UKRAINE : SITREP du 4 février 2025 au matin (Weeb Union)


 

Commentaires

  1. Source Alexandre del Valle, à propos des sanctions imposées à la Russie par l'Occident.
    D'après la chambre de commerce et d'industrie franco-russe de Moscou, avant 2022 il y avait 1000 entreprises françaises de représentées en Russie.
    Aujourd'hui il en reste 940 !!! Et pas des moindres !!! Leroy-Merlin a juste changé de nom, Auchan est resté, il suffit de changer le nom des marques, passez d'un nom latin à un nom cyrillique, ce qui s'appelle un ajustement juridique, c'est suffisant pour détourner les sanctions. Il n'y a que Renault qui a tout perdu, un des actionnaires étant l’État, fallait montrer l'exemple de la crédibilité, pour le reste c'est de la débilité.
    Quant à l'Allemagne ou l'Italie, aucune entreprise privée n'a bougé et ils n'ont rien changé concernant le libellé de leurs marques alors qu'ils sont pro-ukrainiens à fond sur le papier. Certaines entreprises font transiter leurs marchandises par les États Baltes via l'enclave russe de Kaliningrad directement. Et les États Baltes sont les plus russophobes de toute l'UE !!! Ben voyons !!!

    De toute manière avec 20.000 km de frontière et bordée par 14 pays, on ne peut pas asphyxier la Russie en diminuant les flux des marchandises, les possibilités de détourner les sanctions en se servant de pays intermédiaires sont pratiquement sans limite, surtout avec 4 500 km de frontière avec la Chine.


    Selon lui, il y a eu un accord Trump-Biden concernant l'Ukraine en novembre et décembre de l'année dernière et sur la continuité de la politique extérieure américaine.
    On restera dans la logique d'affaiblir constamment la Russie, la guerre n'est pas encore terminée et la paix va devoir encore attendre. Les récentes sanctions énergétiques sur les pays intermédiaires qui ont été mises en application par l'administration Biden début janvier 2025 sur le départ en sont une autre preuve. Trump n'a rien enlevé de ces dernières sanctions et l'UE, qui n'est qu'un protectorat américain, est d'accord pour continuer à les imposer et à en ajouter.

    Le but de tout ce cirque était de couper les européens du gaz russe transitant par gazoduc qui était le moins cher du monde et le plus écologique de tous les transports.
    Les ennuis énergétiques vont donc continuer pour l'Europe ainsi que la récession allemande et les débâcles politiques qui s'en suivront.

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  2. Hors sujet : À propos de Trump, qu'il s'agisse de l'Ukraine, de ses terres rares, du Groenland, Canada, Mexique, Panama ou de la Chine ou de la RDC, le projet US reste le même, modulé ou pas, Trump ou pas, absolument constant. Qu'est-ce que les USA souhaitent PRENDRE de par le monde ? En toute bonne conscience, avec un sentiment de naïve légitimité dans l'appropriation et le vol. Étant entendu que ce qui est pris au nom des USA, quelques groupes ou individus seulement s'en saisissent et en jouissent. Et nous pouvons lister tout ce qu'ils ont pris à la France grâce à nos compatriotes élus et nonobstant complices. La question est : Va-t-on les laisser PRENDRE encore longtemps alors que leur capacité à le faire évolue à la baisse ? Question qui doit se poser à tous - sauf aux Étasuniens (mais elle devrait). Il suffira qu'UN SEUL refuse pour que tous les autres bolos rackettés imitent son refus. Actuellement, la Russie donne cet exemple du refus. Gloire à elle !

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  3. Toujours dans le fil de la discussion Fédorovski-Galactéros.
    Dans les années 90, 3% des russes aisés possédaient 60% des richesses du pays.
    Il s'agissait vraiment d'un pillage de la nation russe par des oligarques sans vergogne.
    Poutine, de marionnette adoubée par ces mêmes personnes est devenu le marionnettiste en chef de la Russie dans les années 2000.
    Ils les a convoqués à la même table où il a reçu Macron et leur a dit :
    "Si vous osez rentrer dans mon bureau en ouvrant ma porte avec votre pied comme à l'époque d'Eltsine, vous êtes des hommes morts",
    silence de glace dans la salle, puis il a ajouté :
    "Au sens figuré, bien entendu !!!".

    Yvan IV le terrible a dit au XVI ième siècle : "La Russie est trop grande pour l'Europe", traduction, elle fait et fera peur au reste de l'Europe continentale.
    Cinq cents ans plus tard, il faut bien constater que rien a changé.

    Trump avance ses pions et marque des points.
    - Il remporte la donne face à la Colombie et le retour de ses migrants illégaux par avion présidentiel s'il vous plait.
    - Le Panama vient de stopper les investissements chinois le long du canal après la visite expresse de Marc Rubio.
    - La présidente du Mexique vient d'annoncer qu'elle envoie 10.000 soldats à la frontière américaine pour bloquer les flux migratoires et surtout le trafic de drogue en l’échange de l'abandon de la hausse des droits de douane pour un mois.
    - Au Danemark et au Groenland c'est la panique, on réinvestit dans la défense nationale.
    - Trump vient de déclarer qu'il serait prêt à continuer à supporter l'Ukraine en l'échange de la captation des terres rares du pays.
    En 14 jours de mandat, c'est pas mal !!!
    Concernant le Canada c'est plus tendu, le roi du Canada est Charles III, faut se mettre à dos tout le Commonwealth. Le dossier sera un peu plus long à être ficelé, mais il a déjà eu la peau de Trudeau en arrivant.

    Sur Les Conflits en Cartes,
    on apprend que l'armée ukrainienne va envoyer sur le front 50.000 hommes pour boucher les trous et assurer les futures rotations sur le front.
    Ces troupes provenant des dernières réserves de l'arrière et prélevées dans des brigades hétéroclites.
    Il y aurait une nouvelle concentration de troupes ukrainiennes sur la frontière Nord de l'oblast de Kharkov là où les russes ont conquis du terrain il y a quelques mois.
    Kiev continue sa razzia sur les structures énergétiques russes à l'aide de ses drones lourds longue portée sans que Washington y trouve quelque chose à redire.
    On voit bien qu'il existe une collision entre les actions désespérées de Kiki et la Maison Blanche.

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  4. Les raids multipliés de drones ukrainiens sur des sites pétroliers russes, cela semble l'initiative dont l'Ukraine est encore capable. Impossible pour les Russes de surveiller tout leur territoire avec la DCA adaptée et cibles très vastes au sol, donc aisées à toucher et à incendier. Ces drones type avion, pas trop chers, permettent de réitérer. Pour le ciblage et le guidage longue distance au moins, aide occidentale très probable. Donc choix calculé de pousser l'Ukraine le plus loin possible le plus longtemps possible dans le conflit. Les Russes, voyant leur territoire historique attaqué, vont chercher à compenser ces atteintes par une victoire militaire incontestable. Donc la guerre, plutôt encore que stop.

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  5. Vu tout à l’heure Sylvain sur GPTV, et ai pensé qu’en plus de son asile accordé à Château il pourrait lancer une souscription TeePee pour les sacs de croquettes de Yakovlev…😀

    L’instinct du chasseur…digne d’Audiard et de la disparition de l’esprit fantassin !

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  6. La dernière fois que Kiev avait entrepris de taper les structures énergétiques russes le Washington démocrate avait dit stop, car les cours peuvent devenir incontrôlables et cela profite aux russes à l'arrivée.

    Aujourd'hui aucun son de cloche outre-Atlantique.
    Les cours du pétrole ne varient presque pas parce que Trump a annoncé annulé tous les décrets des démocrates qui avaient gelé les futures explorations américaines off shore, désireux d'obtenir un pétrole bon marché pour sa future restructuration industrielle nationale.
    Toutes ses actions diplomatiques entreprises de ces derniers temps le prouvent.
    Donc Kiev peut continuer à taper les installations énergétiques russes en profondeur, permission accordée de l'oncle Sam.

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  7. Très bonne interview de Jacques Baud sur Tocsin. On a l’habitude de l’entendre mais j’apprécie spécialement Clémence Houdiakova dans son professionnalisme et sa liberté de ton, ici elle pousse Jacques Baud à la limite de ce qu’il peut dire sur les levées potentielles de documents sur l’assassinat de JFK. Il n’est pas sûr de la levée intégrale car lors de sa présidence précédente Trump y avait renoncé au motif de « sécurité nationale ».
    Quand clémence le pousse un peu, elle lui fait préciser que cette sécurité nationale serait de l’ordre de remettre en question la confiance d’un peuple pour son état, plus précisément d’un autre état, redit 2 fois Jacques Baud.
    Question: Quel état est suffisamment proche du peuple américain pour que celui-ci lui porte une certaine confiance ? Je n’en vois personnellement que 2, la Grande Bretagne et Israël…

    https://www.youtube.com/watch?v=Oyd1bRcIaSc

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    1. J'ai regardé.
      L'assassinat de Kennedy en novembre 63 à Dallas.
      C'est l'histoire d'une dynastie familiale, c'est du Dallas sur plusieurs générations en réalité. C'est comme le clan Bush, ils ont touché à tout ce qu'il ne fallait pas durant des décades en flirtant avec le pouvoir de trop près.
      En se compromettant dans des affaires louches avec des personnes à tronche patibulaire, mais presque comme le disait Coluche. Tel Icare on finit par se brûler les ailes en voulant connaitre des vérités.

      A l'époque J.Edgard.Hoover surveillait tout ce petit monde là comme le lait sur le feu au FBI afin de les faire chanter et de les tenir tous en respect, sécurité nationale oblige à cause de la lutte anticommuniste à faire maintenir en priorité en temps de guerre froide. Jusqu'à qu'il meurt et l'affaire du Watergate éclata contre Nixon et sa célèbre démission due à une procédure d'impeachment après sa victorieuse réélection. Si Hoover n'était pas mort, pas de Watergate, car il s'en aurait servi pour encore mieux maîtriser Richard Nixon qui voulait le virer.
      Hoover avait des dossiers sur tous les Kennedy, du plus petit au plus grand, et le problème N°1 de John Fitzgerald, c'était ses conquêtes féminines et ses confidences sur l'oreiller, en somme facile de le faire taire et de le contrôler.
      Surtout quand son frère Robert ennuyait Hoover afin qu'il justifie son caractère timoré envers la mafia.

      Il y a l'hypothèse de Gaulle qui l'aurait mis au parfum de quelque chose peu de temps après son arrivée à la Maison Blanche qui représentait un sacré danger pour les USA.

      Il y a aussi l'hypothèse du Texas, beaucoup moins connue, qui voulait faire sécession de l’État fédéral américain et qui peut la réaliser grâce à sa propre constitution étatique originelle.
      D'où l’État dans l’État, ce que n'aimait pas Richelieu.
      Lyndon Johnson, le vice-président de l'époque qui deviendra président à la suite de sa mort, était lui-même texan et grand pourfendeur des bourrages d'urne pour se faire élire ou réélire. Kennedy voulait coller des taxes et pas des moindres aux producteurs de pétrole texans à l'époque.
      Cela remuait dans les brancards, de plus le Texas était le premier État technologique dans la course aux étoiles décrété par John Kennedy en début de son mandat. Allo Houston, ici la lune.
      D'où son voyage d'apaisement en novembre 63 pour pacifier les relations avec cet État bien réactionnaire mais sans qui il est pratiquement impossible de remporter une élection présidentielle sans son soutien.
      L'ambiance était tendue et surchauffée entre la Maison Blanche et le Texas.

      Ce qui est certain, c'est que les relations entre de Gaulle et Johnson furent exécrables par la suite jusqu'à ce que Nixon arrive et tout se rétablit comme par miracle. Car Charles connaissait bien Richard quand il était vice-président d’Eisenhower, l'autre grand copain de guerre de Charles.

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    2. Sans avoir porté d’attentions particulières sur les diverses hypothèses, je n’avais pas entendu celle émanant d’une intervention d’un état suffisamment ami pour recueillir la confiance du peuple américain…

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    3. Je pense à l'affaire Kennedy Marilyn Monroe.
      On a inspecté la maison de Marilyn pendant sept heures avant de déclarer qu'elle était morte parce qu'il fallait à tout prix savoir si oui ou non elle possédait une correspondance manuscrite à propos de sa relation adultère avec le président des USA. C'est même son frère, Robert qui s'est personnellement chargé de cet aspect du dossier concernant le suicide de Marilyn Monroe.
      Et bien entendu il n'y a pas eu que cette relation, Hoover en connaissait d'autres, il possédait même des enregistrements audios compromettants.

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    4. @Mr.cyclopede.
      Le risque de sécession d'un État fédéral est de l'ordre de la sécurité nationale.
      Dernièrement le Texas, seul État a monté ses couleurs en même temps que le drapeau américain, a failli virer les gardes fédéraux gardant sa frontière bordant le Mexique parce que le gouvernement démocrate s'est montré incapable de régler leurs problèmes.
      Trump en arrivant a renforcé la frontière texane et a forcé le Mexique a déployé plus de 10.000 hommes de l'autre côté afin d'apaiser les tensions internes.
      A l'époque il y avait la lutte des droits civiques des noirs américains dans les États du Sud, les exactions du Ku Klus Klan, les assassinats de Malcom X et de Martin Luther King, le climat était électrique et délétère, les relations avec Washington étaient assez épouvantables.
      Les Kennedy étaient des acharnés de cette lutte des droits des minorités dans les États du Sud, paradoxalement ce fut Johnson qui fit les premiers pas législatifs sur ce plan. Johnson qui s'enfonça et qui se perdit dans la guerre du Vietnam qu'il avait provoquée, il ne se représentera pas en 68.

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    5. Je comprends bien Zeche, reste le sujet d’un état étranger proche des USA, je ne me rappelle pas l’ombre d’une hypothèse la concernant, et Jacques Baud n’est quand même pas le premier venu ni un farfelu, dur de croire qu’il a lâché çà pour se faire mousser ou emporté par une provocation.
      Je repense par ailleurs aux propos qu’il reprend de De Gaulle dans le livre de Peyrefitte, et des conséquences que les révélations auraient sur la politique internationale passée et présente des US…

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    6. @ Zeche, j'ai écouté l'émission de J. Baud sur "le Tocsin" , je l'écoute toujours, il a d'ailleurs donné une interview sur une chaîne américaine après.
      J'ai tout de suite pensé à Israël et un peu aussi au Royaume-Uni.
      Ce qui est surprenant est qu'il explique tout le milieu du renseignement (international ou occidental?) ne pensait pas que c'était la CIA, mais avait aussi un avis, qui doit être sans qui le dise vraiment, proche du sien: Un autre état.
      Donc il doit y avoir des documents et des discussions qui doivent circuler dans cet arrière monde.
      Il faudrait que je regardes les 4 épisodes de la série d'Oliver Stone sur l'assassinat .
      L'hypothèse texane était connue dés l'époque, sans doute mieux informés que les citoyens actuels j'avais regardé un documentaire sur l'assassinat et qui montré une interview de gens de la rue à New-york , documentaire d'arte, le jour même de la mort, et beaucoup disaient mais qu'est il allé faire la bas dans ce territoire si hostile à sa personne?
      Quant à Johnson il avait plusieurs casquettes hommes lié à la mafia, le FBI, Israël, le pétrole....et corrompu de chez corrompu.
      Quant à de Gaulle , c'est un peu surprise encore plus si il savait quelque chose.
      Cela ne me surprend pas de l'homme mais quand même.

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    7. En 1963, Israël est encore sous influence franco-britannique. C'est en 1967, lors de la guerre des six jours, que de Gaulle s'écarte définitivement de l’État hébreux. De peur d'envenimer le conflit de façon nucléaire et se retrouver coincé entre les deux supergrands comme lors de la crise de Suez de 1956.
      Sachant qu'on était déjà devenu une puissance nucléaire indépendante depuis 1964. On quitte le commandement intégré de l'Otan en 1967 et on vire les américains de chez nous, c'est pas un hasard, les relations avec Johnson étaient pourries à l'époque. La même année, de Gaulle lui colle en pleine face : "Vive le Québec libre !!!".
      Juste après la crise des missiles de Cuba, en 1963, de Gaulle refuse l'installation des missiles américains Polaris sur le sol français. Cela met un froid dans les relations diplomatiques franco-américaines. Cependant les USA nous livreront des citernes volantes Boeing KC-135 pour le ravitaillement en vol de nos bombardiers stratégiques MIRAGE IV porteurs de notre nouvelle bombe nucléaire. Toujours dans l'intérêt de la guerre froide à mener en Europe contre l'URSS.

      Kennedy voulait faire la paix avec Cuba après l'opération désastreuse de la baie des cochons de 1961 et la crise des missiles. Il y a eu l'épisode du mur de Berlin en 1961 dès suites de l'opération manquée de la CIA.
      La pègre américaine détenait tous les casinos et hôtels de luxe à Cuba avant 1959 afin de laver son argent sale hors des USA. C'est à dire hors de contrôle des agents du fisc américain. Le père de Kennedy avait pactisé avec la mafia de Chicago pour trafiquer les voix lors de l'élection présidentielle de son fils par le truchement de Frank Sinatra. Tout ce petit monde se connaissait.

      Kennedy ne voulait pas intervenir au Vietnam car il avait étudié le dossier de la guerre d'Indochine alors qu'il était sénateur du Massachusetts. Le sénat américain sponsorisant notre guerre de décolonisation car elle empêchait la progression du communisme en Asie. Dans le même temps les USA faisaient la guerre en Corée, c'était logique, les USA ont sponsorisé toute l'opération de Diên Biên Phu.

      En 1962, les USA se sont dégonflés face à l'URSS lors de la crise des missiles de Cuba. Ce sont les frères Kennedy et Robert McNamara qui ont cédé face à la pression russe, pas les généraux va t'en guerre américains de l'époque qui voulaient en découdre avec Moscou. Ce qui a provoqué un clash entre l'armée et le pouvoir, la défiance remplaçant la méfiance dans les relations entre Pentagone et la Maison Blanche. La sécurité nationale était menacée.

      Quant à J.Edgar Hoover c'est l'expression de l’État profond américain de l'époque qui ne touchait pas sciemment aux caïds de la mafia.
      Car la mafia est une source de renseignements précieux pour mieux contrôler les hommes politiques corrompus surtout quand celle-ci détient des réseaux de prostitution de luxe.
      La CIA, dans tout cela ??? Excroissance du fiasco de la baie des cochons.
      Mais elle est au courant de qui vient réellement le coup fatal porté comme Lyndon B.Johnson, le FBI et l'armée. La décision a été prise en interne, elle peut être due à une cause externe au démarrage, la faiblesse des Kennedy envers le dossier cubain qui menaçait la sécurité nationale des USA ?

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    8. @Zeche
      Il y a c’est vrai cette possibilité du Texas, au sens qu’en tant qu’Européen nous entendons sous le terme autre état un autre état national, alors que pour un américain il puisse s’agir d’un autre état fédéral.
      Ce serait curieux tout de même de la part de Jacques Baud de raisonner ainsi, à moins que ce soit une petite filouterie pour se dégager d’être allé un peu trop loin…

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    9. @Mr.Cyclopède.
      Je viens de résumer toutes les hypothèses du film d'Oliver Stone sur le sujet.
      Je viens d'émettre l'hypothèse de Cuba, autre État, autre problème de voisinage qui a fait tanguer la barque du monde à l'époque.

      En réalité la politique extérieure américaine n'est qu'une extrapolation de sa politique intérieure. Tout est parti de l'intérieur, pour peut être une raison extérieure qui menaçait la sécurité nationale du pays.
      Mais les problèmes internes sont beaucoup plus importants à traiter en priorité car ils menacent les fondations du pays, c'est à dire l'union de tous ces États qui ne doivent faire qu'un État fédéral aux yeux du monde pour être respecté et craint.

      De toute manière, les américain sont incapables de se mettre à la place des autres, ils pensent comme de parfaits nombrilistes car ils se prennent pour des insulaires. Ils sont entourés d'eau, mais pas de pays, alors les habitants de ces pays ne comptent pas.

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    10. Mais ce sont des insulaires, comme tous les Anglo-Saxons. Cà explique en effet une grande partie de leur relation à l’autre et leur orientation exclusive pour le communautarisme.
      Que craindre des grandes invasions quand on est protégé par la plus efficace des frontières…?

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