Ukraine : analyse de l'offensive russe dans le Donbass (History Legends)


 

Commentaires

  1. Nouvelle rassurante de Washington. L'ignoble Pompeo et l'abjecte Haley ne "seront pas invités" à entrer dans l'équipe gouvernementale.
    D'après certains potins, Rubio non plus.
    C'est assez encourageant.

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    1. Oui, le WAPO écrit que Trump ipse l'a annoncé. L'équipe qui assurera la continuité du pouvoir sera déterminante, avec un POTUS qui agit par foucades et travaille peu. Manquent 6 sièges aux Républicains pour une majorité à la Chambre au matin du 10/11. Celle-ci sera fragile si elle est acquise.

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    2. Oui, mais là il y aura IceMaiden pour que pas un rino ne sorte de rang. Je me demande qui elle va choisir comme whip dans les deux chambres.

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  2. Sacrés analystes😂😂😂
    Hier Korybko nous demontrait à quel point le plan Trump pouvait être finalement sérieux et à quel point Poutine serait peut-être obligé de s'écraser.
    Et bien aujourd'hui même, il nous explique en dix points à quel point...il avait tort. 😂😂.
    Question: hier, il racontait n'importe quoi ou alors aurait il reçu une gentille mise en garde?

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    1. Écrire sur le plan Trump au sujet de l'Ukraine, difficile : sans doute n'en a-t-il pas. Il foncera brutalement, dans un mouvement d'humeur. Mais il s'est engagé publiquement à régler vite le problème, donc la solution doit convenir à Poutine, et virer Zelensky semble le préliminaire à surveiller. Le rôle de l'état profond ? Ces fonctionnaires n'ont que l'importance que le POTUS leur accorde. Plus faciles à débrancher que Zélinsky. Les hauts fonctionnaires remerciés, sans doute l'autre préliminaire à surveiller.

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    2. A moins que Trump veut pourrir le conflit et ensevelir le sort de l'Europe. Mais les USA ont besoin de l'Europe pour y exercer une influence avec l'Otan et constituer un bloc économique sous contrôle qui ralentit la croissance chinoise. C'est avec toi, je t'aime mais moi non plus.
      C'est comme la relation entre un homme jaloux qui surveille sa jolie épouse qui ne se rend pas compte qu'elle attire les convoitises.
      Les USA nous font des croche-pieds parce qu'ils ne veulent pas fabriquer une concurrence économique européenne qui serait contraire à leurs intérêts. Ils nous maintiennent sous contrôle pour ne pas qu'on batifole avec la Chine et la Russie.
      Mais comment arrêter le conflit ukrainien sans perdre la face avec Poutine ?
      C'est la réponse qu'il faut chercher en ce moment.

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    3. Chers amis, nous avons désormais un businessman aux commandes des usa, pas un idéologue nourri au biberon de la "destinée manifeste". L'isolationnisme est de retour. Ils vont faire en sorte de produire moins cher en diminuant considérablement le coût de l'énergie et ériger des barrières douanières très sérieuses. Rien ne sera épargné, quitte à lancer un nouveau "new deal" concocté par Elon Musk dont je parie le dentier de mon oncle centenaire que la présence (que certains trouvent envahissante) dans l'entourage de Trump n'est pas un simple coup de communication. Trump va gérer les usa comme une entreprise et flinguer tout ce qui n'est pas productif. Et comme une bonne nouvelle (pour les usa) n'arrive jamais seule (parfois), Trump peut compter sur l'ue pour financer ses plans puisqu'il a ursula, macron et toute la bande d'esclaves prêts à sacrifier leurs concitoyens dans un dépôt de bilan collectif.
      Autre sujet, ZECHE, n'êtes vous pas un chouïa naïf en pensant qu'il y a encore une chance de ne pas perdre la face vis à vis de Poutine? Amicalement, je vous informe que dans l'opinion publique russe, l'ue est déjà très en dessous du seuil de crédibilité, et cela depuis un certain temps... Côté ukrainien, c'est pire puisque l'occident constituait la seule planche de salut. Aujourd'hui, un type comme boris johnson ne serait plus accueilli poliment à kiev. J'ai des exemples de mères ukrainiennes qui exhortent leurs fils et leurs maris à déserter. Elles disent qu'il serait désormais stupide de mourir alors que les "jeux" sont faits... Des gens m'ont dit que la meilleure des solutions serait que le front craque et permettre aux russes de prendre kiev le plus vite possible avant que l'hiver ne commence.
      Les effets d'annonce ne suscitent plus d'espoir mais du dégoût.
      Tout peut s'écrouler d'un moment à l'autre, et pas forcément du côté du front mais par une implosion de la société civile, une forme de résistance passive qui réduirait à presque rien les capacités de production (qui restent) et la logistique.

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    4. Zeche, je crois qu'il ne faut jamais oublier que les USA ne se sentent pas USA mais five eyes+ . C'est à dire que la Grande Bretagne, l'Australie, la NZ, le Canada forment un conglomérat de 500 millions d'habitants parlant la même langue et partageant une culture et histoire commune.
      En terme de ressources naturelles USA+Can+Aust représentent plus de réserves que Russie et Chine unies.
      Ils sont présents directement sur quatre continents.
      Il ne faut pas les considérer comme une alliance mais comme une seule entité.
      Ces 500 millions d'habitants là ( plus que l'UE) ont comme nations serves de premier rang, les trois plus grosses puissances industrielles du monde hors Chine, à savoir Japon ,Allemagne, Corée du Sud.
      On peut y ajouter les restes de l'Europe quasi réduit au niveau de l'Amerique centrale et du sud, bien en laisse, avec le boss qui laisse filer et reprend quand il veut.
      Puis il y a les bachi-bouzouks, supplétifs musulmans plus ou moins fougueux et contrôlables mais qu'on maintient dans les limites depuis 80 ans pour les Saoudiens, Emiratiis et Turcs, 45 ans pour les Egyptiens.
      Sinon, avec les Russes, il ne faut pas oublier que l'Ukraine n'est pas le principal soucis. Trump peut négocier un joli coup de com sur l'Ukraine en offrant à Poutine des garanties sur les autres points autrement plus importants à leurs yeux.
      Par exemple retirer les Aegis de Pologne et Roumanie, et décréter que 35 ans après la fin de la guerre froide, les USA vont carrément quitter l'Europe militairement.
      Car aujourd'hui, ils n'ont même plus besoin de présence militaire en Europe.
      Et considérer que c'est aux Européens d'assurer leur défense.
      Le coup porté à l'UE ces trois dernières années nous a définitivement fait sortir de l'Histoire. Ils peuvent jeter la peau, le jus est tiré.

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    5. Merci infiniment Lysandre de reprendre mon pessimisme avec des arguments qui tiennent la route. Ça fait du bien. :)
      J'ai 63 ans et pas un seul de mes idéaux, pas un seul, n'a pas été trahi. Pas un seul de mes grands hommes, pas un seul, dont la statue ne soit tombé dans la fange.
      Pas un seul instant historique qui fondèrent mes idéaux qui ne fut desacralisé par l'âpreté de la réalité.
      Quelque part, je comprends les conformistes qui s'accrochent aveuglément à des foi frelatées et branlantes car sans elles ils perdraient pied.
      Il y a intérêt à avoir de la cire solide quand on veut s'approcher de la vérité.
      Perso, je serai du genre à quitter la caverne de Platon ...et à y revenir en courant en disant : "y allez pas les copains, une fois l'éblouissement passé, le spectacle là haut est à se tirer une balle dans le slip. Restez bien au chaud à jouer avec les reflets de vos torches contre le mur."

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    6. Perdre la face avec Poutine ?
      Encore faudrait il que les médias US le présente de cette façon.
      Les mms ont prouvé depuis longtemps qu'ils sont à vendre au plus offrant.
      Et maintenant, Trump a plus à leur offrir qu'avant le 5 nov.
      Même si les russes avancent jusqu'au Dniepr, ça va tout simplement passé sous le radar aux USA.
      Ne jamais oublier que la vaste majorité des citoyens US ne s'intéresse pas ou très peu à ce qui se passe hors USA.
      Au pire, la débandade ukrainienne, s'il y a une débandade ukrainienne, sera mis sur le dos des européens qui n'auront pas fait leur job de gardien des marches occidentales.
      Le vrai panier de crabes pour Trump se trouve au Sionistan.
      Étant lui même, comme tous les politiciens US, une créature de l'AIPAC, il n'aura guère le choix de continuer à soutenir à fond son maitre Nethanyahu et de continuer par le fait même la destruction de la politique étrangère US.
      Moi j'aime bien Trump car il est divertissant.
      Mais de là à penser que l'homme a l'envergure pour changer profondément la politique étrangère US, il y a toute une marge.
      Trump va continuer sa politique hostile face à l'Iran et à se coucher devant ses donateurs sionistes,
      D'ailleurs, comment pourrait il faire autrement quant la presque totalité des mms US appartiennent à des sionistes enragés.

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    7. @Lysandre 2
      La dédollarisation, voilà ce que veut éviter Trump, sinon c'est la Bérézina et l'effondrement aux USA. Faut réactiver des échanges commerciaux, le business, réinstaurer un climat de confiance, et pour cela il faut arrêter la guerre en Ukraine afin d'apaiser les tensions. Au passage Gaza ??? Connais pas. Bonjour le retour au réel, il est accompagné par les milliardaires du pays dans cette manœuvre.
      Aujourd'hui la quantité de dollar ne progresse plus sur la planète, ce qui amènera des autres guerres et des jolis coups fourrés de la part des USA si le dollar se casse la figure, faut mieux rétablir la situation parce que l'Ukraine ne serait qu'un amuse-gueule.

      L'UE va se faire étriller, parce que c'est juste une variable d'ajustement.
      On va continuer à voir des vagues massives de licenciement comme en Allemagne et des délocalisations à gogo. Les leaders européens attendent les consignes du grand chef, ils ne savent pas quoi faire, l'Europe c'est la politique par beau temps. L'UE tue l'Europe, donc pas besoin de s'en occuper, elle se suicide par elle même.

      Mais l'Otan restera, maintenant qu'elle a retrouvé son plus fidèle ennemi, la Russie. C'est sans véritable ennemi que l'Otan fait n'importe quoi, elle l'a prouvé ces trente dernières années. L'Otan vient d'instaurer 1300km de frontière avec la Russie grâce à la Finlande et peut être autant grâce à l'Ukraine. C'est du pain béni, faut protéger le patrimoine qui vient d'être acquis.

      C'est sûr qu'avec l'annonce de Trump, celle d'aujourd'hui c'est il faut lâcher la Crimée, demain ce sera autre chose, c'est juste pour faire monter la pression. Cet homme ne travaille pas, il n'a pas le niveau, il use du privilège américain et de la com' et c'est la politique à coups de menton.
      4 années ne sont rien pour faire changer les choses, rattraper la dérive américaine, il lui faudra un digne successeur pour continuer, on ne le connait pas à ce jour.
      Je rappelle qu'il sera plus vieux que Biden à sa sortie, c'est à dire 82 ans.
      C'est sûr que le front ne va pas tenir la route encore longtemps avec de telles annonces, c'est ce qu'il recherche, déstabiliser l'édifice branlant comme cela quand il arrivera en janvier, le travail sera à bâcler.

      Parce qu'il n'y aura aucun traité, rien, car Poutine ne peut pas envahir l'Ukraine, il n'a pas les moyens et il ne le veut pas, comme il n'avait pas les moyens d'envahir Kiev avec 20.000 hommes ou l'Ukraine avec 150.000. On l'a dit à Trump. L'Otan le sait depuis le début, c'est pour cela que Boris Johnson a pu semer la zizanie en Ukraine et fait foirer les accords d'Istamboul.
      Donc Trump ne risque rien avec le dossier ukrainien, pourquoi ira-t-il s'exposer inutilement en face à face avec Poutine ? La seule fois où Trump a dû se dédire devant la presse américaine, c'était lors de son retour d'une rencontre avec Poutine. Il fut décrédibilisé, il a dû faire un rétropédalage express devant les caméras.

      Résultat c'est PAT, comme aux échecs, ce n'est que partie remise ultérieurement. De toute manière, il se fout de l'Ukraine, des ukrainiens et des européens, comme un bon américain il ne comprend que la confrontation.

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    8. @Revenu de Tout
      Five Eyes +, le renseignement américain n'est pas distribué de la même manière au sein de leur club. Les privilégiés ayant accès à ce renseignement confidentiel restant les anglais, pour faire les basses besognes, c'est à dire ce que ne veulent pas faire les USA. Au XVIIIème siècle les anglais donnaient des ordres aux américains, depuis 1945, c'est l'inverse, cela doit faire mal, c'est pire que la servilité de l'UE. Il y a une hiérarchie de la servilité aussi dans ce club très fermé tenu par l'oncle Sam.

      Par contre, l'Otan restera en Europe. Elle s'y est agrandi ces deux dernières années et a retrouvé son ennemi favori, la Russie. Trump a déchiré en 2019 le traité avec la Russie sur les missiles balistiques de moyenne portée, c'est à dire la catégorie ayant moins de 5500 km d'autonomie en vol.
      A cause du missile ISKANDER russe qui pouvait atteindre 1000km de portée suivant l'ogive insérée dans le missile alors que sur le papier il aurait dû être limité à 500km au maximum. C'est vrai, les russes ont menti, on a la preuve de cela avec la guerre en Ukraine. Mais tout cela c'est pour quoi faire ? En mettre un jour en Europe. On se rappellera de la crise des missiles PERSHING en Allemagne en 1983, la crise des euromissiles.
      En 2002, les USA ont déchiré le traité ABM (Anti Balistic Missile) pour en mettre en Europe. Sur ces mêmes rampes de missile antibalistique, on peut effectivement disposer du missile balistique à tête nucléaire de moyenne portée, comme par hasard.
      De même sous son premier mandat, les observations satellitaires de démantèlement des anciennes armes nucléaires entre les deux pays ont été interrompues. Si bien qu'on ne sait pas ce qui est réellement désarmé depuis en Russie et aux USA. Tout ceci était pour reprendre une course aux armements afin d'asphyxier économiquement la Russie.
      Il est clair que les russes en prenant des sanctions de la part de TRUMP n'allaient pas continuer une coopération. Trump n'a pas fait de nouvelles guerre, mais il a augmenté considérablement le budget du ministère de la défense américaine passant de 500 à 800 milliards de dollars lors de son premier mandat.
      On atteint aujourd'hui pratiquement les 1000 milliards de dollars. Donc l'Ukraine ne coûte rien, comparé au budget fédéral américain.
      L'histoire ça coûte cher aux contribuables américains, c'est du pipeau complet. L'Ukraine a toujours été un bon investissement mais la messe est dite.

      11 banques russes en relation avec l'énergie se sont vues retirer les sanctions de la part des USA. Les cadeaux sous le manteau ont commencé mais il n'y aura pas de facial pour l'élaboration d'un deal officiellement.
      S'il y a un arrangement à signer c'est avec Kiev à qui on dira de ne pas signer un traité avec les russes. Ce sera juste un armistice et une ligne de démarcation démilitarisée comme ceci on pourra implanter de nouveaux missiles balistiques en Europe. Si Kiev s'effondre, cela se fera encore plus vite.

      Les USA , c'est comme Sparte, d'ailleurs leur constitution repose sur ce modèle. Il est vrai que Sparte était à la mode à la fin du XVIIIème siècle en Occident même chez nous au temps de la révolution. Si bien qu'ils ne savent pas faire la paix, ils ne savent pas ce que c'est en réalité parce que l'hégémon dicte sa loi, mais l'hégémon s'effrite depuis 1991.

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    9. À Sparte tous les citoyens mâles étaient dès la prime enfance formés en soldats professionnels surentraînés à l'extrême. Mais la cité restait toujours très réticente à s'engager militairement loin de ses frontières et elle combattait avec ses propres troupes. Donc les USA ne sont pas une Sparte moderne, nonobstant les prétentions des pères fondateurs.

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    10. @Ane
      Vous avez raison. Les USA n'ont absolument rien de Sparte. Au contraire, il y a une filiation athénienne.

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    11. @Ane,
      L'esprit de la constitution américaine est plus basée sur Sparte qu'Athènes. L'Otan, c'est l'esprit d'Athènes avec ligue de Délos qui fut une fumisterie surtout avec son trésor qui fut capté par la cité athénienne sous le manteau. On retrouve cet état de fait aujourd'hui.
      La mentalité protestante s'accommode bien de la logique spartiate, il y a les élus et les bannis, et cela ne pose aucun problème ce qui fait que l'égalité entre les êtres n'est pas la priorité.
      Après, les USA sont une nation belliciste. Il est vrai que les spartiates essayaient de faire peur pour éviter la guerre pour parvenir à des accords avec ses voisins avant d'en venir aux mains, c'était la dissuasion nucléaire avant l'heure. Les USA sont un thalassocratie, c'était pas la tasse de thé des spartiates, là c'est clair et net.

      Lors de la guerre du Péloponnèse, ils arrivent à flinguer Athènes au bout de 30 ans, on retrouve un peu la guerre froide, mais ils ne savent pas ensuite pérenniser l'acte, cela se termine en tyrannie, c'est là où je voulais en venir, l'absence de stratégie dans la pacification des relations, ce qui caractérise les USA ces trente dernières années et même plus.
      Cette société lacédémonienne meurt par oliganthropie, et nous en prenons tous le chemin en Occident, tout doucement mais sûrement. A la fin les empereurs romains allaient visiter cette cité comme si on visite l'aquarium de la Rochelle, c'était un divertissement.

      Les USA ont une stratégie pour eux, celle d'affaiblir les autres par tous les moyens pour maintenir leur hégémonie, mais pas répandre la paix chez les autres surtout ceux qui les dérangent.

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    12. @ Âne-onyme - Cher ami, vous avez oublié un paramètre important concernant la relation Trump-zelensky...
      Je pense que nous sommes d'accord pour admettre que Trump est résolu à régler ses comptes avec biden (et un certain nombre de personnes) vis à vis de l'élection de 2020. Il est teigneux et rancunier, on le sait...
      Je me permet donc de vous remémorer l'affaire "ukraine-gate" de 2019 ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_concernant_Donald_Trump_et_l%27Ukraine#:~:text=Le%2020%20septembre%202019%2C%20Donald,vice%2Dpr%C3%A9sident%20Biden%20et%20son )
      Je doute donc que trump reprenne un lien de continuité avec zelensky, même si en surface tout paraît bien lisse. Les règles diplomatiques l'imposent...
      Le fonctionnement de l'appareil ukr. miné par une corruption systémique, ce n'est une surprise pour personne, va naturellement et infailliblement faire resurgir un certain nombre de scandales financiers.
      Il est possible (pour moi, probable) que la porte de sortie de trump, vis à vis du dossier ukrainien, soit précisément là. Peut-être va t'on entendre un discours dégouté du nouveau secrétaire d'état américain, auquel les dirigeants européens s'empresseront d'emboiter le pas, annonçant que la nouvelle administration américaine ayant appris un certain nombre de dysfonctionnements graves concernant l'utilisation de l'aide financière accordée à l'ukraine, il n'est plus possible de continuer à contribuer tant financièrement que politiquement au maintien du régime en place.
      Ce qui aurait deux avantages : 1/ se dégager élégamment et sans déchoir du bourbier ukrainien 2/ engager des poursuites contre biden (and family) afin de régler ses comptes...
      Au billard, vous tapez la boule blanche qui envoie simultanément deux boules rouges dans les trous ! Joli coup !

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    13. Cher RdT - J'ai exactement le même âge que vous, la même opinion des institutions et les mêmes déceptions.
      Par contre, là où je crois comprendre chez vous un certain écœurement, pour ma part j'observe avec cynisme et fascination les rats se perdre dans le labyrinthe d'Algernon.
      C'est le combat du gris foncé contre le gris clair (ou du slip sale contre kleenex usagé) et c'est, somme toute, plutôt divertissant non?

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