Sacré Dima. Le 2e groupe de la 3e section de la première compagnie du 2e bataillon de la 15e brigade de la 27e DI Méca du 4e corps de la 2e Armée a commencé à collapser. En conséquence La bataille du 25 de la rue Maschinska du village de Triffouillsky a commencé.
Il est clair qu'on va assister à pas mal de 'collapse' du côté ukrainien par les temps qui courent dans le Donbass. Dima a de beaux jours devant lui. Faudrait pouvoir établir une courbe des conquêtes territoriales russes et ainsi mesurer leur cinétique de progression afin d'avoir une idée plus précise de l'efficacité de leurs percées sur le front ces derniers temps. Ainsi on se rendrait mieux compte de la réelle résistance ukrainienne sur le terrain des affrontements. Si on pouvait comparer l'évolution du chiffre des pertes ukrainiennes de ces derniers temps, on pourrait confirmer leur manque de puissance de feu pour contrer la pression russe sur le terrain. Je pense que les mathématiciens et statisticiens russes pratiquent ce genre d'exercice tous les jours notamment sur les effectifs ukrainiens restant en première ligne pour savoir où mettre la pression sur le front.
Sacré Dima. Le 2e groupe de la 3e section de la première compagnie du 2e bataillon de la 15e brigade de la 27e DI Méca du 4e corps de la 2e Armée a commencé à collapser.
RépondreSupprimerEn conséquence
La bataille du 25 de la rue Maschinska du village de Triffouillsky a commencé.
Il est clair qu'on va assister à pas mal de 'collapse' du côté ukrainien par les temps qui courent dans le Donbass. Dima a de beaux jours devant lui.
SupprimerFaudrait pouvoir établir une courbe des conquêtes territoriales russes et ainsi mesurer leur cinétique de progression afin d'avoir une idée plus précise de l'efficacité de leurs percées sur le front ces derniers temps.
Ainsi on se rendrait mieux compte de la réelle résistance ukrainienne sur le terrain des affrontements.
Si on pouvait comparer l'évolution du chiffre des pertes ukrainiennes de ces derniers temps, on pourrait confirmer leur manque de puissance de feu pour contrer la pression russe sur le terrain.
Je pense que les mathématiciens et statisticiens russes pratiquent ce genre d'exercice tous les jours notamment sur les effectifs ukrainiens restant en première ligne pour savoir où mettre la pression sur le front.