L'UE n'aura aucune influence dans le règlement du conflit ukrainien car elle a collé Poutine à la CPI pour crimes de guerre en raison d'une déportation d'enfants ukrainiens. Poutine pourrait leur répondre :" Je ne peux négocier avec l'UE car ils me prennent pour un criminel, je suis actuellement mis en examen". Je pense qu'il va faire durer son plaisir de cette manière en attendant. De même Zelensky a publié un décret comme quoi il est impossible de négocier tant qu'il y aura Poutine au pouvoir en Russie.
La seule solution c'est que les USA virent ZELENSKY, c'es qu'ils cherchent à faire actuellement, le remplacer et donner leurs ordres à leur nouveau pantin dans le but d'obtenir un conflit gelé à la sauce coréenne, tel est leur objectif à ce jour.
En attendant l'UE finance la Russie en lui achetant du GNL, Gaz Naturel Liquéfié. Sur 2023, Premier acheteur l'Espagne avec 1.8 milliards d'euros, puis la France avec 1.5 milliards d'euros, puis la Belgique avec 1.36 milliards d'euros, et les pays Baltes russophobes devant l'éternel.
@Zeche Je jette un coup d'oeil au site de Larry Johnson, et les références aux fantasmes de la caste dirigeante de son pays sont nombreuses, souvent bien disséqués. Lui l'analyste issu du sérail. Pense tu que ce fantasme d'arrêter Poutine avant qu'il ne retourne complètement la terre ukrainienne est crédible ? L'ouest a-t-il les moyens d'amadouer La Russie ?
On ne peut qu'émettre des hypothèses, des suggestions et rien d'autre. Poutine ne va pas conquérir la terre ukrainienne, peut être les parties où il y a des russiens encore en quantité, Odessa, littoral de la mer Noire, rejoindre la Transnistrie, frontière bordant la Russie, c'est à dire le russophile russophone orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou qui fera adhésion à la cause. C'est plus confortable ainsi parce qu'après il faut tenir les zones occupées sur le long terme et surtout les sécuriser, c'est une autre paire de manches et cela ne rapporte que des ennuis, des tracas politiquement parlant.
Par contre, si le gouvernement ZELENSKY s'effondrerait d'un coup, toutes les conditions changeront instantanément, la peur et la terreur se dissiperaient au niveau de la population et elle pourrait sauter sur l'occasion, car beaucoup d'ukrainiens rejoindront le train vers Moscou étant donné que l'UE ne tient pas ses promesses, et les USA n'en parlons plus.
Un cas particulier a été oublié, ceux qui ont été libérés du joug de Kiev et repris par celui-ci après les retraits tactiques russes de la zone de Kharkov. A Kherson ils ont pris le soin de faire évacuer une partie de la population pro-russe parce que les militaires ont eu le temps d'organiser la retraite. Si Poutine repart à l'assaut, je ne sais pas quel accueil sera réservé à ses troupes dans la région de Kharkov parce que des exactions de représailles ont été relevées sur la population russophile par les cinglés du régime de Kiev après que les troupes russes ont pris la poudre d'escampette. Ce qui est certain c'est qui lui sera impossible de reculer une nouvelle fois, sinon le soutien de la population commencerait à s'effriter en Russie et dans sa nouvelle Russie et on approche des présidentielles, c'est le 17 mars 2024. En attendant, il va grignoter du terrain, prendre des villes, pour lui donner un élan électoral.
L'Ouest continue et va continuer à endiguer la Russie et essayer de l'affaiblir par des autres moyens, l'Etat profond américain existe, on se fout de qui parviendra à la Maison Blanche en novembre 2024. En provoquant des conflits dans le Caucase comme avec l'Arménie, rallumer le feu en Géorgie et en Macédoine avec la Transnistrie, retourner le Kazakhstan. Dans ce dernier pays des russiens fuient et rentrent au bercail victimes de campagnes russophobes et le gouvernement laisse faire alors que Poutine l'a sauvé en 2020 !!! La lutte se poursuit et se poursuivra pas des autres moyens. C'est le jour où Poutine quittera le pouvoir qu'il faudra se reposer la question c'est à dire vers 2030. D'ici là, Vladimir sera déjouera les pièges que l'Occident lui tend.
L'UE n'aura aucune influence dans le règlement du conflit ukrainien car elle a collé Poutine à la CPI pour crimes de guerre en raison d'une déportation d'enfants ukrainiens.
RépondreSupprimerPoutine pourrait leur répondre :" Je ne peux négocier avec l'UE car ils me prennent pour un criminel, je suis actuellement mis en examen".
Je pense qu'il va faire durer son plaisir de cette manière en attendant.
De même Zelensky a publié un décret comme quoi il est impossible de négocier tant qu'il y aura Poutine au pouvoir en Russie.
La seule solution c'est que les USA virent ZELENSKY, c'es qu'ils cherchent à faire actuellement, le remplacer et donner leurs ordres à leur nouveau pantin dans le but d'obtenir un conflit gelé à la sauce coréenne, tel est leur objectif à ce jour.
En attendant l'UE finance la Russie en lui achetant du GNL, Gaz Naturel Liquéfié.
Sur 2023, Premier acheteur l'Espagne avec 1.8 milliards d'euros, puis la France avec 1.5 milliards d'euros, puis la Belgique avec 1.36 milliards d'euros, et les pays Baltes russophobes devant l'éternel.
@Zeche
SupprimerJe jette un coup d'oeil au site de Larry Johnson, et les références aux fantasmes de la caste dirigeante de son pays sont nombreuses, souvent bien disséqués. Lui l'analyste issu du sérail.
Pense tu que ce fantasme d'arrêter Poutine avant qu'il ne retourne complètement la terre ukrainienne est crédible ?
L'ouest a-t-il les moyens d'amadouer La Russie ?
On ne peut qu'émettre des hypothèses, des suggestions et rien d'autre.
SupprimerPoutine ne va pas conquérir la terre ukrainienne, peut être les parties où il y a des russiens encore en quantité, Odessa, littoral de la mer Noire, rejoindre la Transnistrie, frontière bordant la Russie, c'est à dire le russophile russophone orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou qui fera adhésion à la cause.
C'est plus confortable ainsi parce qu'après il faut tenir les zones occupées sur le long terme et surtout les sécuriser, c'est une autre paire de manches et cela ne rapporte que des ennuis, des tracas politiquement parlant.
Par contre, si le gouvernement ZELENSKY s'effondrerait d'un coup, toutes les conditions changeront instantanément, la peur et la terreur se dissiperaient au niveau de la population et elle pourrait sauter sur l'occasion, car beaucoup d'ukrainiens rejoindront le train vers Moscou étant donné que l'UE ne tient pas ses promesses, et les USA n'en parlons plus.
Un cas particulier a été oublié, ceux qui ont été libérés du joug de Kiev et repris par celui-ci après les retraits tactiques russes de la zone de Kharkov. A Kherson ils ont pris le soin de faire évacuer une partie de la population pro-russe parce que les militaires ont eu le temps d'organiser la retraite.
Si Poutine repart à l'assaut, je ne sais pas quel accueil sera réservé à ses troupes dans la région de Kharkov parce que des exactions de représailles ont été relevées sur la population russophile par les cinglés du régime de Kiev après que les troupes russes ont pris la poudre d'escampette.
Ce qui est certain c'est qui lui sera impossible de reculer une nouvelle fois, sinon le soutien de la population commencerait à s'effriter en Russie et dans sa nouvelle Russie et on approche des présidentielles, c'est le 17 mars 2024.
En attendant, il va grignoter du terrain, prendre des villes, pour lui donner un élan électoral.
L'Ouest continue et va continuer à endiguer la Russie et essayer de l'affaiblir par des autres moyens, l'Etat profond américain existe, on se fout de qui parviendra à la Maison Blanche en novembre 2024.
En provoquant des conflits dans le Caucase comme avec l'Arménie, rallumer le feu en Géorgie et en Macédoine avec la Transnistrie, retourner le Kazakhstan. Dans ce dernier pays des russiens fuient et rentrent au bercail victimes de campagnes russophobes et le gouvernement laisse faire alors que Poutine l'a sauvé en 2020 !!!
La lutte se poursuit et se poursuivra pas des autres moyens.
C'est le jour où Poutine quittera le pouvoir qu'il faudra se reposer la question c'est à dire vers 2030.
D'ici là, Vladimir sera déjouera les pièges que l'Occident lui tend.