C'est là où on constate que les sept années d'efforts concernant la construction des fortifications vont être bénéfiques pour les soldats ukrainiens au détriment des soldats russes. Surtout quand le ratio des forces a basculé en faveur de l'assaillant au bout de 21 mois de conflit de haute intensité. Ce pourquoi le 24 février 2022, les russes ne pouvaient pas passer par cette direction, sinon leurs offensives se seraient cassées les dents sur ces mêmes places fortes. Ils ont fait le tour pour éviter les pertes, surtout en partant avec un corps expéditionnaire et pas véritablement une armée afin d'envahir un pays entièrement comme on nous le fait croire depuis le début.
D autant plus que le but recherché des russes était sans doute d obtenir par un simple coup de pression militaire ce qui n avait pas été obtenu avec les accords de Minsk ni avec les tractations entre les usa et la russie (rencontre biden-poutine ,etc ) à savoir une conférence pour établir un traité de "sécurité globale" tenant compte des intérêts sécuritaires russes : pas d otan en Ukraine et reconnaissance de l annexion de la crimee.Cela a marché dans un premier temps avec zelensky mais pas avec l.otan qui a bien analysé que les 150 000 h de poutine relevaient plus d'une intimidation pour forcer à une négociation que d une réelle volonté d' envahir toute l Ukraine , il fallait donc refuser de négocier (boutcha) pour prendre à son propre piège mr poutine ...alea jacta est...
C'est une cascade de coups de poker, de "non-dit", de dissimilations des réelles intentions, de mensonges, de complots, qui ont fini par mettre en branle le plan de la RAND CORPORATION de 2019 à cause des néoconservateurs de la Maison Blanche arrivés au pouvoir avec Biden en 2020.
L'Otan avait bien compris en février 2022 qu'avec 150.000 hommes on ne pouvait prendre l'Ukraine, les intentions russes n'étaient que politiques. Diplomatiquement tout était volontairement bouché par l'Occident depuis MAIDAN, alors il restait aux russes l'option militaire temporaire afin de faire fléchir la partie adverse en provoquant des négociations forcées. Cependant l'Otan a pris un coup d'avance en donnant la permission aux ukrainiens en février 2022 d'arroser copieusement le Donbass avant d'entreprendre une offensive mortelle contre les autonomistes prévue au mois de mars 2022. C'est pourquoi, à partir de la mi-février 2022 le nombres d'obus tombant sur la tête des milices pro-russes du Donbass ne fait que croître. A la date du 15 février, c'est à dire la date précise où les obus de Kiev commencent à tomber, les représentants des USA de l'OSCE, organisation internationale qui comptaient les obus tombés sur le Donbass, ont déguerpi ce même jour, et après on va me raconter que c'était pas téléphoné tout cela !!! La bonne blague !!!
Une fois les russes arrivés en terre ukrainienne, on a mis le scénario en route de Boutcha (et pour Gaza qui équivaut à plus de 2000 fois Boutcha ???) pour enfoncer le clou au niveau de l'opinion internationale afin de désigner le méchant qui est le coupable de ce massacre avant qu'une enquête internationale en bonne et due forme ne puisse le justifier. Juste avant cette foire médiatisée, on fait la promesse à Zelensky d'une aide illimitée s'il continuait le combat face au titan russe, lui représentant le nain ukrainien. C'est sûr à l'époque le rapport des forces étaient encore à l'avantage de l'Ukraine, on pouvait encore y croire, elle était équipée et aidée par l'Otan depuis sept années.
Puis on a envoyé les 11.000 premières sanctions grâce entre autre à Emmanuel Macron alors président du conseils des ministres de l'Union Européenne en pensant que la Russie allait s'écrouler économiquement et ainsi faire déchoir le régime de Vladimir Poutine. C'est Bruno Lemaire qui le disait. Pas de bol, la Russie résiste et reste unie derrière son chef, et cela dure. Dans l'équation on a oublié qu'on n'était pas en mesure de supporter une guerre d'attrition dans un conflit de haute intensité car nous n'avons pas un complexe militaro-industriel adapté à ce genre de situation. Les options militaires restant limitées dès le départ car en face il y a 6000 têtes nucléaires, c'est l'option économique qui faisait pencher la balance en notre faveur, du moins on y croyait à l'époque dur comme fer. Mais cela a lamentablement foiré avec le temps car nous sommes arrivés à 17.000 sanctions, les 11.000 premières étant déjà neutralisées par le Kremlin qui renoue avec la croissance économique à ce jour. Reste plus que nos yeux pour chialer, mais ce sont surtout les ukrainiens qui trinquent en attendant par notre stupidité.
Dans l'équation, nos stratèges militaires ont oublié la Biélorussie, qui a aidé fortement Moscou à encercler Kiev pour mettre la pression sur son gouvernement afin de négocier. Minsk, qui ramasse des sanctions économiques par la suite, et qui a son économie à 2/3 soviétisée, ce qui provoque un véritable tracas sur le plan économique à long terme pour le pays. Alors, le Kremlin a dû secourir le pays économiquement, l'a nucléarisé militairement et Loukachenko a demandé son adhésion au BRICS à Pékin avec l'aide russe, mais il devra encore attendre son tour. Affaire à suivre.
Ça doit être abominablement saignant pour les assaillants.
RépondreSupprimerC'est là où on constate que les sept années d'efforts concernant la construction des fortifications vont être bénéfiques pour les soldats ukrainiens au détriment des soldats russes. Surtout quand le ratio des forces a basculé en faveur de l'assaillant au bout de 21 mois de conflit de haute intensité.
RépondreSupprimerCe pourquoi le 24 février 2022, les russes ne pouvaient pas passer par cette direction, sinon leurs offensives se seraient cassées les dents sur ces mêmes places fortes. Ils ont fait le tour pour éviter les pertes, surtout en partant avec un corps expéditionnaire et pas véritablement une armée afin d'envahir un pays entièrement comme on nous le fait croire depuis le début.
D autant plus que le but recherché des russes était sans doute d obtenir par un simple coup de pression militaire ce qui n avait pas été obtenu avec les accords de Minsk ni avec les tractations entre les usa et la russie (rencontre biden-poutine ,etc ) à savoir une conférence pour établir un traité de "sécurité globale" tenant compte des intérêts sécuritaires russes : pas d otan en Ukraine et reconnaissance de l annexion de la crimee.Cela a marché dans un premier temps avec zelensky mais pas avec l.otan qui a bien analysé que les 150 000 h de poutine relevaient plus d'une intimidation pour forcer à une négociation que d une réelle volonté d' envahir toute l Ukraine , il fallait donc refuser de négocier (boutcha) pour prendre à son propre piège mr poutine ...alea jacta est...
RépondreSupprimerC'est une cascade de coups de poker, de "non-dit", de dissimilations des réelles intentions, de mensonges, de complots, qui ont fini par mettre en branle le plan de la RAND CORPORATION de 2019 à cause des néoconservateurs de la Maison Blanche arrivés au pouvoir avec Biden en 2020.
SupprimerL'Otan avait bien compris en février 2022 qu'avec 150.000 hommes on ne pouvait prendre l'Ukraine, les intentions russes n'étaient que politiques. Diplomatiquement tout était volontairement bouché par l'Occident depuis MAIDAN, alors il restait aux russes l'option militaire temporaire afin de faire fléchir la partie adverse en provoquant des négociations forcées.
Cependant l'Otan a pris un coup d'avance en donnant la permission aux ukrainiens en février 2022 d'arroser copieusement le Donbass avant d'entreprendre une offensive mortelle contre les autonomistes prévue au mois de mars 2022.
C'est pourquoi, à partir de la mi-février 2022 le nombres d'obus tombant sur la tête des milices pro-russes du Donbass ne fait que croître.
A la date du 15 février, c'est à dire la date précise où les obus de Kiev commencent à tomber, les représentants des USA de l'OSCE, organisation internationale qui comptaient les obus tombés sur le Donbass, ont déguerpi ce même jour, et après on va me raconter que c'était pas téléphoné tout cela !!! La bonne blague !!!
Une fois les russes arrivés en terre ukrainienne, on a mis le scénario en route de Boutcha (et pour Gaza qui équivaut à plus de 2000 fois Boutcha ???) pour enfoncer le clou au niveau de l'opinion internationale afin de désigner le méchant qui est le coupable de ce massacre avant qu'une enquête internationale en bonne et due forme ne puisse le justifier.
Juste avant cette foire médiatisée, on fait la promesse à Zelensky d'une aide illimitée s'il continuait le combat face au titan russe, lui représentant le nain ukrainien. C'est sûr à l'époque le rapport des forces étaient encore à l'avantage de l'Ukraine, on pouvait encore y croire, elle était équipée et aidée par l'Otan depuis sept années.
Puis on a envoyé les 11.000 premières sanctions grâce entre autre à Emmanuel Macron alors président du conseils des ministres de l'Union Européenne en pensant que la Russie allait s'écrouler économiquement et ainsi faire déchoir le régime de Vladimir Poutine.
C'est Bruno Lemaire qui le disait.
Pas de bol, la Russie résiste et reste unie derrière son chef, et cela dure.
Dans l'équation on a oublié qu'on n'était pas en mesure de supporter une guerre d'attrition dans un conflit de haute intensité car nous n'avons pas un complexe militaro-industriel adapté à ce genre de situation.
Les options militaires restant limitées dès le départ car en face il y a 6000 têtes nucléaires, c'est l'option économique qui faisait pencher la balance en notre faveur, du moins on y croyait à l'époque dur comme fer.
Mais cela a lamentablement foiré avec le temps car nous sommes arrivés à 17.000 sanctions, les 11.000 premières étant déjà neutralisées par le Kremlin qui renoue avec la croissance économique à ce jour.
Reste plus que nos yeux pour chialer, mais ce sont surtout les ukrainiens qui trinquent en attendant par notre stupidité.
Dans l'équation, nos stratèges militaires ont oublié la Biélorussie, qui a aidé fortement Moscou à encercler Kiev pour mettre la pression sur son gouvernement afin de négocier. Minsk, qui ramasse des sanctions économiques par la suite, et qui a son économie à 2/3 soviétisée, ce qui provoque un véritable tracas sur le plan économique à long terme pour le pays.
Alors, le Kremlin a dû secourir le pays économiquement, l'a nucléarisé militairement et Loukachenko a demandé son adhésion au BRICS à Pékin avec l'aide russe, mais il devra encore attendre son tour. Affaire à suivre.