Avec les russes cela ne mégote pas et le message délivré est clair, l'ennemi est désigné après l'odieux attentat de Moscou, pour les russes la ligne rouge a été franchie, c'est sans retour et c'est sans délai. Poutine a déjà les preuves en main, le FSB a bien travaillé.
BOUDANOV, va falloir qu'il longe les murs jusqu'à la fin de sa vie, c'est terminé la crème solaire en été sur un transat, c'est séance privée d'UV dans son bunker si il veut bronzer.
ZELENSKY dans la foulée qui vire un des pires russophobes du régime, DANILOV le bien nommé. Il vaut faire croire au monde qu'il n'était pas au courant de l'organisation de cet attentat par ses services de renseignement car son directeur de la sécurité nationale ne l'a pas informé de cet état de fait. On dirait le bis repetita qu'on a connu avec la sinistre affaire du RAINBOW WARRIOR en 1985.
Les USA qui disent qu'ils n'y sont pour rien dans l'organisation de cet attentat de masse mais ils ne disent plus que ce n'est pas l'Ukraine. C'est la poudre d'escampette à Washington, déjà avec Gaza c'est plus évident de dire qu'on n'y est pour rien, faudrait pas qu'on leur mette cela sur le dos en prime, cela fait trop en ce moment surtout en période électorale.
Le cadre du SBU qui divulgue aux yeux du monde tous les attentats orchestrés par ses services sur des personnalités russes et ukrainiennes qui étaient pour le camp de la négociation. Il n'aurait pas dû réaliser cet interview à visage découvert, il ne va pas tarder à passer à la postérité avec son extrait de naissance dans la bouche.
Victoria Nuland a bien fait de démissionner, à cette heure elle risquerait de tomber de son balcon, mais cela va peut être arrivé, qui sait ?
Guerre et spoliation : la prise de contrôle des terres agricoles ukrainiennes
Theatrum Belli a publié sans commentaire une étude de l’Oakland Institute, un groupe de réflexion progressiste étasunien.
Quelques extraits :
« La superficie totale des terres contrôlées par les oligarques, des individus corrompus et les grandes entreprises agroalimentaires s’élève donc à plus de neuf millions d’hectares, soit plus de 28 % des terres arables du pays. Le reste est utilisé par plus de huit millions d’agriculteurs ukrainiens.
Ceux qui contrôlent les terres ukrainiennes aujourd’hui sont un mélange d’oligarques et d’intérêts étrangers divers - principalement européens et nord-américains, y compris un fonds d’investissement privé basé aux États-Unis et le fonds souverain d’Arabie saoudite. À l’exception d’une seule, les dix sociétés qui contrôlent le plus de terres sont enregistrées à l’étranger, principalement dans des paradis fiscaux tels que Chypre ou le Luxembourg.
Même lorsqu’elles sont dirigées et encore largement contrôlées par un oligarque fondateur, un certain nombre de ces entreprises sont entrées en bourse, des banques et des fonds d’investissement occidentaux contrôlant désormais une part importante de leurs actions. (...) La plupart de ces entreprises sont endettées auprès d’institutions financières occidentales, en particulier la Banque Européenne pour la Reconstructions et le Développement (BERD), la Banque Européenne d’Investissement (BEI), et la Société Financière Internationale (SFI) – la branche de la Banque mondiale consacrée au secteur privé. »
Pour les huit millions d’agriculteurs ukrainiens en dehors de ce système, combien auront laissé leur peau dans la guerre ? Leurs terres aussi pourraient alors être rachetées. Évidemment, pour les territoires conquis par la Russie, les oligarques et investisseurs internationaux ont déjà perdu ou perdront leur mise. On s’étonne du rôle de la BERD et de la BEI comme financiers – sans doute malavisés - de la spoliation. L’Europe est fortement engagée financièrement en Ukraine à travers ces institutions, ce qui n’est sans doute pas sans rapport avec son soutien frénétique à Zelensky.
Une polémique en Russie : la salle de spectacle logée dans le centre commercial Crocus est voisine de bâtiment d'un service de police. Il est situé dans le Crocus Expo, annexé au centre commercial, à 150 mètres de la salle de spectacle. Or les terroristes ont disposé d'une heure pour agir, puis repartir tranquillement.
Un caillou dans la godasse. Faut-il punir les flics qui n'ont rien vu parce qu'ils n'étaient pas là, parce qu'ils étaient bourrés ou parce qu'ils roupillaient ? Ne jamais sous estimer la capacité d'un fonctionnaire à faire le minimum. Dans ce poste de police de quartier, il n'y avait pas non plus une brigade de spetsnaz aux aguets. D'autant que si ils étaient intervenus immédiatement, on aurait proclamé partout qu'ils les attendaient... Les russes connaissent leurs flics, ils sont encore largement corrompus. Un excès de vitesse ou une conduite en état d'ivresse s'arrange toujours, pour peu qu'on ait un peu de cash sur soi. Rien n'est simple cher ami....
Avec les russes cela ne mégote pas et le message délivré est clair, l'ennemi est désigné après l'odieux attentat de Moscou, pour les russes la ligne rouge a été franchie, c'est sans retour et c'est sans délai.
RépondreSupprimerPoutine a déjà les preuves en main, le FSB a bien travaillé.
BOUDANOV, va falloir qu'il longe les murs jusqu'à la fin de sa vie, c'est terminé la crème solaire en été sur un transat, c'est séance privée d'UV dans son bunker si il veut bronzer.
ZELENSKY dans la foulée qui vire un des pires russophobes du régime, DANILOV le bien nommé. Il vaut faire croire au monde qu'il n'était pas au courant de l'organisation de cet attentat par ses services de renseignement car son directeur de la sécurité nationale ne l'a pas informé de cet état de fait.
On dirait le bis repetita qu'on a connu avec la sinistre affaire du RAINBOW WARRIOR en 1985.
Les USA qui disent qu'ils n'y sont pour rien dans l'organisation de cet attentat de masse mais ils ne disent plus que ce n'est pas l'Ukraine.
C'est la poudre d'escampette à Washington, déjà avec Gaza c'est plus évident de dire qu'on n'y est pour rien, faudrait pas qu'on leur mette cela sur le dos en prime, cela fait trop en ce moment surtout en période électorale.
Le cadre du SBU qui divulgue aux yeux du monde tous les attentats orchestrés par ses services sur des personnalités russes et ukrainiennes qui étaient pour le camp de la négociation.
Il n'aurait pas dû réaliser cet interview à visage découvert, il ne va pas tarder à passer à la postérité avec son extrait de naissance dans la bouche.
Victoria Nuland a bien fait de démissionner, à cette heure elle risquerait de tomber de son balcon, mais cela va peut être arrivé, qui sait ?
Guerre et spoliation : la prise de contrôle des terres agricoles ukrainiennes
RépondreSupprimerTheatrum Belli a publié sans commentaire une étude de l’Oakland Institute, un groupe de réflexion progressiste étasunien.
Quelques extraits :
« La superficie totale des terres contrôlées par les oligarques, des individus corrompus et les grandes entreprises agroalimentaires s’élève donc à plus de neuf millions d’hectares, soit plus de 28 % des terres arables du pays. Le reste est utilisé par plus de huit millions d’agriculteurs ukrainiens.
Ceux qui contrôlent les terres ukrainiennes aujourd’hui sont un mélange d’oligarques et d’intérêts étrangers divers - principalement européens et nord-américains, y compris un fonds d’investissement privé basé aux États-Unis et le fonds souverain d’Arabie saoudite. À l’exception d’une seule, les dix sociétés qui contrôlent le plus de terres sont enregistrées à l’étranger, principalement dans des paradis fiscaux tels que Chypre ou le Luxembourg.
Même lorsqu’elles sont dirigées et encore largement contrôlées par un oligarque fondateur, un certain nombre de ces entreprises sont entrées en bourse, des banques et des fonds d’investissement occidentaux contrôlant désormais une part importante de leurs actions.
(...)
La plupart de ces entreprises sont endettées auprès d’institutions financières occidentales, en particulier la Banque Européenne pour la Reconstructions et le Développement (BERD), la Banque Européenne d’Investissement (BEI), et la Société Financière Internationale (SFI) – la branche de la Banque mondiale consacrée au secteur privé. »
Pour les huit millions d’agriculteurs ukrainiens en dehors de ce système, combien auront laissé leur peau dans la guerre ? Leurs terres aussi pourraient alors être rachetées. Évidemment, pour les territoires conquis par la Russie, les oligarques et investisseurs internationaux ont déjà perdu ou perdront leur mise. On s’étonne du rôle de la BERD et de la BEI comme financiers – sans doute malavisés - de la spoliation. L’Europe est fortement engagée financièrement en Ukraine à travers ces institutions, ce qui n’est sans doute pas sans rapport avec son soutien frénétique à Zelensky.
Pour ceux qui veulent lire le rapport :
https://theatrum-belli.com/wp-content/plugins/pdfjs-viewer-shortcode/pdfjs/web/viewer.php?file=https://theatrum-belli.com/wp-content/uploads/2024/03/UKRAINE-guerre-et-spoliation.pdf&attachment_id=349968&dButton=true&pButton=true&oButton=false&sButton=true#zoom=auto&pagemode=none&_wpnonce=4140fe4bde
Une polémique en Russie : la salle de spectacle logée dans le centre commercial Crocus est voisine de bâtiment d'un service de police. Il est situé dans le Crocus Expo, annexé au centre commercial, à 150 mètres de la salle de spectacle. Or les terroristes ont disposé d'une heure pour agir, puis repartir tranquillement.
RépondreSupprimerUn caillou dans la godasse. Faut-il punir les flics qui n'ont rien vu parce qu'ils n'étaient pas là, parce qu'ils étaient bourrés ou parce qu'ils roupillaient ? Ne jamais sous estimer la capacité d'un fonctionnaire à faire le minimum.
SupprimerDans ce poste de police de quartier, il n'y avait pas non plus une brigade de spetsnaz aux aguets. D'autant que si ils étaient intervenus immédiatement, on aurait proclamé partout qu'ils les attendaient...
Les russes connaissent leurs flics, ils sont encore largement corrompus. Un excès de vitesse ou une conduite en état d'ivresse s'arrange toujours, pour peu qu'on ait un peu de cash sur soi.
Rien n'est simple cher ami....