Au vu des cartes open-source pro-AFU, à moins de maskirovka, il semblerait que Sylvain ai eu raison: les attaques ukrainiennes au nord et sud d'Artemovsk semblent, plutôt qu'une offensive, un desserage d'étau pour permettre le décrochage des troupes subsistant dans et à l'ouest de la ville sans qu'elles subissent 95% dans leur retraite. On peut dire ce qu'on veut, mais les mecs qui sont montés à l'assaut de positions retranchées, en plein terrain découvert en infériorité air et feu et avec seulement l'effectif de l'échelle d'un bataillon, soit ils sont dopés jusqu'au yeux soit ce sont d'authentiques héros. Quel gâchis.
Certaines sources évoquent jusqu'à 2000 pertes ukrainiennes de part et d'autre de la ville pour y parvenir ainsi que plusieurs dizaines de blindés dont une poignée de chars (rien de confirmer sur le Leo 1 (ou 2) déchenillé par une mine au nord).
Au vu des cartes open-source pro-AFU, à moins de maskirovka, il semblerait que Sylvain ai eu raison: les attaques ukrainiennes au nord et sud d'Artemovsk semblent, plutôt qu'une offensive, un desserage d'étau pour permettre le décrochage des troupes subsistant dans et à l'ouest de la ville sans qu'elles subissent 95% dans leur retraite.
RépondreSupprimerOn peut dire ce qu'on veut, mais les mecs qui sont montés à l'assaut de positions retranchées, en plein terrain découvert en infériorité air et feu et avec seulement l'effectif de l'échelle d'un bataillon, soit ils sont dopés jusqu'au yeux soit ce sont d'authentiques héros.
Quel gâchis.
Certaines sources évoquent jusqu'à 2000 pertes ukrainiennes de part et d'autre de la ville pour y parvenir ainsi que plusieurs dizaines de blindés dont une poignée de chars (rien de confirmer sur le Leo 1 (ou 2) déchenillé par une mine au nord).
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