Dans le traité de Washington relatif à la création de l'Otan en 1949, une clause apparait, celle de la porte ouverte. En effet il n'est pas possible de refuser l'intégration ad vitam æternam à un pays qui désire entrer dans l'alliance. Ce pourquoi la Maison Blanche ne peut pas promettre au Kremlin une neutralisation éternelle de l'Ukraine. Alors que pour les russes, l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan demeure impossible afin de garantir leur sécurité. Sans cette condition signée par Washington, on n'ouvrira pas de pourparlers de paix en Ukraine, ce n'est pas une mince affaire à régler.
Les russes sont pragmatiques. Ils ont développé des drones assez sophistiqués pour intercepter des drones ukrainiens agricoles de type Baba Yaga, mais cela restait assez coûteux à développer et à faire produire en série. Récemment, on voit des drones FPV russes de facture peu coûteuse, intercepter des drones Baba Yaga ukrainiens avec un bâton. Le drone intercepteur vise une des six à huit hélices de propulsion du drone ennemi, le bâton détruit une hélice, le drone est déséquilibré, l'opérateur ne parvient plus à assurer sa sustentation et il finit par chuter. On change le bâton en bois à chaque opération car on récupère le drone intercepteur, étant déséquilibré momentanément lors de l'impact, l'opérateur parvient à le rétablir assez aisément. C'est simple, efficace et économique.
Dans le traité de Washington relatif à la création de l'Otan en 1949, une clause apparait, celle de la porte ouverte. En effet il n'est pas possible de refuser l'intégration ad vitam æternam à un pays qui désire entrer dans l'alliance. Ce pourquoi la Maison Blanche ne peut pas promettre au Kremlin une neutralisation éternelle de l'Ukraine.
RépondreSupprimerAlors que pour les russes, l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan demeure impossible afin de garantir leur sécurité. Sans cette condition signée par Washington, on n'ouvrira pas de pourparlers de paix en Ukraine, ce n'est pas une mince affaire à régler.
Les russes sont pragmatiques. Ils ont développé des drones assez sophistiqués pour intercepter des drones ukrainiens agricoles de type Baba Yaga, mais cela restait assez coûteux à développer et à faire produire en série.
Récemment, on voit des drones FPV russes de facture peu coûteuse, intercepter des drones Baba Yaga ukrainiens avec un bâton. Le drone intercepteur vise une des six à huit hélices de propulsion du drone ennemi, le bâton détruit une hélice, le drone est déséquilibré, l'opérateur ne parvient plus à assurer sa sustentation et il finit par chuter.
On change le bâton en bois à chaque opération car on récupère le drone intercepteur, étant déséquilibré momentanément lors de l'impact, l'opérateur parvient à le rétablir assez aisément.
C'est simple, efficace et économique.