D'après Conflits en Cartes, des SCALP ont bien été tirés sur la Crimée sur des objectifs situés au Nord de Sébastopol. 3000 ukrainiens, ce serait le nombre de prisonniers restitués par les russes à Kiev depuis le début du conflit.
Un pote du forum disait hier sa résignation à voir les choses aller jusqu'au bout en Ukraine. Je suis assez d'accord. Et je dirai aussi qu'au Moyen Orient aussi. Reste à déterminer ce bout. Pour la Russie( l'Ukraine est un poulet sans tête sous perf) le bout c'est soit d'un côté l'effondrement ou l'éclatement de l'OTAN et l'élimination du danger mortel d'un occident prédateur, soit, de l'autre côté, la fin de la Russie comme grande puissance souveraine. l'Ukraine n'est qu'un épiphénomène. Pour le Moyen Orient, soit il y aura deux états soit il n'y aura plus rien. L'acte du 7 octobre était réfléchi et ceux qui l'ont lancé savait très bien comment Israël allait réagir. Même deux geostrateges en fauteuil comme Zeche ou moi, dès le 9 octobre, prédisions une effroyable rétorsion et un prétexte pour virer les Palestiniens de Gaza. Donc? On n'est qu'au début. Tous les joueurs sont en équilibre sur le fil du rasoir. Chaque joueur a de quoi totalement détruire l'autre. Au prix de sa propre destruction. Contrairement aux autres, l'Iran n'a pas la bombe, mais une paire de missiles sur chaque centrale nucléaire israélienne aurait un résultat équivalent. Et dans cette folie, l'occident entier est dirigée par des baltringues.
Question à laquelle seule une information fiable peut répondre. Sur un naufrage total non précédé de l'explosion de l'intégralité du bateau, les pertes peuvent aller de 10 à 90%. Ce genre de corvette c'est entre 120 et 150 marins.
Merci à ZECHE pour les éclaircissements sur la corvette. La distorsion reste surprenante entre la capacité russe à abattre la majorité des Scalps, à contrer les HIMARS et la légèreté avec laquelle la marine 1) expose un navire vulnérable 2) échoue à prendre les mesures pour le protéger. D'accord, c'était une chasse à coure, mais si le gibier galope vite et louvoie, difficile de l'atteindre à la poupe. L'amiral Sergueï Gorchkov serait mécontent de ses successeurs. La faute à pas de chance ? Possible.
On peut surtout se demander ce que ce vaisseau foutait là et surtout planté comme une chèvre eu égard au temps qu'il a fallu pour monter et réaliser cette opération. Étonnement, les Russes sont muets sur l'affaire. On ne saura jamais s'il s'agissait d'inconsequence ou d'un attrape con.
Émission intéressante, bon choix de documents et d'informations. L'augmentation du nombre d'immigrants depuis le Mexique d'octobre à décembre explique bien des choses. Bien noter que le mur voulu par Trump et qui a fait tant crier n'avait rien de nouveau. Cf. le "limes" qui a protégé l'empire romain des barbares pendant des siècles. Le mur d'Hadrien en est un reste. Encore faut-il vouloir se protéger.
Et oui, comme le disait notre bon roi Henri IV qui, on le sait peu, était considéré comme le meilleur capitaine de son temps: "il n'est de bons murs que de bons hommes". Et ça sera toujours vrai dans 2000 ans
D'après Conflits en Cartes,
RépondreSupprimerdes SCALP ont bien été tirés sur la Crimée sur des objectifs situés au Nord de Sébastopol.
3000 ukrainiens, ce serait le nombre de prisonniers restitués par les russes à Kiev depuis le début du conflit.
Un pote du forum disait hier sa résignation à voir les choses aller jusqu'au bout en Ukraine. Je suis assez d'accord. Et je dirai aussi qu'au Moyen Orient aussi.
RépondreSupprimerReste à déterminer ce bout.
Pour la Russie( l'Ukraine est un poulet sans tête sous perf) le bout c'est soit d'un côté l'effondrement ou l'éclatement de l'OTAN et l'élimination du danger mortel d'un occident prédateur, soit, de l'autre côté, la fin de la Russie comme grande puissance souveraine. l'Ukraine n'est qu'un épiphénomène.
Pour le Moyen Orient, soit il y aura deux états soit il n'y aura plus rien. L'acte du 7 octobre était réfléchi et ceux qui l'ont lancé savait très bien comment Israël allait réagir. Même deux geostrateges en fauteuil comme Zeche ou moi, dès le 9 octobre, prédisions une effroyable rétorsion et un prétexte pour virer les Palestiniens de Gaza.
Donc?
On n'est qu'au début. Tous les joueurs sont en équilibre sur le fil du rasoir. Chaque joueur a de quoi totalement détruire l'autre. Au prix de sa propre destruction. Contrairement aux autres, l'Iran n'a pas la bombe, mais une paire de missiles sur chaque centrale nucléaire israélienne aurait un résultat équivalent.
Et dans cette folie, l'occident entier est dirigée par des baltringues.
A combien peut on évaluer les pertes humaines sur la corvette coulée ?
RépondreSupprimerL'équipage au complet est de 44 personnes sur ce type de corvette.
SupprimerQuestion à laquelle seule une information fiable peut répondre. Sur un naufrage total non précédé de l'explosion de l'intégralité du bateau, les pertes peuvent aller de 10 à 90%.
SupprimerCe genre de corvette c'est entre 120 et 150 marins.
En fait, le personnel de cette corvette est de 44 membres.
SupprimerMerci à ZECHE pour les éclaircissements sur la corvette. La distorsion reste surprenante entre la capacité russe à abattre la majorité des Scalps, à contrer les HIMARS et la légèreté avec laquelle la marine 1) expose un navire vulnérable 2) échoue à prendre les mesures pour le protéger.
RépondreSupprimerD'accord, c'était une chasse à coure, mais si le gibier galope vite et louvoie, difficile de l'atteindre à la poupe. L'amiral Sergueï Gorchkov serait mécontent de ses successeurs. La faute à pas de chance ? Possible.
On peut surtout se demander ce que ce vaisseau foutait là et surtout planté comme une chèvre eu égard au temps qu'il a fallu pour monter et réaliser cette opération.
SupprimerÉtonnement, les Russes sont muets sur l'affaire.
On ne saura jamais s'il s'agissait d'inconsequence ou d'un attrape con.
Émission intéressante, bon choix de documents et d'informations. L'augmentation du nombre d'immigrants depuis le Mexique d'octobre à décembre explique bien des choses.
RépondreSupprimerBien noter que le mur voulu par Trump et qui a fait tant crier n'avait rien de nouveau. Cf. le "limes" qui a protégé l'empire romain des barbares pendant des siècles. Le mur d'Hadrien en est un reste. Encore faut-il vouloir se protéger.
Et oui, comme le disait notre bon roi Henri IV qui, on le sait peu, était considéré comme le meilleur capitaine de son temps: "il n'est de bons murs que de bons hommes".
SupprimerEt ça sera toujours vrai dans 2000 ans