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Ukraine : analyse de Sylvain Ferreira (Le Dialogue)
Depuis plus d'un mois, la situation politique, économique et militaire devient de plus en plus difficile et pas un jour ne se passe sans que de nouvelles révélations publiées dans les médias occidentaux viennent noircir le tableau au point de s'interroger sur la survie. du régime ukrainien et de son emblématique président, Volodymyr Zelensky.La suite de l'article est disponible ICI.
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Si Zelensky devait être "diemisé", qui serait le candidat de Sam? Zaluzny ou Klischko?
RépondreSupprimerC'est Arestovytch.
SupprimerOui, on a envoyé les ukrainien se faire déchiqueter sur les mines russes pendant tout l'été alors qu'on ne leur avait pas envoyé suffisamment de matériels en déminage.
RépondreSupprimerSachant que les russes utilisent 5 fois plus de mines que l'Otan. C'est faire preuve d'intelligence.
On ajoute le fait de l'absence de couverture aérienne, c'est le pompon.
Au préalable il aurait fallu se débarrasser de la DCA russe, décidément, rien n'a en tirer de tous ces généraux otaniens, tous rémunérés pour distribuer de la propagande occidentale.
Le haut commandement militaire ukrainien essaie de sauver sa peau dans la Berezina qui commence à poindre, Zaloujny en tête de la fronde, c'est pas nous les fautifs ce sont les politiques.
Et ce seront bien les politiques qui seront forcés de négocier, et comme les militaires trouveront les résultats de la négociation forcément dégradants pour le pays, les politiques reprendront une flambée de critiques de leur part.
Pour Zelensky, tout le monde sait à présent que ses jours sont comptés en l'absence de financements occidentaux pour faire tourner le pays et continuer la mobilisation, alors il ne faut plus hésiter à tirer sur l'ambulance, haro sur l'animal blessé, l'hallali suivra, cela ne va plus tarder, c'est réglé comme du papier à musique.
Le candidat occidental chargé de régler tout cela s'appelle Arestovytch, l'homme qui a retourné sa veste en janvier dernier, lui est plus crédible que les militaires qui ont envoyé au charbon des soldats non préparés avec un plan de bataille insensé pour aller franchir des lignes russes réputées infranchissables depuis 80 ans.
Du côté européen, il semblerait que ce soit Viktor Orban qui se charge de faire l'entremetteur des négociations avec le Kremlin.
RépondreSupprimerC'est logique, il a refusé les sanctions économiques contre Poutine et de livrer des armes à l'Ukraine. De même il s'approvisionne en gaz directement par le gazoduc Brotherhood passant par l'Ukraine, toujours en activité. C'est normal, la Hongrie n'a pas de port pour recevoir du gaz liquéfié livré par méthaniers.
Tout cela parce que l'UE a refusé d'ouvrir son dossier sur la maltraitance de la minorité des 1.000.000 million de Magyars en Ukraine, faits avérés et étayés par des rapports remis à la cour de justice européenne du Luxembourg. Le dossier de plaintes fut classé à la verticale jugé irrecevable en l'état.
Mais à quoi sert Monsieur Borell, notre cher représentant de la diplomatie européenne ??? Où est Madame Van Der La Hyène ?
Je crois que Monsieur Macron ne peut toujours pas appeler Monsieur Poutine, la ligne est en dérangement pour très longtemps.
Ou plutôt ils essaient de lui mettre la pression pour qu'il vote l'enveloppe des 50 milliards prévus pour l'Ukraine par l'UE. Mais il n'est plus seul en Europe avec les résultats des élections en Slovaquie, en Hollande et demain en Bulgarie.
SupprimerArestovytch s'est certainement placé "en réserve de la république" -- en admettant que l'Ukraine soi une république - et avec l'accord et la protection US, sinon il serait mort. Mais, vu son CV et son activisme dans le Donbass depuis 2014, pas sûr que les Russes acceptent de négocier avec lui. À leur place, je le récuserais. D'ailleurs, il n'a pas plus de légitimité que Zelensky. Le boxeur et le général sont des personnalités bien plus acceptables dans l'objectif d'une rapide réconciliation russo-ukrainienne qui, pour les Russes, serait une vraie victoire politique après la victoire militaire. La façon la plus sûre de ridiculiser les Occidentaux, en rejetant aussi sur eux la responsabilité du carnage et de la destruction. Divers procès pourraient suivre. Comme Poutine et son entourage ont un coup d'avance, ils ont dû prévoir quelque chose de ce genre.
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