DIMA parle d'une nouvelle bombe russe à sous munitions. Effectivement, il s'agit de la bombe PBK-500 U de la société d'armement NPO BASALT ou plus exactement la PBK-500 U SPBE-K en nomenclature russe. Elle sera produite en 2024 à large échelle. Son poids est de 540 kg, a une longueur de 3.1 mètres, est guidée par GPS avec une précision de 5 mètres sur l'objectif et peut être larguée jusqu'à 14.000 mètres d'altitude. Elle a une portée de 50 km maxi car elle est planante, ce qui met l'avion lanceur à l'abri de la DCA ennemie. La grande nouveauté, c'est qu'elle est composée de 15 ensembles indépendants. Chaque ensemble possède une visée automatique qui analyse le terrain, recherche et détermine la cible à détruire avant de largeur ses sous munitions. Un système d'autodestruction existe en cas d'un loupé ou d'un manque de cibles. Les cible prioritaires sont les installations de détection et de brouillage, les radars, les installations de défense antiaérienne, les convois de véhicules, les colonnes d'engins blindés car sa munition peut percer 70 mm de blindage, tout matériel militaire stocké sur des parkings à l'extérieur.
En fait, en 2024, Poutine a l'avantage du calendrier. Si les européens ne font rien avant les élections européennes du 09 juin prochain, il sera difficile pour KIEV de tenir sur la durée et de résister efficacement à la poussée estivale russe sur le front. C'est pour cela qu'il peut se passer quelque chose dans les semaines à venir avec les 300 milliards de fonds russes bloqués et de faire retourner les ukrainiens réfugiés en Europe sur le front avec les européens fermant le yeux comme avec les palestiniens de la bande de Gaza. Du côté américain, plus rien ne se passera de concret pour KIEV avec les élections présidentielles américaines approchant, on va déjà rentrer dans la campagne des primaires au printemps. La politique intérieure américaine va reprendre ses droits dans les mois à venir et tout demeurera paralysé sauf pour ISRAEL. Du côté de KIEV, pas d'élections en vue, tout est annulé, donc la guerre se poursuivra inexorablement au détriment de la population ukrainienne. C'est en ce moment qu'il doit se passer quelque chose pour KIEV, c'est à dire dans les cinq premiers mois de l'année, après ce sera illusoire.
DIMA parle d'une nouvelle bombe russe à sous munitions.
RépondreSupprimerEffectivement, il s'agit de la bombe PBK-500 U de la société d'armement NPO BASALT ou plus exactement la PBK-500 U SPBE-K en nomenclature russe.
Elle sera produite en 2024 à large échelle.
Son poids est de 540 kg, a une longueur de 3.1 mètres, est guidée par GPS avec une précision de 5 mètres sur l'objectif et peut être larguée jusqu'à 14.000 mètres d'altitude. Elle a une portée de 50 km maxi car elle est planante, ce qui met l'avion lanceur à l'abri de la DCA ennemie.
La grande nouveauté, c'est qu'elle est composée de 15 ensembles indépendants.
Chaque ensemble possède une visée automatique qui analyse le terrain, recherche et détermine la cible à détruire avant de largeur ses sous munitions.
Un système d'autodestruction existe en cas d'un loupé ou d'un manque de cibles.
Les cible prioritaires sont les installations de détection et de brouillage, les radars, les installations de défense antiaérienne, les convois de véhicules, les colonnes d'engins blindés car sa munition peut percer 70 mm de blindage, tout matériel militaire stocké sur des parkings à l'extérieur.
En fait, en 2024, Poutine a l'avantage du calendrier.
RépondreSupprimerSi les européens ne font rien avant les élections européennes du 09 juin prochain, il
sera difficile pour KIEV de tenir sur la durée et de résister efficacement à la poussée estivale russe sur le front.
C'est pour cela qu'il peut se passer quelque chose dans les semaines à venir avec les 300 milliards de fonds russes bloqués et de faire retourner les ukrainiens réfugiés en Europe sur le front avec les européens fermant le yeux comme avec les palestiniens de la bande de Gaza.
Du côté américain, plus rien ne se passera de concret pour KIEV avec les élections présidentielles américaines approchant, on va déjà rentrer dans la campagne des primaires au printemps. La politique intérieure américaine va reprendre ses droits dans les mois à venir et tout demeurera paralysé sauf pour ISRAEL.
Du côté de KIEV, pas d'élections en vue, tout est annulé, donc la guerre se poursuivra inexorablement au détriment de la population ukrainienne.
C'est en ce moment qu'il doit se passer quelque chose pour KIEV, c'est à dire dans les cinq premiers mois de l'année, après ce sera illusoire.