Information intéressante, après la Finlande et la Lituanie, le Danemark accepte officiellement l'installation de bases américaines sur son sol, une première depuis 1953. Dans le cas de ce pays, cette décision serait à mettre en partie en relation avec la compagnie Maersk, compagnie danoise leader du commerce maritime mondial, afin de sécuriser ses bateaux avec le problème de la mer Rouge naissant. Il y a aussi sa situation géographique stratégique en mer Baltique et le passage des navires de guerre russes devant ses côtes qui constitue un point chaud bouillant pour l'Otan.
La Suède suivra certainement le mouvement, quand elle aura rejoint l'Otan officiellement, c'est à dire quand Erdogan sera d'accord pour son entrée à condition de toucher au préalable les rétrofits nécessaires concernant la modernisation de ses F-16 vieillissants de la part de Washington. Ainsi toute la Scandinavie sera pieds et poings liés car elle aura abandonné définitivement sa neutralité.
Ce qui est hallucinant, c'est que la Maison Blanche abandonne Kiev en plein milieu du tumulte comme au Vietnam, et des pays européens font encore confiance à Washington pour les sauver des pseudos griffes du Kremlin. Décidément l'administration Biden peut se frotter les mains, la supercherie ukrainienne a donné de très bons résultats dans l'ensemble qui vont se renforcer avec le temps pour leurs seuls intérêts. Nous apprécierons au passage, le piètre niveau intellectuel de nos dirigeants européens.
Il ne faut pas oublier que depuis des années, les pays scandinaves sont très près de l'otan faisant même des exercices commun. La neutralité des pays scandinaves est disparus depuis un bon bout de temps. Et depuis un bon bout de temps, les dirigeants de ces pays se sont alignés sur les folies gaucho-woke de l'occident. Il est aussi trop tôt pour parler d'un abandon de l'Ukraine par les USA. Ils vont surement continuer de recevoir de l'argent et des armes en 2024. Surement pas autant qu'en 2023 mais peut être assez pour continuer à mener un combat défensif et pour faire vivre le pays. Le dollar est encore roi et les USA n'ont pas encore de gros problème à financer leur dette. Ils peuvent donc continuer avec leur politique de la planche à billets. Leur problème est plus la capacité industrielle que le financement. Peuvent ils fabriquer autant d'armes et de munitions que la Russie ou la Chine ? Le % du PIB consacré à l'industrie pour les pays de l'otan tourne autour de 16 % ( USA 17 % ) contre 34 % pour Russie et 40 % pour Chine. L'argent c'est bien mais le pouvoir manufacturier aussi.
Bien entendu, la neutralité, même la Suisse l'a perdue si ce n'est qu'elle l'ait possédée un jour. Il ne resterait que l'Autriche en Europe. La Scandinavie, enfin la Suède d'Olof Palme faisait un peu de résistance face à la pression américaine il y a 39 ans, il en payé le prix fort, maintenant c'est plié.
Logique aussi imparable que cynique des USA : la peur de l'ogre russe née de la guerre avec l'Ukraine a transformé Finlande, Lituanie, Danemark, bientôt Suède (depuis longtemps Norvège, Roumanie, Pologne) en substitut de l'Ukraine. La Finlande et la Lituanie, pour installer des missiles, c'est aussi bien que l'Ukraine. Celle-ci a donc perdu de son utilité et coûte trop cher sans résultats. Son rapport coût / bénéfice est devenu défavorable : les USA changent de cheval. Mais si les Ukrainiens veulent continuer à mourir, grand bien leur fasse ! Les dirigeants de Finlande, Lituanie, Danemark et Suède ont inscrit leurs concitoyens sur une liste à vitrifier prioritairement en cas de conflit nucléaire OTAN - Russie. Les Finlandais, Lituaniens, Danois et Suédois doivent consécutivement se sentir très rassurés et bien dirigés...
Intéressant vidéo qui soulève plusieurs questions Pourquoi les russes n'attaquent pas au niveau de la division et même du corps d'armée pour porter un coup vraiment sévère à l'armée ukrainienne ? Manquent-t-ils des effectifs ou du matériel nécessaire pour ce genre d'attaque qui sera couteuse mais qui pourrait hâter la fin de cette guerre ? Ou bien est il vraiment impossible maintenant avec un ciel couvert de drones d'effectuer une grande offensive ? Mais les drones sont là même avec le grignotage auquel on assiste maintenant. En bref, on sait maintenant que les ukrainiens n'ont pas les ressources nécessaires pour lancer autre chose que de petites attaques tactiques. Les russes eux, qui ont nettement plus de moyens, sont ils assez puissant pour lancer une offensive de niveau stratégique ? Et je reviens avec mon éternelle question, pourquoi les russes ne bombardent ils pas les ponts sur le Dniepr ? C'est pour moi incompréhensible.
1) On ne peut pas libérer un territoire en détruisant tout sur son passage, vouloir le bien de ses cousins génétiques en flinguant tout le monde, c'est compliqué politiquement à gérer sur le long terme, cela laisserait trop de cicatrices indélébiles pour le pouvoir en place. Cela peut être une bombe politique à retardement. C'est la raison pour laquelle Poutine, depuis le début de ce conflit, boxe avec une main dans le dos afin de préserver les civils le plus possible.
2) Il faut démilitariser l'Otan, l'Ukraine est démilitarisée depuis fin juin 2022, cela prend du temps ainsi que la procédure de dénazification du gouvernement kiévien car les nazillons s'accrochent au pouvoir comme des morpions. Il faut que le régime s'effondre c'est la condition sine qua none, ce sera encore long, car il faudrait que la population ukrainienne fasse une rébellion ou une révolution afin d'accélérer le mouvement.
3) Les russes ne s'engagent que par étape afin de ne pas détruire leur économie qui est le poumon de la guerre. Poutine ne peut pas déstabiliser son économie et ne peut pas résister aux sanctions et faire n'importe quoi de l'autre côté simultanément, le risque de déstabilisation économique irréversible serait trop grand pour le pays et il perdrait la guerre. Il faut donc prendre son temps en fonction d'un plan économique établi. A chaque feu vert de l'économie, on progresse militairement sur le terrain.
4) L'histoire de couper les ponts, c'est compliqué pour rejoindre Odessa après, certains oui, tous, peut être pas. De toute manière, les ukrainiens les feront sauter s'ils devaient entreprendre une retraite générale. En attendant, les ponts servent à démilitariser l'Otan.
5) Tant que les ukrainiens se frotteront aux lignes russes, c'est tout bénéfice pour le Kremlin, on ne changera pas la stratégie d'attrition et on avancera par petites touches. C'est à la belle saison que la tactique russe risque de changer cette année.
6) Si les russes allongent leurs lignes de ravitaillent après leur offensive, ils seront moins efficaces sur le front. Ils ne sont pas encore assez, 617.000, il en faut encore pour être certain de son coup c'est pour cela qu'ils réorganisent le front cet hiver afin de faire des économies dans la troupe.
7) Le front est surveillé et ultra miné, on ne peut faire que des sauts de puce en particulier dans le Donbass où tout est fortifié, et c'est pas la saison où tout est compliqué pour se déplacer. Seules les routes bitumées sont empruntables avec sécurité mais tout le monde sait par où vous passerez. Couper à travers champs offre plus de possibilités, mais faut attendre le mois de mai. Alors on fait le siège des villes en attendant et on se réorganise sur le front et on fortifie l'arrière.
Les russes ont fait sauter des ponts sur le front Nord, sur l'Oskol, vers Koupiansk, pour réaliser leur poussée automnale plus facilement dans ce secteur en perturbant le ravitaillement ukrainien. Les ukrainiens ont pris la menace très au sérieux et ont envoyé des renforts très rapidement sur cette partie du front afin de contrer la menace de débordement russe.
La seule option de faire sauter tous les ponts dans l'instant, ce serait pour couvrir une retraite générale russe, mais ce n'est pas du tout le cas. Par contre, détruire que les ponts ferroviaires, cela pourrait se faire dans un premier temps. Resteraient les ponts routiers, les convois faisant des cibles de choix à éliminer par la suite.
Cependant, pour assurer une zone tampon de sécurité aux russes à l'avenir en Ukraine si on est dans l'impasse au niveau de futures négociations, flinguer les ponts sur le Dniepr ainsi que les barrages resterait une option sérieuse à envisager en fin de parcours.
En continuant à exercer une pression sur la Crimée avec l'offensive malheureuse de Krynky, les ukrainiens se condamnent à perdre Odessa à terme parce que les russes voudront la sanctuariser. Donc faudrait mieux qu'il reste des ponts sur le Dniepr pour le franchir. Cependant les russes sont bien équipés en matériel du génie concernant le franchissement fluvial, j'au vu une démonstration vidéo récemment.
Merci pour la réponse Sur le fond, je trouve bizarre la tactique russe d'attaquer de front plutôt que d'essayer d'encercler. Mais sans doute ont ils leurs raisons pour procéder ainsi
Tant que la puissance de feu, constituée par l'artillerie et l'appui aérien principalement, demeure à l'avantage des russes ils peuvent continuer d'envoyer des soldats au casse-pipe protégés et amenés par des blindés sur le terrain car on peut couvrir leur retraite en cas d'un pépin par cette même artillerie et grâce aux drones et aux avions de combat. Les chars de combat sont utilisés comme artillerie mobile dans ce cas pour protéger les équipages des blindés d'infanterie. C'est mieux que d'utiliser des canons statiques ou tractés qui sont repérés instantanément par des drones de surveillance de l'ennemi. Ceci met une pression psychologique sur l'ennemi de façon indéniable en procédant ainsi.
C'est quand on perd sa puissance de feu et ses moyens de locomotion que tout se complique. On ne peut que résister à l'abri de ses tranchées fortifiées. C'est ce qui se passe du côté ukrainien qui ont perdu l'avantage de l'offensive en perdant la puissance de leur artillerie et de leur aviation militaire. Il ne leur reste que des drones pour harceler les lignes russes et quelques roquettes guidées de lanceur HIMARS pour effectuer des tirs de contre-batterie longue distance.
Dans cette europe woke et soumise aux usa ,la marge de manœuvre est plus que réduite. C'est whasington qui dirige et pose ses pions Dorénavant l' otan à une stratégie : contenir la russie ,lui interdire tout contact avec l.ouest (allemagne)et s il le fallait en dernier recours,une guerre à l est jusqu au dernier européen . les usa arrivant comme la cavalerie une fois que les russes auraient épuisé leurs forces ...De toute façon les peuples européens ont leurs cerveaux reliés aux postes de tv et le ventre plein ,la cervelle vide ..finito l europe !! c est un peu la fin de l empire romain , des légionnaires gras du bide , ,vautrés sur leurs canapés entourés de bimbos lgbt...
Information intéressante, après la Finlande et la Lituanie, le Danemark accepte officiellement l'installation de bases américaines sur son sol, une première depuis 1953. Dans le cas de ce pays, cette décision serait à mettre en partie en relation avec la compagnie Maersk, compagnie danoise leader du commerce maritime mondial, afin de sécuriser ses bateaux avec le problème de la mer Rouge naissant.
RépondreSupprimerIl y a aussi sa situation géographique stratégique en mer Baltique et le passage des navires de guerre russes devant ses côtes qui constitue un point chaud bouillant pour l'Otan.
La Suède suivra certainement le mouvement, quand elle aura rejoint l'Otan officiellement, c'est à dire quand Erdogan sera d'accord pour son entrée à condition de toucher au préalable les rétrofits nécessaires concernant la modernisation de ses F-16 vieillissants de la part de Washington.
Ainsi toute la Scandinavie sera pieds et poings liés car elle aura abandonné définitivement sa neutralité.
Ce qui est hallucinant, c'est que la Maison Blanche abandonne Kiev en plein milieu du tumulte comme au Vietnam, et des pays européens font encore confiance à Washington pour les sauver des pseudos griffes du Kremlin.
Décidément l'administration Biden peut se frotter les mains, la supercherie ukrainienne a donné de très bons résultats dans l'ensemble qui vont se renforcer avec le temps pour leurs seuls intérêts.
Nous apprécierons au passage, le piètre niveau intellectuel de nos dirigeants européens.
Il ne faut pas oublier que depuis des années, les pays scandinaves sont très près de l'otan faisant même des exercices commun.
SupprimerLa neutralité des pays scandinaves est disparus depuis un bon bout de temps.
Et depuis un bon bout de temps, les dirigeants de ces pays se sont alignés sur les folies gaucho-woke de l'occident.
Il est aussi trop tôt pour parler d'un abandon de l'Ukraine par les USA.
Ils vont surement continuer de recevoir de l'argent et des armes en 2024.
Surement pas autant qu'en 2023 mais peut être assez pour continuer à mener un combat défensif et pour faire vivre le pays.
Le dollar est encore roi et les USA n'ont pas encore de gros problème à financer leur dette. Ils peuvent donc continuer avec leur politique de la planche à billets.
Leur problème est plus la capacité industrielle que le financement.
Peuvent ils fabriquer autant d'armes et de munitions que la Russie ou la Chine ?
Le % du PIB consacré à l'industrie pour les pays de l'otan tourne autour de 16 % ( USA 17 % ) contre 34 % pour Russie et 40 % pour Chine.
L'argent c'est bien mais le pouvoir manufacturier aussi.
Bien entendu, la neutralité, même la Suisse l'a perdue si ce n'est qu'elle l'ait possédée un jour. Il ne resterait que l'Autriche en Europe.
SupprimerLa Scandinavie, enfin la Suède d'Olof Palme faisait un peu de résistance face à la pression américaine il y a 39 ans, il en payé le prix fort, maintenant c'est plié.
Logique aussi imparable que cynique des USA : la peur de l'ogre russe née de la guerre avec l'Ukraine a transformé Finlande, Lituanie, Danemark, bientôt Suède (depuis longtemps Norvège, Roumanie, Pologne) en substitut de l'Ukraine. La Finlande et la Lituanie, pour installer des missiles, c'est aussi bien que l'Ukraine. Celle-ci a donc perdu de son utilité et coûte trop cher sans résultats. Son rapport coût / bénéfice est devenu défavorable : les USA changent de cheval. Mais si les Ukrainiens veulent continuer à mourir, grand bien leur fasse !
RépondreSupprimerLes dirigeants de Finlande, Lituanie, Danemark et Suède ont inscrit leurs concitoyens sur une liste à vitrifier prioritairement en cas de conflit nucléaire OTAN - Russie. Les Finlandais, Lituaniens, Danois et Suédois doivent consécutivement se sentir très rassurés et bien dirigés...
Intéressant vidéo qui soulève plusieurs questions
RépondreSupprimerPourquoi les russes n'attaquent pas au niveau de la division et même du corps d'armée pour porter un coup vraiment sévère à l'armée ukrainienne ?
Manquent-t-ils des effectifs ou du matériel nécessaire pour ce genre d'attaque qui sera couteuse mais qui pourrait hâter la fin de cette guerre ?
Ou bien est il vraiment impossible maintenant avec un ciel couvert de drones d'effectuer une grande offensive ?
Mais les drones sont là même avec le grignotage auquel on assiste maintenant.
En bref, on sait maintenant que les ukrainiens n'ont pas les ressources nécessaires pour lancer autre chose que de petites attaques tactiques.
Les russes eux, qui ont nettement plus de moyens, sont ils assez puissant pour lancer une offensive de niveau stratégique ?
Et je reviens avec mon éternelle question, pourquoi les russes ne bombardent ils pas les ponts sur le Dniepr ? C'est pour moi incompréhensible.
1) On ne peut pas libérer un territoire en détruisant tout sur son passage, vouloir le bien de ses cousins génétiques en flinguant tout le monde, c'est compliqué politiquement à gérer sur le long terme, cela laisserait trop de cicatrices indélébiles pour le pouvoir en place.
SupprimerCela peut être une bombe politique à retardement. C'est la raison pour laquelle Poutine, depuis le début de ce conflit, boxe avec une main dans le dos afin de préserver les civils le plus possible.
2) Il faut démilitariser l'Otan, l'Ukraine est démilitarisée depuis fin juin 2022, cela prend du temps ainsi que la procédure de dénazification du gouvernement kiévien car les nazillons s'accrochent au pouvoir comme des morpions. Il faut que le régime s'effondre c'est la condition sine qua none, ce sera encore long, car il faudrait que la population ukrainienne fasse une rébellion ou une révolution afin d'accélérer le mouvement.
3) Les russes ne s'engagent que par étape afin de ne pas détruire leur économie qui est le poumon de la guerre. Poutine ne peut pas déstabiliser son économie et ne peut pas résister aux sanctions et faire n'importe quoi de l'autre côté simultanément, le risque de déstabilisation économique irréversible serait trop grand pour le pays et il perdrait la guerre.
Il faut donc prendre son temps en fonction d'un plan économique établi.
A chaque feu vert de l'économie, on progresse militairement sur le terrain.
4) L'histoire de couper les ponts, c'est compliqué pour rejoindre Odessa après, certains oui, tous, peut être pas. De toute manière, les ukrainiens les feront sauter s'ils devaient entreprendre une retraite générale.
En attendant, les ponts servent à démilitariser l'Otan.
5) Tant que les ukrainiens se frotteront aux lignes russes, c'est tout bénéfice pour le Kremlin, on ne changera pas la stratégie d'attrition et on avancera par petites touches. C'est à la belle saison que la tactique russe risque de changer cette année.
6) Si les russes allongent leurs lignes de ravitaillent après leur offensive, ils seront moins efficaces sur le front.
Ils ne sont pas encore assez, 617.000, il en faut encore pour être certain de son coup c'est pour cela qu'ils réorganisent le front cet hiver afin de faire des économies dans la troupe.
7) Le front est surveillé et ultra miné, on ne peut faire que des sauts de puce en particulier dans le Donbass où tout est fortifié, et c'est pas la saison où tout est compliqué pour se déplacer. Seules les routes bitumées sont empruntables avec sécurité mais tout le monde sait par où vous passerez.
Couper à travers champs offre plus de possibilités, mais faut attendre le mois de mai. Alors on fait le siège des villes en attendant et on se réorganise sur le front et on fortifie l'arrière.
Les russes ont fait sauter des ponts sur le front Nord, sur l'Oskol, vers Koupiansk, pour réaliser leur poussée automnale plus facilement dans ce secteur en perturbant le ravitaillement ukrainien.
SupprimerLes ukrainiens ont pris la menace très au sérieux et ont envoyé des renforts très rapidement sur cette partie du front afin de contrer la menace de débordement russe.
La seule option de faire sauter tous les ponts dans l'instant, ce serait pour couvrir une retraite générale russe, mais ce n'est pas du tout le cas.
Par contre, détruire que les ponts ferroviaires, cela pourrait se faire dans un premier temps. Resteraient les ponts routiers, les convois faisant des cibles de choix à éliminer par la suite.
Cependant, pour assurer une zone tampon de sécurité aux russes à l'avenir en Ukraine si on est dans l'impasse au niveau de futures négociations, flinguer les ponts sur le Dniepr ainsi que les barrages resterait une option sérieuse à envisager en fin de parcours.
En continuant à exercer une pression sur la Crimée avec l'offensive malheureuse de Krynky, les ukrainiens se condamnent à perdre Odessa à terme parce que les russes voudront la sanctuariser.
Donc faudrait mieux qu'il reste des ponts sur le Dniepr pour le franchir.
Cependant les russes sont bien équipés en matériel du génie concernant le franchissement fluvial, j'au vu une démonstration vidéo récemment.
Merci pour la réponse
SupprimerSur le fond, je trouve bizarre la tactique russe d'attaquer de front plutôt que d'essayer d'encercler.
Mais sans doute ont ils leurs raisons pour procéder ainsi
Tant que la puissance de feu, constituée par l'artillerie et l'appui aérien principalement, demeure à l'avantage des russes ils peuvent continuer d'envoyer des soldats au casse-pipe protégés et amenés par des blindés sur le terrain car on peut couvrir leur retraite en cas d'un pépin par cette même artillerie et grâce aux drones et aux avions de combat.
SupprimerLes chars de combat sont utilisés comme artillerie mobile dans ce cas pour protéger les équipages des blindés d'infanterie. C'est mieux que d'utiliser des canons statiques ou tractés qui sont repérés instantanément par des drones de surveillance de l'ennemi.
Ceci met une pression psychologique sur l'ennemi de façon indéniable en procédant ainsi.
C'est quand on perd sa puissance de feu et ses moyens de locomotion que tout se complique. On ne peut que résister à l'abri de ses tranchées fortifiées. C'est ce qui se passe du côté ukrainien qui ont perdu l'avantage de l'offensive en perdant la puissance de leur artillerie et de leur aviation militaire.
Il ne leur reste que des drones pour harceler les lignes russes et quelques roquettes guidées de lanceur HIMARS pour effectuer des tirs de contre-batterie longue distance.
Dans cette europe woke et soumise aux usa ,la marge de manœuvre est plus que réduite. C'est whasington qui dirige et pose ses pions Dorénavant l' otan à une stratégie : contenir la russie ,lui interdire tout contact avec l.ouest (allemagne)et s il le fallait en dernier recours,une guerre à l est jusqu au dernier européen . les usa arrivant comme la cavalerie une fois que les russes auraient épuisé leurs forces ...De toute façon les peuples européens ont leurs cerveaux reliés aux postes de tv et le ventre plein ,la cervelle vide ..finito l europe !! c est un peu la fin de l empire romain , des légionnaires gras du bide , ,vautrés sur leurs canapés entourés de bimbos lgbt...
RépondreSupprimerRien à rajoutter !!!!!!!!!!
SupprimerTriste à dire mais c'est pas mal ça.
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