A / - 31 000 tués - soldats ukrainiens, sur plus de 730 jours de guerre : Bilan / jour = 42 soldats tués (???). B / - Moscou disposait des plans audacieux des ukrainiens avt juin 2023 - concernant cette offensive que nous pourrions appeler "BELIER" - Nvelle stratégie - je fonce dans un mur, et tant que ce mur ne se fend pas, je tape frontalement dans ce bloc sans se soucier des pertes humaines / matériels !!!! Est-ce sérieux de raconter de telles conneries ????
Jacques Baud vient de donner une interview dans les Incorrectibles, en voici un petit résumé : - Pour lui, à l'heure actuelle on assiste à une fin de règne en Ukraine du pouvoir politique de ZELENSKY. - Comment les occidentaux peuvent-ils arrêter ce conflit sans perdre la face à présent, telle est la question ? - Les tensions entre politiques et militaires en Ukraine ne font que monter. En réalité c'est l'impasse du côté de Kiev et des occidentaux qui font semblant d'aider Kiev à présent pour meubler et tenter de sauver la face. - Les opérations militaires sur BAKHMOUT, KRYNKY, AVDIIVKA, ne sont que des opérations politiques montées par le régime de Kiev afin de continuer à obtenir le soutien occidental et de le conforter sur la durée. Pas de chance les USA se sont retirés définitivement du conflit.
- L'armée ukrainienne était en réalité encore otano-soviétisée au début conflit, pas complètement devenue l'une en s'étant débarrassé complètement de l'autre au niveau des pensées et du matériel. Donc on ne pouvait tout y intégré pour la rendre plus efficace sur le terrain face à une armée russe où tout est pensé, planifié, intégré dans les moindres détails. En leur donnant du matériel hétéroclite datant de la guerre froide du côté occidental et du matériel soviétique du côté des pays de l'ex pacte de Varsovie, on n'a fait que compliquer le problème logistique sur le terrain et rendre l'armée ukrainienne encore plus vulnérable au cours du temps. En voulant aider l'Ukraine, on a enfoncé en réalité les ukrainiens sur le front, par conséquent plus on aidait l'armée ukrainienne et plus on facilitait les actions militaires russes. On retrouve la même idiotie avec nos sanctions économiques qui se retournent contre nous. C'est bien une absence de réflexion et de stratégie qui nous caractérise. C'est la politique du coup de menton, de l'Hubris, mais c'est aussi parce qu'on obéit à des ordres de l'autre côté de l'Atlantique.
- Les russes, en se mettant en mode défensif avec une stratégie d'attrition, exploitent le fait qu'une armée qui est sur son propre sol a encore plus de mal à reculer ou à céder du terrain face à l'occupant. Ainsi, l'occupé jette plus facilement ses forces contre les lignes fortifiées de l'occupant, ce qui mâche le travail des russes car la décimation de l'adversaire est facilitée et ce qui permet aux russes aussi de mieux préserver leurs effectifs sur le long terme pour reconquérir du terrain ultérieurement. On voit le résultat aujourd'hui.
En découvrant ce matin la parole zelinskienne (31'000 pertes côté ukrainien, entre 300 et 500'000 pertes du côté russe), je n’ai pu réprimer un sourire: l’arithmétique et la profession d’amuseur public sont vraiment deux dimensions qui s’excluent mutuellement.
L’Ukraine en manque d’à peu près tout (d'obus, de soldats, de couverture aérienne, de ressources financières, de niaque), en train de reculer à peu près sur toute la longueur des 1000 km de la ligne de front aurait au minimum 10 fois moins de pertes humaines que la Russie. C’est proprement renversant !
Je crois qu’avec Zelinsky, nous sommes en train d’expérimenter le principe du « En même temps » poussé au-delà des frontières de la physique quantique. Mais patience, nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
@Jfrsd La comparaison avec notre En Meme Temps national est bien vu, on est dans le camouflage de l’erreur et de la faute par le mensonge de plus en plus gros. Ou l’on se rend compte que pas besoin de dictature pour voir que devant le péril de la fin de régime la course vers l’impossible, voir l’inadmissible se retrouve. Il n’y entre ces deux personnage juste (encore) une différence de degré et pas de nature.
Le chef d'état major de nos armées lors d'une allocution à la Sorbonne a remis les choses en place concernant le nucléaire national et son utilisation après la déclaration emportée de Macron en Suède. En Europe les chefs militaires ont conscience de la situation et ne disent pas du tout la même chose que les responsables politiques manipulés et qui manipulent la foule pour garder ou accroitre leur pouvoir. Ils ont la tête sur les épaules ce sont les gardiens de la paix à défaut de nos dirigeants et fort heureusement.
A / - 31 000 tués - soldats ukrainiens, sur plus de 730 jours de guerre :
RépondreSupprimerBilan / jour = 42 soldats tués (???).
B / - Moscou disposait des plans audacieux des ukrainiens avt juin 2023 - concernant cette offensive que nous pourrions appeler "BELIER" - Nvelle stratégie - je fonce dans un mur, et tant que ce mur ne se fend pas, je tape frontalement dans ce bloc sans se soucier des pertes humaines / matériels !!!!
Est-ce sérieux de raconter de telles conneries ????
Le comique troupier de Kiev est au fond du trou et il continue de creuser.
SupprimerJacques Baud vient de donner une interview dans les Incorrectibles, en voici un petit résumé :
RépondreSupprimer- Pour lui, à l'heure actuelle on assiste à une fin de règne en Ukraine du pouvoir politique de ZELENSKY.
- Comment les occidentaux peuvent-ils arrêter ce conflit sans perdre la face à présent, telle est la question ?
- Les tensions entre politiques et militaires en Ukraine ne font que monter.
En réalité c'est l'impasse du côté de Kiev et des occidentaux qui font semblant d'aider Kiev à présent pour meubler et tenter de sauver la face.
- Les opérations militaires sur BAKHMOUT, KRYNKY, AVDIIVKA, ne sont que des opérations politiques montées par le régime de Kiev afin de continuer à obtenir le soutien occidental et de le conforter sur la durée.
Pas de chance les USA se sont retirés définitivement du conflit.
- L'armée ukrainienne était en réalité encore otano-soviétisée au début conflit, pas complètement devenue l'une en s'étant débarrassé complètement de l'autre au niveau des pensées et du matériel.
Donc on ne pouvait tout y intégré pour la rendre plus efficace sur le terrain face à une armée russe où tout est pensé, planifié, intégré dans les moindres détails.
En leur donnant du matériel hétéroclite datant de la guerre froide du côté occidental et du matériel soviétique du côté des pays de l'ex pacte de Varsovie, on n'a fait que compliquer le problème logistique sur le terrain et rendre l'armée ukrainienne encore plus vulnérable au cours du temps.
En voulant aider l'Ukraine, on a enfoncé en réalité les ukrainiens sur le front, par conséquent plus on aidait l'armée ukrainienne et plus on facilitait les actions militaires russes.
On retrouve la même idiotie avec nos sanctions économiques qui se retournent contre nous. C'est bien une absence de réflexion et de stratégie qui nous caractérise.
C'est la politique du coup de menton, de l'Hubris, mais c'est aussi parce qu'on obéit à des ordres de l'autre côté de l'Atlantique.
- Les russes, en se mettant en mode défensif avec une stratégie d'attrition, exploitent le fait qu'une armée qui est sur son propre sol a encore plus de mal à reculer ou à céder du terrain face à l'occupant.
Ainsi, l'occupé jette plus facilement ses forces contre les lignes fortifiées de l'occupant, ce qui mâche le travail des russes car la décimation de l'adversaire est facilitée et ce qui permet aux russes aussi de mieux préserver leurs effectifs sur le long terme pour reconquérir du terrain ultérieurement. On voit le résultat aujourd'hui.
En découvrant ce matin la parole zelinskienne (31'000 pertes côté ukrainien, entre 300 et 500'000 pertes du côté russe), je n’ai pu réprimer un sourire: l’arithmétique et la profession d’amuseur public sont vraiment deux dimensions qui s’excluent mutuellement.
RépondreSupprimerL’Ukraine en manque d’à peu près tout (d'obus, de soldats, de couverture aérienne, de ressources financières, de niaque), en train de reculer à peu près sur toute la longueur des 1000 km de la ligne de front aurait au minimum 10 fois moins de pertes humaines que la Russie. C’est proprement renversant !
Je crois qu’avec Zelinsky, nous sommes en train d’expérimenter le principe du « En même temps » poussé au-delà des frontières de la physique quantique. Mais patience, nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
@Jfrsd
SupprimerLa comparaison avec notre En Meme Temps national est bien vu, on est dans le camouflage de l’erreur et de la faute par le mensonge de plus en plus gros.
Ou l’on se rend compte que pas besoin de dictature pour voir que devant le péril de la fin de régime la course vers l’impossible, voir l’inadmissible se retrouve.
Il n’y entre ces deux personnage juste (encore) une différence de degré et pas de nature.
Le chef d'état major de nos armées lors d'une allocution à la Sorbonne a remis les choses en place concernant le nucléaire national et son utilisation après la déclaration emportée de Macron en Suède.
SupprimerEn Europe les chefs militaires ont conscience de la situation et ne disent pas du tout la même chose que les responsables politiques manipulés et qui manipulent la foule pour garder ou accroitre leur pouvoir.
Ils ont la tête sur les épaules ce sont les gardiens de la paix à défaut de nos dirigeants et fort heureusement.