Juste une confirmation : Larry Johnson - 7 juillet 2024 « Chasiv Yar a été capturé et les Ukrainiens se démènent pour trouver une nouvelle position défensive afin d’essayer d’arrêter l’offensive russe. L’Ukraine est confrontée à un problème tactiquement insurmontable. La Russie attaque tout le long de la ligne de contact de 1 000 kilomètres et l’Ukraine n’a pas suffisamment de soldats entraînés pour les arrêter. Le principal avantage de la Russie est la puissance aérienne, qu’elle utilise pour pilonner les positions ukrainiennes avec des bombes planantes massives. Même si l’Ukraine parvenait à rassembler suffisamment d’hommes pour rivaliser avec les chiffres russes, elle n’a pas de solution pour arrêter le bombardement aérien de ses positions défensives. (...) La Russie n’est pas pressée. Elle se contente d’infliger des pertes massives aux défenseurs ukrainiens tout en avançant prudemment. Malgré les espoirs occidentaux, la Russie n’utilise pas d’attaques par vagues humaines et ne risque pas de faire des pertes massives parmi ses troupes. Cela pourrait être surnommé l’opération Anaconda. Comme un serpent géant qui arrache la vie à sa proie, l’Ukraine est méthodiquement étranglée. Les journalistes occidentaux, pour la plupart, refusent d’accepter ce fait. »
Suivant sa version, on comprend mieux pourquoi AZOV attaque au Nord du secteur de SIVERSK.
RépondreSupprimerJuste une confirmation :
RépondreSupprimerLarry Johnson - 7 juillet 2024
« Chasiv Yar a été capturé et les Ukrainiens se démènent pour trouver une nouvelle position défensive afin d’essayer d’arrêter l’offensive russe. L’Ukraine est confrontée à un problème tactiquement insurmontable. La Russie attaque tout le long de la ligne de contact de 1 000 kilomètres et l’Ukraine n’a pas suffisamment de soldats entraînés pour les arrêter. Le principal avantage de la Russie est la puissance aérienne, qu’elle utilise pour pilonner les positions ukrainiennes avec des bombes planantes massives. Même si l’Ukraine parvenait à rassembler suffisamment d’hommes pour rivaliser avec les chiffres russes, elle n’a pas de solution pour arrêter le bombardement aérien de ses positions défensives.
(...)
La Russie n’est pas pressée. Elle se contente d’infliger des pertes massives aux défenseurs ukrainiens tout en avançant prudemment. Malgré les espoirs occidentaux, la Russie n’utilise pas d’attaques par vagues humaines et ne risque pas de faire des pertes massives parmi ses troupes. Cela pourrait être surnommé l’opération Anaconda. Comme un serpent géant qui arrache la vie à sa proie, l’Ukraine est méthodiquement étranglée. Les journalistes occidentaux, pour la plupart, refusent d’accepter ce fait. »