Israël/Palestine : situation le 11 février 2024 (Al Jazeera)



 

Commentaires

  1. L'Egypte ne veut pas des réfugiés palestiniens sur son sol même si ceux-ci mouraient dans la bande de Gaza. De plus, l'Egypte traite très mal les ressortissants gazaouis sur son sol, c'est 10.000 dollars pour se faire opérer dans un de ses hôpitaux.
    Le Caire participe à la destruction des tunnels du Hamas et essaie de réduire le trafic d'armes incessant dans le Sinaï.

    De toute manière tous les pays arabes sunnites de la région ne veulent pas des palestiniens sur leur sol ce pourquoi leur cause a été récupérée par l'Iran petit à petit depuis la fin des années 80 avec la création du Hezbollah.
    L'Iran n'étant pas frontalier avec ISRAEL, c'est tout bénef pour elle car elle n'a pas la question d'une hypothétique immigration violente de palestiniens qui pourraient arriver sur son sol. Elle se sert du Liban comme pays prestataire de sa cause ainsi que de la Syrie et de l'Irak. Elle est pas folle.

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    1. Bien vu. C’est pourquoi je regarde bien plus sévèrement les intervenants d’un conflit lorsqu’ils ne sont directement pas concerné par une frontière ou un territoire commun. Des US pour Israël, et de l’Iran, le Qatar, la Turquie pour les Palestiniens.
      Je ne cite pas volontairement la Russie, qui même indirectement partie grâce à ses liens avec l’Iran, se tient clairement à distance (sujet pas même abordé dans l’interview Carlson/Poutine).

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