Vladislav Shevtchouk, commandant de la 80ème brigade aéromobile de l'armée ukrainienne, cet officier demande, dans un journal officiel de la région de LVOV, la mobilisation de tous les hommes et de toutes les femmes dans l'armée ukrainienne. On voit bien que ce conflit ne va pas se terminer de suite malgré les faiblesses enregistrées et constatées de l'armée ukrainienne sur le terrain.
Dans un journal de la région de LVOV... Faut-il comprendre que les russophones, les plus ou moins roumains et hongrois, outre les furibonds des bataillons néo-nazis, commencent à manquer et que l'ouest de l'Ukraine va devoir verser le prix du sang, quel que soit l'âge et le sexe ? Et c'est pour la continuation de cette vaine boucherie que les pays de l'UE arment et paient ? Si l'Europe est un jardin, le jardinier a décidément bien du sang sur les mains !
Oui, exactement, cela ne fait pas une armée, alors tout ceci se terminera en naufrage au milieu d'un carnage.
Effectivement cela provient de l'Ouest de l'Ukraine. Donc, il n'y a plus de recrues à l'Est ou plus assez, ils ont dû bien décimer les régions russophones, c'est à dire tous les cousins des russes. Logique, Kiev avait commencé tous les recrutements à l'origine par l'Est du pays afin de diminuer le problème des récalcitrants à l'appel et au régime en place.
Le fanatisme étant toujours présent, hors de question que cela s'arrête en l'état, la boucherie continuera encore un certain temps et ce sera encore long avant d'en voir la fin car maintenant il faut éliminer tous les fanatiques afin de faire disparaitre les traces de ce qui ne peut être révélé au grand jour.
Vladislav Shevtchouk, commandant de la 80ème brigade aéromobile de l'armée ukrainienne, cet officier demande, dans un journal officiel de la région de LVOV, la mobilisation de tous les hommes et de toutes les femmes dans l'armée ukrainienne.
RépondreSupprimerOn voit bien que ce conflit ne va pas se terminer de suite malgré les faiblesses enregistrées et constatées de l'armée ukrainienne sur le terrain.
Jusqu'au dernier Ukrainien, c'est ce qui s'appelle un suicide collectif, mais bon, inutile de vouloir expliquer un naufrage collectif...
SupprimerDans un journal de la région de LVOV... Faut-il comprendre que les russophones, les plus ou moins roumains et hongrois, outre les furibonds des bataillons néo-nazis, commencent à manquer et que l'ouest de l'Ukraine va devoir verser le prix du sang, quel que soit l'âge et le sexe ? Et c'est pour la continuation de cette vaine boucherie que les pays de l'UE arment et paient ? Si l'Europe est un jardin, le jardinier a décidément bien du sang sur les mains !
SupprimerPersonne ne prétend qu'il va s'arrêter de suite. Mais encore une fois, un tas d'hommes et de femmes en treillis avec des armes ne fait pas une armée.
SupprimerOui, exactement, cela ne fait pas une armée, alors tout ceci se terminera en naufrage au milieu d'un carnage.
SupprimerEffectivement cela provient de l'Ouest de l'Ukraine. Donc, il n'y a plus de recrues à l'Est ou plus assez, ils ont dû bien décimer les régions russophones, c'est à dire tous les cousins des russes.
Logique, Kiev avait commencé tous les recrutements à l'origine par l'Est du pays afin de diminuer le problème des récalcitrants à l'appel et au régime en place.
Le fanatisme étant toujours présent, hors de question que cela s'arrête en l'état, la boucherie continuera encore un certain temps et ce sera encore long avant d'en voir la fin car maintenant il faut éliminer tous les fanatiques afin de faire disparaitre les traces de ce qui ne peut être révélé au grand jour.