Les russes minent 5 fois plus que les occidentaux le terrain qu'ils occupent. Ils usent des mines sur la ligne Sourovikine pour consolider leurs positions de défense et surtout interdire l'accès de la Crimée aux ukrainiens sur le front Sud. Cela a parfaitement fonctionné tout au long de cet été avec cette offensive ukrainienne qui est un fiasco que maintenant tout le monde reconnait.
Désolé, mais après je vais être morbide, c'est juste pour expliquer.
Mais miner abondamment handicape plus l'armée d'en face, que de tuer sur place. En effet, les mutilés, les handicapés ne reviennent plus sur le champ de bataille, et ce sont des pertes qui coûtent cher à un Etat afin de les maintenir en vie et s'en occuper par la suite tout au long de leur convalescence. Avec la puissance de l'artillerie russe on obtient les mêmes résultats alors les deux conjugués !!! On a du mal à imaginer les dégâts dans le camp d'en face. Les pertes sont beaucoup plus handicapantes lors du déroulement d'une guerre car elles occupent beaucoup plus de monde et impactent plus durement le pays au niveau financier et des futures recrues concernant de futures mobilisations réalisées en urgence. Cela bloque une réserve humaine permanente sanitaire et administrative chez l'adversaire.
Les morts sont plus handicapants sur le long terme car c'est la future perte démographique du pays. Mais dans l'immédiateté de la situation, L'Etat cache leur nombre afin que sa population garde le moral et ne se retourne pas contre le gouvernement en place. Mais ils ont l'avantage d'occuper moins de monde dans l'administration et les milieux sanitaires que les pertes engendrées par les mines ou l'artillerie. Pour mettre à genou un pays, faut mieux provoquer des pertes que des morts chez l'adversaire. Ainsi, l'usage des mines a toute sa place, de plus elles sont fort peu onéreuses.
Par contre, sur le front Sud, impossible de faire de grands mouvements aujourd'hui d'un côté comme de l'autre à cause de la densité de mines qui y a été déversée. C'est pas là où l'offensive d'hiver, s'il y en aurait une, verrait le jour, du moins en théorie, car c'est la distance la plus courte pour aller rejoindre Odessa et la Transnistrie. Allez savoir mais on pourrait le savoir, si les russes démineraient des zones dans ce secteur.
Les russes minent 5 fois plus que les occidentaux le terrain qu'ils occupent.
RépondreSupprimerIls usent des mines sur la ligne Sourovikine pour consolider leurs positions de défense et surtout interdire l'accès de la Crimée aux ukrainiens sur le front Sud.
Cela a parfaitement fonctionné tout au long de cet été avec cette offensive ukrainienne qui est un fiasco que maintenant tout le monde reconnait.
Désolé, mais après je vais être morbide, c'est juste pour expliquer.
Mais miner abondamment handicape plus l'armée d'en face, que de tuer sur place.
En effet, les mutilés, les handicapés ne reviennent plus sur le champ de bataille, et ce sont des pertes qui coûtent cher à un Etat afin de les maintenir en vie et s'en occuper par la suite tout au long de leur convalescence.
Avec la puissance de l'artillerie russe on obtient les mêmes résultats alors les deux conjugués !!! On a du mal à imaginer les dégâts dans le camp d'en face.
Les pertes sont beaucoup plus handicapantes lors du déroulement d'une guerre car elles occupent beaucoup plus de monde et impactent plus durement le pays au niveau financier et des futures recrues concernant de futures mobilisations réalisées en urgence. Cela bloque une réserve humaine permanente sanitaire et administrative chez l'adversaire.
Les morts sont plus handicapants sur le long terme car c'est la future perte démographique du pays. Mais dans l'immédiateté de la situation, L'Etat cache leur nombre afin que sa population garde le moral et ne se retourne pas contre le gouvernement en place. Mais ils ont l'avantage d'occuper moins de monde dans l'administration et les milieux sanitaires que les pertes engendrées par les mines ou l'artillerie.
Pour mettre à genou un pays, faut mieux provoquer des pertes que des morts chez l'adversaire. Ainsi, l'usage des mines a toute sa place, de plus elles sont fort peu onéreuses.
Par contre, sur le front Sud, impossible de faire de grands mouvements aujourd'hui d'un côté comme de l'autre à cause de la densité de mines qui y a été déversée.
C'est pas là où l'offensive d'hiver, s'il y en aurait une, verrait le jour, du moins en théorie, car c'est la distance la plus courte pour aller rejoindre Odessa et la Transnistrie. Allez savoir mais on pourrait le savoir, si les russes démineraient des zones dans ce secteur.
Les premières images d'un drone kamikaze russe détruisant un drone aérien ukrainien sont apparues sur les médias. La guerre des drones est déclarée.
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