Les copains, je sais pas vous mais j'ai l'impression que la classe dirigeante européenne et surtout francaise est, depuis une dizaine de jours, atteinte d'une frénésie de panique mêlée de bravacherie. On dirait que parallèlement, les US sont entrain de passer la main. Est ce la raison ? Ou alors le livre d'E Todd a-t-il sonné le réveil d'un délire d'auto-intoxication à leur propre propagande et que, d'un seul coup, ils réalisent que l'Ukraine a perdu, qu'ils ont perdu et que cette guerre est existentielle aussi pour eux. C'est comme si leur fameux grand reset sur plusieurs années était compromis et qu'ils passaient soudain le turbo foutu pour foutu. Temps restant extrêmement dangereux
Quand on voit un Macron, toujours prėsent à l’heure actuelle dans un salon Potemkin de l’agriculture vide rien que pour battre un record, et après avoir jouer les bravaches dans un hall ou il y avait plus de police que de visiteurs, exposants et animaux réunis, on a un début de rėponse.
Les copains, je sais pas vous mais j'ai l'impression que la classe dirigeante européenne et surtout francaise est, depuis une dizaine de jours, atteinte d'une frénésie de panique mêlée de bravacherie.
RépondreSupprimerOn dirait que parallèlement, les US sont entrain de passer la main.
Est ce la raison ?
Ou alors le livre d'E Todd a-t-il sonné le réveil d'un délire d'auto-intoxication à leur propre propagande et que, d'un seul coup, ils réalisent que l'Ukraine a perdu, qu'ils ont perdu et que cette guerre est existentielle aussi pour eux. C'est comme si leur fameux grand reset sur plusieurs années était compromis et qu'ils passaient soudain le turbo foutu pour foutu.
Temps restant extrêmement dangereux
Quand on voit un Macron, toujours prėsent à l’heure actuelle dans un salon Potemkin de l’agriculture vide rien que pour battre un record, et après avoir jouer les bravaches dans un hall ou il y avait plus de police que de visiteurs, exposants et animaux réunis, on a un début de rėponse.
SupprimerExcellent entretien du balayage économique de notre planète par jacques Sapir.
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