BULLETIN D'INFORMATION N°49 DE NOTRE WEB TV (13/09/2024)



 

Commentaires

  1. Merci pour ce point.
    On est reparti dans les incantations otaniennes faute de moyens crédibles à apporter à Kiev sur le terrain qui feront la différence à terme. Frapper la Russie dans son territoire ancestral à 300km de profondeur, c'est ce qu'ils font déjà depuis des mois.
    Des drones volent jusqu'à Moscou, Mourmansk, ils vont tout simplement débridés le peu de STORM SHADOW britanniques qu'ils leur restent avec la permission de la Maison Blanche. Les britanniques étaient déjà les plus agressifs au temps de la guerre froide avec leurs sous marins contre les soviétiques.

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    1. ZECHE - La façon dont l'otan d'une part et l'occident d'autre part conduise leur stratégie d'étranglement démontre depuis au moins 2 ans l'incapacité de leurs analystes et des décideurs politiques à anticiper les réactions de Poutine et de la population russe. Ils ne comprendront jamais qu'un russe, ce n'est pas un américain, un anglais, un allemand ou un français qui parle russe. Ils ne comprennent tout simplement pas la Russie.
      Strictement RIEN des objectifs économiques et politiques ne s'est produit. Ils continuent néanmoins inlassablement à reproduire les même erreurs en se disant qu'ils se sont seulement trompés sur la temporalité du résultat escompté mais sans jamais remettre en cause la méthode...
      Frapper en profondeur dans le territoire russe va avoir pour effet d'augmenter le nombre, déjà considérable, d'engagements spontanés dans l'armée russe et mettre la pression de l'opposition (à la douma) sur Poutine. Est-il besoin de rappeler que l'opposition à Poutine lui reproche d'être trop "mou" et de ne pas mettre en œuvre les moyens appropriés pour "punir" l'occident?
      Curieusement, c'est également ce qu'espèrent zelensky et sa bande de malades qui font tout ce qu'ils peuvent pour provoquer une catastrophe susceptible d'attraire directement l'otan dans le conflit. C'est en effet leur seule option pour échapper à une défaite rapide et définitive...

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    2. En Occident, quand on parle d'un pays qu'on veut détruire ou qu'on n'aime pas on résume tout à un homme. L'Irak c'était Saddam Hussein, la Libye c'était Kadhafi, la Corée du Nord c'est Kim Jong-un, la Chine c'est XI Jinping, la Syrie c'est Bachar, donc la Russie c'est Poutine. Le pays où on a beaucoup de mal c'est l'Iran. On ne connait pas du tout le fonctionnement du pays alors on n'arrive pas à trouver un nom et un prénom stable afin de l'ostraciser sur la scène internationale. Ils ont tout compris les iraniens, on les appelle l'Iran à défaut de détenir un nom et un prénom sur qui cracher.

      Zelensky nous rappelle tout simplement la promesse qu'on lui a faite en avril 2022, une aide financière et matérielle illimitée de notre part. Avec cette promesse faite par Boris Johnson, l'Otan devenait ainsi la profondeur stratégique de l'Ukraine quant à la Russie elle a son gigantesque territoire ancestral qui veille sur elle et ses alliés stratégiques qui l'aident dans sa tâche à accomplir.

      A cette époque, l'Occident pensait que tout allait se régler grâce aux sanctions pour Noel. A la fin de 2022, les USA ont parfaitement compris que c'était cuit pour renverser Poutine, le jeu n'en valait plus la chandelle. Le problème c'est que notre arrogance nous a aveuglée et comme personne ne peut perdre la face et bien c'est la surenchère verbale en permanence. Poutine joue la comédie en réalité, ses principaux alliés sont le temps et la méthode employée sur le terrain c'est à dire l'attrition. Il sait que cela va flancher militairement en face, mais il faut retenir la foule en colère en son pays. Cependant, il est sur le bon chemin. Son éducation au KGB lui a appris à avaler les humiliations pour mieux triompher à la fin.

      Aujourd'hui, l'Ukraine est devenu un piège à c.., militairement c'est plié, restera la manche diplomatique, mais l'UE n'y participera pas et rien n'en sortira de bon de toute manière, Poutine le sait déjà, comment croire les USA ? Au quai d'Orsay, ils avaient établi une TASK FORCE, entre avril et août 2022 pour reprendre l'expression de Macron, afin de reconstruire l'Ukraine après le conflit qui n'allait pas durer. On y croyait à la chute de Poutine à l'époque avec les sanctions ce n'est pas une blague.
      Aujourd'hui tous ces investisseurs ont foutu le camp, cette cellule n'existe plus. Macron sait que c'est plié, les J.O et les problèmes politique internes l'arrangent pour se faire oublier sur la scène internationale. L'Otan n'existe pas sur ce coup en réalité, ce sont les accords bilatéraux qui comptent que chaque pays otanien a passés avec Kiev et qui peuvent être oubliés du jour au lendemain car ce ne sont pas des traités ratifiés par des parlements nationaux.

      Donc aucune crainte à avoir. C'est Kiev aujourd'hui le principal problème pour tout le monde car c'est certain, Kiev peut faire quelque chose de franchement dangereux à l'encontre de la Russie et envoyer tout le monde à la casse. Alors tout le monde a intérêt à ce que le régime de Kiev disparaisse afin d'éviter le dérapage de trop. Sur ce point tout le monde commence à être d'accord et on passera à autre chose en tournant la page médiatique. Zelensky a essayé de monnayer son départ, mais personne en Occident ne veut le financer, cela veut tout dire.
      A la fin Poutine arrangera tout le monde, donc on va le laisser faire.

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    3. J'ai oublié un nom dans la liste, pour la Serbie c'est Milosevic.

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