BULLETIN D'INFORMATION N°6 DE NOTRE WEB TV (16/02/2024)



Commentaires

  1. Merci pour ce point.
    Les Houthis en mer Rouge commencent à utiliser des petits drones navals.
    C'est pas encore le niveau de ceux utilisés par les ukrainiens, mais contre des navires de commerce cela va devenir très efficace.

    RépondreSupprimer
  2. Sokholov viré ? C'est le minimum. Après Novorossirk, la corvette et le gâteau de débarquement, je suis étonné qu'il ne l'ai pas été avant.
    L'affaire de Novorossirk aurait dû déclencher purge et mise en garde officielle.
    Ça rappelle les débuts de la guerre à l'est en 41-42 quand Joukov avait du menacer de cour martiale tout officier commandant des charges d'infanterie sans préparation d'artillerie ni appui blindé face à l'hécatombe commise par des incapables.
    En 1915, J'offre avait dû faire la même chose et avait relevé de leur commandement plus de 160 généraux incapables.
    Là, je le dis et le redis, si ces trois erreurs hallucinantes n'étaient pas volontaires( le limogeage ne veut rien dire, ça peut aussi être de la maskirovka) alors c'était soit une négligence criminelle soit de la trahison.

    RépondreSupprimer
  3. Les russes avaient sorti il y a cinq mois une vidéo qui décrivait un module de combat naval anti drones aériens et marins appelé "Narwhal" spécialement adapté sur les navires de guerre.
    Il s'agit d'une mitrailleuse 12.7 mm montée sur un système gyrostabilisé à trois plans qui permet de corriger le roulis et le tangage d'un navire.
    Ainsi la stabilité de la visée est assurée en prenant en compte l'état de la mer.
    Le tout est couplé à une caméra diurne, une caméra thermique, et un télémètre laser.
    Un radar détecte les cibles à 600 mètres et un ordinateur de bord conduit le tir avec une efficacité proche de 600 mètres.
    Bien sûr tout cela est encore à l'essai, mais ils y travaillent surtout après les pertes navales de ces dernières mois en mer Noire.

    Concernant la défense spatiale, l'agence spatiale américaine de la défense depuis 2005, développent avec la société Boeing un missile antimissile permettant d'intercepter des missiles balistiques intercontinentaux dans l'espace, c'est le GROUND BASE MIDCOURSE DEFENCE, le GMD en abrégé a intercepté avec succès un missile balistique de moyenne portée dans l'espace.
    L'intercepteur du nom de GBI est un dispositif exothermique à trois étages dont le dernier assure l'interception qui peut être guidée jusqu'au dernier moment sur le missile à détruire dans l'espace, les deux premiers étages servant à la propulsion spatiale de l'ensemble au dessus de l'atmosphère terrestre.
    Les premières variantes de ces missiles ont été mis en service en 2005 dans 44 installations antimissiles aux USA.

    RépondreSupprimer
  4. Pour en revenir au navire CAESAR KUNIKOV coulé le 14 février dernier, son nom vient d'un héros de l'union soviétique officier de l'infanterie de marine russe, qui a réalisé un débarquement amphibie réussi à la tête de ses troupes en mer Noire.
    Il est mort le 14 février 1943 lors de cette opération amphibie, ironie du sort date où on a coulé le navire, on comprendra le symbole 81 années jour pour jour.

    Par contre sur la vidéo d'ATE CHUET, c'est bien une technique anglosaxonne d'éperonnage de navire qu'utilise les ukrainiens avec leurs drones.
    Dans un premier temps on attaque la poupe du navire afin de briser le gouvernail ou l'hélice afin de faire stopper le navire et c'est aussi là que la coque est la plus fine.
    Ensuite on pratique une brèche sur le côté, près de la réserve des explosifs si possible avec un drone et on envoie le reste des drones dans cette brèche afin de le faire sombrer en l'agrandissant ou de le faire sauter avec sa réserve d'explosifs.
    Encore une fois, l'Otan avait les plans du navire, on connaissait ses points faibles, puisqu'ils ont tous été construits en Pologne entre 1975 et 1992.

    RépondreSupprimer
  5. Bilan des pertes russes en mer Noire à ce jour depuis le début du conflit :
    - 4 navires russes coulés et 3 autres endommagés ce qui fait 7 navires hors service.
    Soit 7 navires sur les 60 bâtiments de la flotte, soit 12% du potentiel endommagé, sachant que les navires de surface russes lance-missiles ne figurent pas dans cette liste.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés