Ukraine : nouvel M1A1 Abrams détruit (South Front)
L'armée russe a détruit un autre char de combat principal M1A1 Abrams de fabrication américaine des forces de Kiev alors qu'elles avançaient au nord-ouest de la ville d'Avdiivka dans la direction de Donetsk.
Selon une vidéo publiée sur les réseaux sociaux le 11 juin, le char a d'abord été mis hors d'état de nuire par un drone suicide FPV pendant la nuit, puis achevé par un second drone dans la matinée. Une autre vidéo mise en ligne le 12 juin montre un incendie à l'arrière de la tourelle du char, où se trouvent le stockage des munitions et l'unité de puissance auxiliaire.
L'Ukraine a reçu 31 Abrams des États-Unis au cours de l'année écoulée. Les médias russes affirment que plus d'un tiers des chars ont déjà été détruits ou endommagés. Toutes les pertes ont eu lieu près d'Avdeevka.
Le coût total des Abrams est variable et peut dépasser 10 millions de dollars pour un seul char, si l'on inclut l'entraînement et le maintien en condition opérationnelle.
L'Ukraine a retiré tous les chars Abrams du front au début de l'année en raison de l'utilisation excessive de drones par l'armée russe, qui rendait trop difficile l'utilisation des chars sans être détectés ou attaqués, selon l'Associated Press. Toutefois, l'avancée rapide de l'armée russe près d'Avdiivka a contraint les forces de Kiev à redéployer les chars.
Un récent rapport de CNN a reconnu que le char n'avait pas donné satisfaction en Ukraine et a révélé que les forces de Kiev se sont battues pour que les Abrams restants restent opérationnels.
L'échec de l'Abrams en Ukraine n'est pas surprenant, car le char a déjà subi de graves pertes en Irak et au Yémen. Toutefois, cet échec est sans aucun doute embarrassant pour les États-Unis et le régime de Kiev, qui présentaient le char comme une arme capable de changer la donne.
Source : https://southfront.press/russian-drones-burn-yet-another-ukrainian-abrams-tanks-near-avdeevka-videos/
Les allemands avaient développé pendant la guerre entre 1942 et 1944, le Panzerkampfwagen VIII Maus de Ferdinand Porsche, un char super lourd hyper blindé de 188 tonnes en déplacement !!!
RépondreSupprimerAvec cela, les drones FPV se casseraient les dents sur sa cuirasse blindée, mais c'est un peu trop lourd pour les plaines boueuses ukrainiennes en mauvaise saison et son autonomie était fortement limitée.
Le M1A1 ABRAMS utilisé en Ukraine n'est pas exactement celui utilisé par les USA car des éléments ont été retirés et remplacés, notamment des matériaux composites faisant partie de son blindage de dernière génération.
Encore une fois, on reste dans le matériel d'occasion bricolé avant le départ sur théâtre de guerre ukrainien.
Si la dernière génération d'ABRAMS partait en fumée dans les plaines ukrainiennes, cela serait encore pire pour l'image de marque des USA.
Ce qui est intéressant c'est que les ukrainiens le remettent en action car ils doivent avoir une pénurie de chars lourds à l'heure actuelle.
D'ailleurs on a vu récemment sur des trains arrivés de Pologne de nouveaux ABRAMS à la frontière.
Il y aurait 14 ou 15 Abrams de détruits, soit près de 50% de la première livraison, il est urgent d'en recommander sachant que les Challenger II britanniques ont été définitivement écartés du front.
Sylvain, je m'adresse au spécialiste, cette information concernant des unités ukrainiennes pendant le débarquement est-elle exacte?
RépondreSupprimerhttps://x.com/thomasovitch1/status/1800766228883177939
Oui sauf que les images au début montrent des Waffen SS, or je le répète, il n'y avait pas de WAFFEN SS ukrainien en France sauf peut-être dans la 30. Waffen-Grenadier-Division der SS (russische Nr. 2) qui a combattu les maquis dans le Doubs fin août 1944. Tous les Ukraniens qui se battaient en France étaient dans des unités de la Wehrmacht, y compris dans d'autres unités que cet escadron de cavalerie et notamment sur les plages du Jour J. Les Ukrainiens présents dans les divisions de la WAFFEN SS présentes en France étaient tous des HIWIS, auxiliaires sans armes.
Supprimermerci de cette précision
SupprimerIl est donc pertinent de souligner que l'invitation de l'héritier politique des collabos banderistes aux commémorations du débarquement marquant la libération de la France à partir du 6 juin 1944 est une façon singulière d'honorer la résistance au nazisme...
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