Sur ces images on vient d'apprécier la capacité de destruction d'une bombe russe de 1500kg. Effectivement, le but recherché est de détruire les blockhaus souterrains ukrainiens qui sont inatteignables par un autre moyen. De plus, les russes tâtent le terrain avec des mini offensives de reconnaissance. Si les problèmes de financement perdurent du côté ukrainien alors les russes tenteront quelque chose sur le terrain. Ainsi, ils aideront à abaisser la crédibilité électorale de Biden et des démocrates à la Maison Blanche pour la future élection prévue dans 13 mois. Les russes ont encore le temps de préparer la réponse.
La fin est proche. Côté ukrainien, on ne réussit plus que quelques "coups" avec les armes occidentales les plus perfectionnées et seulement avec le soutien rapproché USA/OTAN/GB. Des coups qui coûtent fort cher, vu le prix des missiles. Et ceux-ci sont en petit nombre. Une comparaison serait intéressante : combien coûte en $/€ chaque jour de guerre aux Russes et aux Ukrainiens (en fait aux Occidentaux). Chiffres non disponibles, bien sûr, mais ce serait édifiant.
Je ne crois pas à une grosse offensive des Russes qui serait inutilement risquée. Ils font juste ce qu'il faut pour qu'en face il ne reste plus guère que de la viande froide. Quand Zelensky aura fini de dépeupler, que nombre de ses soldats se seront rendus et que les arsenaux occidentaux seront vides viendra le temps des négociations. Que la Russie abordera en position de force.
Une escalade avec intervention directe de l'OTAN reste possible. Les néo-cons US doivent y travailler, mais elle ne correspondrait ni aux attentes ni aux intérêts des opinions publiques occidentales confrontées aux pénuries. La prudence extrême de Poutine - et de son entourage - dans la conduite des opérations s'explique par la crainte de donner un prétexte à l'OTAN. Côté russe, l'armée apprend besogneusement à lutter contre ce qu'il y a de plus perfectionné dans les arsenaux occidentaux, et elle se met à niveau plutôt bien.
Les russes progressent dans le domaine du drone, dans la lutte anti-drone, guerre électronique, brouillage électronique, l'artillerie de longue portée, l'artillerie mobile sur roue, systèmes automatisés de tirs, guidage des obus à longue portée, bombes planantes à guidage GPS. A la sortie de ce conflit, ils seront de quoi ils parlent sur un champ de bataille moderne.
Au niveau des missiles, ils caracolent en tête avec l'hypersonique qu'ils maîtrisent dans les airs et sur MER, ce sont les seuls au monde pour le moment à maîtriser cette nouvelle arme dans ces deux éléments. En défense sol-air, il n'y a pas beaucoup à leur montrer, tout est parfaitement intégré de quelques centaines de mètre à 500 km. Dans les chars, ils n'ont pas la même mentalité que l'Occident, leurs T-90M tiennent bien la route mais ils préfèrent toujours la rusticité avec la construction d'une nouvelle génération de T-80 qui démarre à - 40°. En hélicoptères de combat, avec le KH-52M et ses nouveaux missiles, ils vont réadapter leur flotte de combat, de toute manières leurs hélicoptères ont fait leurs preuves sur le terrain des hostilités.
Là où il pèche, mais faut du matos, c'est leur aviation de détection radar style AWACS, ils n'assurent pas une bonne couverture et cela fait des trous dans la raquette, mais leur territoire est gigantesque à couvrir. Il leur faudrait une flotte grande comme d'ici à demain, style à manger tous les budgets, c'est compliqué. Ceci dit, leur flotte aérienne logistique est à réadapter.
Pas de bombes guidées laser à précision métrique parce qu'ils n'ont pas de pod de désignation de qualité. Leurs bombes à guidage GPS ont des précision décamétriques. Mais ils vont faire des bombes autopropulsées guidées avec une portée de 120 km.
Ils doivent encore progresser avec leurs lance-roquettes et atteindre 200 km de portée avec un système du guidage de précision, mais il semblerait qu'ils soient déjà passés de 90 km à 120 km de portée avec leurs roquettes du système TORNADO-S.
Pour le reste, ils montrent au monde entier qu'ils savent gérer une guerre de haute intensité sur terre tant en gestion de matériels qu'au niveau humain et même les impacts financiers pour le pays.
Ce qui n'est pas notre cas et encore très loin de l'être. A part pousser les autres à se battre à notre place et à verser leur sang pour atteindre les objectifs de l'oncle Sam, j'ai rien vu dans ce conflit qui pourrait nous offrir une circonstance atténuante et des résultats guerriers qu'on pourrait glorifier.
ZECHE - Côté français, nous avons une menace bien plus grave à affronter. Je note que le temps consacré à cette nouvelle menace monopolise plus d'espaces sur les grands médias que l'ukraine... Il s'agit de la punaise de lit... Contre cette calamité, nous sommes visiblement désarmé et impuissant. C'est pas avec les canons CEASAR qu'on va régler le problème... L'heure est grave !!! Le chef du groupe renaissance à l'assemblée a déclaré hier qu'il en faisait sa cause numéro 1 (véridique)... Bref, Sylvain ! une info pertinente à annoncer sur le front des punaise de lit ?
LYSANDRE 2 Les empires déclinants offrent toujours cette attitude, celle de regarder à côté pour ne pas s'apercevoir de sa propre décadence. On discute du sexe des anges en attendant la déchéance. Les punaises de lit en font partie. C'est la dérive d'un capitalisme corrompu à ce quoi nous avons affaire, un véritable capitalisme de connivence qui dérape qui est en train de s'échouer sur l'expansion irréversible de l'Asie dont la Chine dirige le mouvement.
Dima fait quand même un monstrueux travail de documentation. A saluer. S'il pouvait s'abstenir de ses analyses à deux balles et de ses prévisions foireuses ce serait tout simplement excellent. Excellent.
La stratégie russe me fait souvent penser à un mec qui partirait chasser des sangliers et qui les verrait venir tout seul vers lui... A quoi bon aller les traquer dans ces conditions? Tu flingues tout ce qui sort du fourré et quand ça s'arrête, tu vas voir si y'en a encore qui se planquent pour les exterminer...
Moi j'ai vraiment l'impression de voir un torero, les Chinois, qui envoient un terrible et énorme taureau, l'OTAN,dont l'extrémité des cornes, l'Ukraine, s'enfoncent rageusement pour rien dans le caparaçon d'un cheval solide monté par un picador courageux , résolu et habile, la Russie, qui lui inflige de terribles blessures à diffusion lente, avec autour, des peones agitant leur capes, Arabes, Indiens, Brésiliens et autre, pour le distraire et l'étourdir tandis que des banderilleros lui plantent quelques piques en évitant, Iran, Venezeluela, , Corée du Nord, histoire de lui activer la circulation sanguine pour qu'il se vide plus vite. Le torero observe, regarde les querencias de la bête, sa distance de combativité, sa puissance réelle, sa manière de passer la corne, et s'il n'y a pas une faiblesse qui se révèle dans son anatomie tout en tenant prêt son épée et sa muleta pour le suerte final, le suerte de mort. Là, le taureau agite la tête à cause de cette sourde douleur qu'il ressent dans la nuque, en beuglant de colère et de frustration de voir que le caparaçon soit intact.va t il arrêter de charger? Alors les banderilleros l'agaçeront. Et puis le torero viendra.
Il y a quand même quelque chose de profondément choquant dans le soutien indéfectible des pseudo démocraties occidentales au régime kievien. C'est le cynisme de ses dirigeants... En ce moment, c'est l'anniversaire des massacres de Babi yar (30 000 femmes, vieillards et enfants massacrés par les nazis allemands et ukrainiens des milices de bandera). Il se trouve que mon beau-père a son appartement en face de Babi Yar. Babi Yar est devenu une espèce de parc floral à la place duquel les israéliens ont le projet de construire un mémorial gigantesque de 150 hectares... J'en arrive au gag... Pour rejoindre le centre de kiev, jusqu'à il y a quelques mois, vous auriez dû emprunter l'avenue de moscou. Elle a été débaptisée; aujourd'hui vous emprunterez l'avenue stepan bandera !!! C'est incroyable non? C'est comme si on débaptisait le boulevard Voltaire à Paris (sur lequel se trouve le Bataclan) pour l'appeler boulevard Abdelhamid Abaaoud (le commanditaire de l'attentat). Evidemment, nos politiciens sont tout à fait au courant de ce scandale dont vous n'entendrez jamais parler sur lci-france inter-bfm-cnews... Le plus difficile pour la diplomatie occidentale, c'est de calmer l'opinion publique israélienne...
J'ai un autre contact français vivant en Russie, ex officier de l'armée de terre française, ex tankiste, qui a vu un défilé avec croix gammées avec saluts nazis en plein centre de Kiev, en l'hommage à Stephan Bandera et des bandéristes, tous anciens officiers SS. La tombe de Bandera est fleurie tous les jours même en hiver.
Les planètes semblent s'aligner du côté Russe, ce n'est que des balbutiements mais sur le terrain militaire , ils gèrent plutôt bien malgré la pression des ukrainiens, sur le plan économique pas d'effondrement mais une économie pragmatique qui s'adapte aux sanctions, sur le plan diplomatique , la Russie n'est pas isolée, elle s'approvisionne chez les nords coréens, chez les Iraniens , un peu en chine qui semble observer le conflit de loin et se prépare a une hypothétique guerre contre les US , il n'y a que l'Arménie qui a basculé côté occidental mais sinon rien a dire , on promettait une victoire ukrainienne et ça n'arrivera pas . Et je ne parle pas du bourbier républicain au congrès , des rodomontades européennes ( qu'ils s'occupent du couple franco allemand qui divorce) , franchement les médias occidentaux peuvent raconter ce qu'ils veulent mais le narratif semble se discréditer.
Ca va de plus en plus fort dans la haute voltige. Imaginons simplement ce que genre d’article émanant du quasi porte parole du camp démocrate avait été édité dans une presse de Trump…: https://www.politico.eu/article/fight-against-ussr-nazi-waffen-ss-trooper-yaroslav-hunka-world-war-ii-soviet-union-germany/?fbclid=IwAR2eZfpZ1RLZPFglGJH-Dbuh9BZzmRLXCoDKjNnw65n5k19b4-A1CIX3Q4c
Sur ces images on vient d'apprécier la capacité de destruction d'une bombe russe de 1500kg.
RépondreSupprimerEffectivement, le but recherché est de détruire les blockhaus souterrains ukrainiens qui sont inatteignables par un autre moyen.
De plus, les russes tâtent le terrain avec des mini offensives de reconnaissance.
Si les problèmes de financement perdurent du côté ukrainien alors les russes tenteront quelque chose sur le terrain. Ainsi, ils aideront à abaisser la crédibilité électorale de Biden et des démocrates à la Maison Blanche pour la future élection prévue dans 13 mois.
Les russes ont encore le temps de préparer la réponse.
La fin est proche. Côté ukrainien, on ne réussit plus que quelques "coups" avec les armes occidentales les plus perfectionnées et seulement avec le soutien rapproché USA/OTAN/GB. Des coups qui coûtent fort cher, vu le prix des missiles. Et ceux-ci sont en petit nombre. Une comparaison serait intéressante : combien coûte en $/€ chaque jour de guerre aux Russes et aux Ukrainiens (en fait aux Occidentaux). Chiffres non disponibles, bien sûr, mais ce serait édifiant.
RépondreSupprimerJe ne crois pas à une grosse offensive des Russes qui serait inutilement risquée. Ils font juste ce qu'il faut pour qu'en face il ne reste plus guère que de la viande froide. Quand Zelensky aura fini de dépeupler, que nombre de ses soldats se seront rendus et que les arsenaux occidentaux seront vides viendra le temps des négociations. Que la Russie abordera en position de force.
Une escalade avec intervention directe de l'OTAN reste possible. Les néo-cons US doivent y travailler, mais elle ne correspondrait ni aux attentes ni aux intérêts des opinions publiques occidentales confrontées aux pénuries. La prudence extrême de Poutine - et de son entourage - dans la conduite des opérations s'explique par la crainte de donner un prétexte à l'OTAN. Côté russe, l'armée apprend besogneusement à lutter contre ce qu'il y a de plus perfectionné dans les arsenaux occidentaux, et elle se met à niveau plutôt bien.
Les russes progressent dans le domaine du drone, dans la lutte anti-drone, guerre électronique, brouillage électronique, l'artillerie de longue portée, l'artillerie mobile sur roue, systèmes automatisés de tirs, guidage des obus à longue portée, bombes planantes à guidage GPS.
SupprimerA la sortie de ce conflit, ils seront de quoi ils parlent sur un champ de bataille moderne.
Au niveau des missiles, ils caracolent en tête avec l'hypersonique qu'ils maîtrisent dans les airs et sur MER, ce sont les seuls au monde pour le moment à maîtriser cette nouvelle arme dans ces deux éléments.
En défense sol-air, il n'y a pas beaucoup à leur montrer, tout est parfaitement intégré de quelques centaines de mètre à 500 km.
Dans les chars, ils n'ont pas la même mentalité que l'Occident, leurs T-90M tiennent bien la route mais ils préfèrent toujours la rusticité avec la construction d'une nouvelle génération de T-80 qui démarre à - 40°.
En hélicoptères de combat, avec le KH-52M et ses nouveaux missiles, ils vont réadapter leur flotte de combat, de toute manières leurs hélicoptères ont fait leurs preuves sur le terrain des hostilités.
Là où il pèche, mais faut du matos, c'est leur aviation de détection radar style AWACS, ils n'assurent pas une bonne couverture et cela fait des trous dans la raquette, mais leur territoire est gigantesque à couvrir.
Il leur faudrait une flotte grande comme d'ici à demain, style à manger tous les budgets, c'est compliqué. Ceci dit, leur flotte aérienne logistique est à réadapter.
Pas de bombes guidées laser à précision métrique parce qu'ils n'ont pas de pod de désignation de qualité. Leurs bombes à guidage GPS ont des précision décamétriques.
Mais ils vont faire des bombes autopropulsées guidées avec une portée de 120 km.
Ils doivent encore progresser avec leurs lance-roquettes et atteindre 200 km de portée avec un système du guidage de précision, mais il semblerait qu'ils soient déjà passés de 90 km à 120 km de portée avec leurs roquettes du système TORNADO-S.
Pour le reste, ils montrent au monde entier qu'ils savent gérer une guerre de haute intensité sur terre tant en gestion de matériels qu'au niveau humain et même les impacts financiers pour le pays.
Ce qui n'est pas notre cas et encore très loin de l'être. A part pousser les autres à se battre à notre place et à verser leur sang pour atteindre les objectifs de l'oncle Sam, j'ai rien vu dans ce conflit qui pourrait nous offrir une circonstance atténuante et des résultats guerriers qu'on pourrait glorifier.
ZECHE -
SupprimerCôté français, nous avons une menace bien plus grave à affronter. Je note que le temps consacré à cette nouvelle menace monopolise plus d'espaces sur les grands médias que l'ukraine... Il s'agit de la punaise de lit...
Contre cette calamité, nous sommes visiblement désarmé et impuissant. C'est pas avec les canons CEASAR qu'on va régler le problème... L'heure est grave !!!
Le chef du groupe renaissance à l'assemblée a déclaré hier qu'il en faisait sa cause numéro 1 (véridique)...
Bref, Sylvain ! une info pertinente à annoncer sur le front des punaise de lit ?
LYSANDRE 2
SupprimerLes empires déclinants offrent toujours cette attitude, celle de regarder à côté pour ne pas s'apercevoir de sa propre décadence. On discute du sexe des anges en attendant la déchéance. Les punaises de lit en font partie.
C'est la dérive d'un capitalisme corrompu à ce quoi nous avons affaire, un véritable capitalisme de connivence qui dérape qui est en train de s'échouer sur l'expansion irréversible de l'Asie dont la Chine dirige le mouvement.
Dima fait quand même un monstrueux travail de documentation. A saluer.
RépondreSupprimerS'il pouvait s'abstenir de ses analyses à deux balles et de ses prévisions foireuses ce serait tout simplement excellent. Excellent.
La stratégie russe me fait souvent penser à un mec qui partirait chasser des sangliers et qui les verrait venir tout seul vers lui... A quoi bon aller les traquer dans ces conditions? Tu flingues tout ce qui sort du fourré et quand ça s'arrête, tu vas voir si y'en a encore qui se planquent pour les exterminer...
SupprimerMoi j'ai vraiment l'impression de voir un torero, les Chinois, qui envoient un terrible et énorme taureau, l'OTAN,dont l'extrémité des cornes, l'Ukraine, s'enfoncent rageusement pour rien dans le caparaçon d'un cheval solide monté par un picador courageux , résolu et habile, la Russie, qui lui inflige de terribles blessures à diffusion lente, avec autour, des peones agitant leur capes, Arabes, Indiens, Brésiliens et autre, pour le distraire et l'étourdir tandis que des banderilleros lui plantent quelques piques en évitant, Iran, Venezeluela, , Corée du Nord, histoire de lui activer la circulation sanguine pour qu'il se vide plus vite. Le torero observe, regarde les querencias de la bête, sa distance de combativité, sa puissance réelle, sa manière de passer la corne, et s'il n'y a pas une faiblesse qui se révèle dans son anatomie tout en tenant prêt son épée et sa muleta pour le suerte final, le suerte de mort.
SupprimerLà, le taureau agite la tête à cause de cette sourde douleur qu'il ressent dans la nuque, en beuglant de colère et de frustration de voir que le caparaçon soit intact.va t il arrêter de charger? Alors les banderilleros l'agaçeront.
Et puis le torero viendra.
C'est du travail de sape, qui avec le temps, prend et prendra tout son sens à un moment où les russes le voudront et le pourront.
SupprimerIl y a quand même quelque chose de profondément choquant dans le soutien indéfectible des pseudo démocraties occidentales au régime kievien. C'est le cynisme de ses dirigeants...
RépondreSupprimerEn ce moment, c'est l'anniversaire des massacres de Babi yar (30 000 femmes, vieillards et enfants massacrés par les nazis allemands et ukrainiens des milices de bandera). Il se trouve que mon beau-père a son appartement en face de Babi Yar. Babi Yar est devenu une espèce de parc floral à la place duquel les israéliens ont le projet de construire un mémorial gigantesque de 150 hectares...
J'en arrive au gag... Pour rejoindre le centre de kiev, jusqu'à il y a quelques mois, vous auriez dû emprunter l'avenue de moscou. Elle a été débaptisée; aujourd'hui vous emprunterez l'avenue stepan bandera !!! C'est incroyable non? C'est comme si on débaptisait le boulevard Voltaire à Paris (sur lequel se trouve le Bataclan) pour l'appeler boulevard Abdelhamid Abaaoud (le commanditaire de l'attentat).
Evidemment, nos politiciens sont tout à fait au courant de ce scandale dont vous n'entendrez jamais parler sur lci-france inter-bfm-cnews...
Le plus difficile pour la diplomatie occidentale, c'est de calmer l'opinion publique israélienne...
J'ai un autre contact français vivant en Russie, ex officier de l'armée de terre française, ex tankiste, qui a vu un défilé avec croix gammées avec saluts nazis en plein centre de Kiev, en l'hommage à Stephan Bandera et des bandéristes, tous anciens officiers SS. La tombe de Bandera est fleurie tous les jours même en hiver.
SupprimerLes planètes semblent s'aligner du côté Russe, ce n'est que des balbutiements mais sur le terrain militaire , ils gèrent plutôt bien malgré la pression des ukrainiens, sur le plan économique pas d'effondrement mais une économie pragmatique qui s'adapte aux sanctions, sur le plan diplomatique , la Russie n'est pas isolée, elle s'approvisionne chez les nords coréens, chez les Iraniens , un peu en chine qui semble observer le conflit de loin et se prépare a une hypothétique guerre contre les US , il n'y a que l'Arménie qui a basculé côté occidental mais sinon rien a dire , on promettait une victoire ukrainienne et ça n'arrivera pas . Et je ne parle pas du bourbier républicain au congrès , des rodomontades européennes ( qu'ils s'occupent du couple franco allemand qui divorce) , franchement les médias occidentaux peuvent raconter ce qu'ils veulent mais le narratif semble se discréditer.
RépondreSupprimerCa va de plus en plus fort dans la haute voltige. Imaginons simplement ce que genre d’article émanant du quasi porte parole du camp démocrate avait été édité dans une presse de Trump…:
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