Ukraine : situation le 19 février 2024 au matin (Military Summary)



Commentaires

  1. Bon, j'ai l'impression qu'on sera assez vite fixé sur l'effondrement imminent ou pas de l'armée ukrainienne. Visiblement, contrairement à Lysischansk et Bakmut où ils s'étaient arrêté après la victoire, les Russes ont décidé de lancer des tas de reconnaissances offensives.
    Si ça tient en face, ils feront vite une pause pour recommencer l'attrition. Si ça ne répond plus, on va voir une paire de grandes flèches.
    Je suis aussi étonné par le niveau de débilité et de fébrilité qui entourre les tarés qui nous dirigent et les salopards qui leur servent de mégaphone
    Tout ça sent la panique .

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  2. La vitesse à laquelle la défense d’Avdviika - en particulier celle de l’usine à charbon - s’est effondrée, interroge. L’explication la plus crédible serait que les troupes ukrainiennes auraient perdu l’envie de combattre, une reddition devenant un objectif nettement plus désirable que se sacrifier jusqu’au dernier. Est-ce que cette « Cancel Culture » s’est aussi développée sur d’autres parties du front ? Nous verrons bien comment évolue la situation, le dégel étant tout de même l’arbitre suprême des futures actions militaires.

    Apparemment, la situation politique en Ukraine est loin de ressembler à un long Dniepr tranquille. La signature d’accords de défense bilatéraux entre l’Ukraine et divers pays européens pourrait être la couverture d'un autre objectif moins noble et donc plus difficile à avouer : le maintien de la prolongation au-delà du 21 mai 2024 du président actuel et de sa fine équipe de bras cassés. Zelinsky aurait apparemment besoin de ce genre de garantie de la part de ses homologues européens pour espérer durer encore un peu.

    Heureusement que nos médias de grand chemin n’ont cessé de nous seriner depuis bientôt deux ans que l’Ukraine est un rempart démocratique contre l’impérialisme russe…

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    1. La signature d’accords de défense bilatéraux entre l’Ukraine et divers pays européens pose question. Les dirigeants de nos prétendues démocraties signent sans nous consulter un accord visant à défendre une dictature corrompue sous influence néo-nazie. Ça passe crème dans TOUTE la classe politique. Aucun élu ne moufte, tétanisés de trouille qu'ils sont tous. Ne ressemblerait-on pas un peu à l'Ukraine ?

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    2. Il n'y a pas d'opposition réelle dans notre pays, ces gens font carrière, on l'a vu avec le coronavirus et puis plein de fois par le passé.
      Ils disent défendre tes intérêts et ils votent contre toi à Strasbourg, cela reste en France, après tout, cela reste entre nous.
      Ils peuvent le faire parce que la représentation nationale s'est appropriée les institutions, c'est ce qu'on appelle une démocratie représentative et donc tu peux faire carrière et servir la soupe aux mêmes pendant longtemps.
      Mais elle n'a plus de pouvoir réel puisque c'est Bruxelles qui donne les directives, donc c'est doigt sur la couture du pantalon au niveau national.
      La vraie opposition est sur internet, eux sont interdits d'antenne depuis plusieurs années, la censure politique est passée depuis 2017 en réalité.
      Il faut que cela fasse démocratique, mais ce n'est jamais de la réelle démocratie.
      Sauf qu'à la fin la représentation nationale perd sa légitimité, comme les USA son hégémonie puisque tout sonne faux.

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