, ils avouent ne pas avoir les moyens sur la durée de contenir les ardeurs poutiniennes.
Merci pour ce point.
RépondreSupprimerHervé Carresse sur Vu du Droit, les USA abandonnent la stratégie de la confrontation guerrière grâce au Rimland contre le Heartland. Ceci ne rapportant rien au bout du compte, l'hégémon est fatigué de cette stratégie et d'assurer son unipolarité.
Ils partent sur une stratégie de conciliation avec les russes et les chinois en se répartissant les zones d'influence dans le monde en s'aidant d'une tactique de rapprochement et de coopération.
Jacques Baud sur Espoir et Dignité à propos du clash dans le bureau ovale.
En réalité, selon Reuters, les ukrainiens ont proposé leurs métaux rares et leurs matières premières à Washington dès novembre 2024, sachant que le vent allait tourner avec Trump. C'était dans l'optique d'effacer l'ardoise américaine et de continuer à se faire livrer des armes pour continuer la guerre. Sans le soutien américain Kiev n'est plus rien. Trump a saisi la balle au bond, mais pas dans l'optique d'effacer l'ardoise mais plutôt de commencer à rembourser ce que les USA avaient envoyé en Ukraine. Or Selon une étude de Bloomberg, il y a très peu de métaux rares en Ukraine qui seraient susceptibles d'intéresser les USA, ou sinon Washington pour rentrer dans son argent devrait envoyer des armes à l'Ukraine pendant 150 années.
Les métaux rares sont détenus en réalité par les BRICS, Chine en tête, puis arrive le Vietnam pas encore dans les BRICS, puis le Brésil et après la Russie, l'Afghanistan, etc.
Zelensky a déjà bradé les bijoux de famille ukrainiens et fait des promesses à bon nombre de pays. D'autant que Washington réclame des enquêtes sur les détournements se fonds. Donc c'est un marché de dupes de la part de Kiev, Trump le sait et il essayait de le mettre au pied du mur pour mieux finaliser le processus de conciliation en cours avec la Russie.
Zelensky ne pouvait que jouer l'enfant gâté, quelqu'un osait lui tenir tête, l'occasion était trop belle et en plus les USA ne lui donnent pas de garanties de sécurité en retour en lui interdisant l'accès à l'Otan. Macron et Starmer lui ayant préparé le terrain à ce sujet, lui offrant des garanties d'intervention en Ukraine sauf que Trump refuse pendant cet état de guerre.
Avec Trump c'est, tu craches ta Valda et on s'occupe de tout à ta place avec les russes et tu verras ensuite avec les européens pour ta sécurité quand on aura une solution de paix.
Quant à l'UE, elle ne peut définir ses intérêts avec cet ensemble d’États avec des intérêts divergents, donc elle n'a pas de stratégie dans cette affaire, alors elle fait des ronds dans l'eau.
Pour vous donner une idée, lors de la guerre froide il y avait en permanence 350.000 GI's américains sur le sol européen.
RépondreSupprimerAujourd'hui ce sont 90.000 GI's dont 50.000 stationnés sur le sol allemand.
Et demain ce sera encore moins avec l'équipe Trump.
Vous pourrez remarquer qu'à la réunion So British de ce dimanche, il n'y a pas la présence des États Baltes, TOUS ABSENTS, alors qu'ils sont TOUS membres de l'Union Européenne. La présence du Canada s'explique par le fait que Trudeau est un ennemi de Trump et que le roi du Canada est sa majesté Charles III qui s'est fait défoncer par les propos de Trump avec son hypothétique annexion du Canada comme 51ième État des États-Unis d'Amérique.
Cependant, la Kallas de l'UE n'arrête pas de beugler contre Moscou.
Certains européens ont dû prendre peur de la future réaction moscovite et donc ont préféré ne pas énerver le Kremlin avec la présence de ces trois petits pays russophobes frontaliers de l'Empire de sa majesté Vladimir. Quel courage !!!
Et en plus, les membres de cette réunion dite résistante en l'honneur de Volodymyr organisée à la va vite, réclament l'aide américaine ou plutôt sa continuation sinon le front ukrainien s’effondrerait comme un château de cartes. De ce fait, ils avouent ne pas avoir les moyens sur la durée de contenir les ardeurs poutiniennes.
La politique migratoire européenne c'est mélanger du LGBT avec la charia sur le même sol. Cela nous conduira à la guerre civile tôt ou tard.
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