Je viens de discuter avec un site spécialisé dans les présentations d'armement des différents pays, le théâtre des opérations. Il semblerait bien que le russes font arriver leurs missiles ISKANDER à 80° voire 90° à la verticale de leur objectif. L'effet provoqué induit est qu'il est pratiquement impossible de les détecter par des radars de veille à leur approche. C'est comme cela qu'ils ont touché une batterie de PATRIOT et l'ont endommagée. Avec ces missiles les russes visent des objectifs stratégiques tant humains que matériels à l'arrière du front à haute valeur ajoutée.
Pour le sommet des BRICS, l'enjeu capital sera la capacité à déterminer, ou pas, un système de paiement alternatif au dollar et aux DTS. Sapir nous explique(si j'ai bien compris) la position des uns et des autres. La Chine propose le yuan en monnaie de référence ( personne ne veut recréer une hégémonie monétaire). La Russie en pince pour un système d'unité électronique compensable une ou deux fois par an , un peu sur le modèle européen des années 50. La plupart des autres sont séduits mais anxieux d'arrêter la bonne soupe à dollars et inquiets à l'idée de défier l'occident. Si un système est acté avec des échéances précises, c'est un triomphe pour la Russie. Si c'est oui, peut-être, à voir, dans le temps, ne brusquons rien. Ça pue du c... pour la Russie. Si c'est non, vraiment pas, pas de suite, on en reparle dans dix ans, c'est que la récré est fini et tous ces petits gars vont rentrer à la plantation un par un . Pop corn.
Mouais, pas certain que ça revienne en colonnes par 4 chez l'oncle sam. Ils continueront juste à s'arranger entre eux avec leurs devises maisons. Les russes ont vécu pendant 70 ans avec un rouble non convertible, ils ont l'habitude. Ils ont des ressources naturelles et de l'or pour garantir leurs échanges et enfin une banque spécialisée rompue aux marchés de péréquation dont le président est un ancien "rezident" du kgb à Paris, francophone bien sûr et très copain de feu Gérard de Villiers (SAS), un type sympa qui connait son affaire et responsable de la plus grosse biture à la vodka de toute ma vie. Si une monnaie commune n'est pas adoptée tout de suite, c'est pas dramatique.
Je viens de discuter avec un site spécialisé dans les présentations d'armement des différents pays, le théâtre des opérations. Il semblerait bien que le russes font arriver leurs missiles ISKANDER à 80° voire 90° à la verticale de leur objectif.
RépondreSupprimerL'effet provoqué induit est qu'il est pratiquement impossible de les détecter par des radars de veille à leur approche.
C'est comme cela qu'ils ont touché une batterie de PATRIOT et l'ont endommagée.
Avec ces missiles les russes visent des objectifs stratégiques tant humains que matériels à l'arrière du front à haute valeur ajoutée.
Pour le sommet des BRICS, l'enjeu capital sera la capacité à déterminer, ou pas, un système de paiement alternatif au dollar et aux DTS.
RépondreSupprimerSapir nous explique(si j'ai bien compris) la position des uns et des autres.
La Chine propose le yuan en monnaie de référence ( personne ne veut recréer une hégémonie monétaire).
La Russie en pince pour un système d'unité électronique compensable une ou deux fois par an , un peu sur le modèle européen des années 50.
La plupart des autres sont séduits mais anxieux d'arrêter la bonne soupe à dollars et inquiets à l'idée de défier l'occident.
Si un système est acté avec des échéances précises, c'est un triomphe pour la Russie.
Si c'est oui, peut-être, à voir, dans le temps, ne brusquons rien. Ça pue du c... pour la Russie.
Si c'est non, vraiment pas, pas de suite, on en reparle dans dix ans, c'est que la récré est fini et tous ces petits gars vont rentrer à la plantation un par un .
Pop corn.
Mouais, pas certain que ça revienne en colonnes par 4 chez l'oncle sam. Ils continueront juste à s'arranger entre eux avec leurs devises maisons. Les russes ont vécu pendant 70 ans avec un rouble non convertible, ils ont l'habitude. Ils ont des ressources naturelles et de l'or pour garantir leurs échanges et enfin une banque spécialisée rompue aux marchés de péréquation dont le président est un ancien "rezident" du kgb à Paris, francophone bien sûr et très copain de feu Gérard de Villiers (SAS), un type sympa qui connait son affaire et responsable de la plus grosse biture à la vodka de toute ma vie. Si une monnaie commune n'est pas adoptée tout de suite, c'est pas dramatique.
SupprimerJe ne connaissais pas Norman Solomon journaliste et pacifiste américain.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=GEgg_-s7o8U