Ukraine : situation le 27 mars 2024 à 19h (Weeb Union)


 

Commentaires

  1. Emmanuel Todd juge Macron stupide. On peut craindre qu'il le soit au point d'engager vraiment l'armée française en Ukraine contre la Russie. Sur des considérations de politique intérieure ("Le FN/RN, c'est le parti au service de la Russie !") et de prestance en Europe ("Voyez les Allemands comme ils sont mous !"). Et une guerre, ça ferait passer au second plan la situation économique.
    L'armée sera contre et bloquera - autant qu'elle le pourra. Mais si on la place en situation de devoir riposter, que pourra-t-elle faire d'autre ? Une défaite radicale aux élections européennes arrivera-t-elle à temps ?

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    1. Astucieux en effet !
      1/ Si les troupes françaises sont massacrées, c'est un argument contre le RN - macron gagne des voix pour les européennes
      2/ Si les russes n'osent pas les attaquer, macron devient un stratège génial et il gagne des voix pour les européennes
      3/ Si, à la suite de la France, d'autres états européens suivent le mouvement (comme pour les chars), macron a l'étoffe d'un leader européen et il gagne des voix pour les européennes
      Opération gagnant dans tous les cas de figure... Quitte à immoler des militaires compatriotes, lui, le chef des armées... Mais bon, Mc Kinsey n'est pas payé pour faire le ménage...
      Va t'il oser le faire ou les chefs militaires, qui ont bien compris le scénario, vont s'opposer à cette cynique mascarade sanglante?

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    2. Pasqua-Chirac avaient fait ce genre de calcul foireux en 88 avec Ouvéa : ils ont fait réélire Mitterrand ces cons là.
      Les Russes ne nous attaquent pas.
      76% des Français ne veulent pas de soldats en Ukraine.
      Si on se fait tuer des hommes, l'effet de dramatisation peut tout à fait jouer contre l'histrion mégalo qui joue, et perd, la vie des hommes et risque la vie des Français pour sa gloriole.

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  2. Si on considère le démantèlement de la France comme l'objectif majeur poursuivi par Macron - et ceux qui ont organisé son assomption sur le pavois médiatique - une débâcle militaire continuerait et même achèverait cette politique par d'autres moyens.

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    1. Ho oui, une bonne défaite comme en 1870, avec une bonne révolte type Commune, avec une bonne répression avec des millions de morts dans l'UE et des dizaines de millions marqués du sceau d'infamie numérique de "dissidents". Comme la répression de la Commune qui fit plus de 100000 morts et plus encore de bagnards , permit d'instaurer, pour 60 ans, une république encore plus anti-sociale que l'empire et à qui on jeta l'anti-clericalisme comme os à ronger et seul élément fédérateur, enfin, cette défaite puis la répression consécutive, permettront enfin le grand reset, fini la propriété pour 99% des gens, gouvernement des experts, fini le privilège citoyen:
      Comme l'avait prédit Lavilliers dans le dernier vers de "3e Couteaux":: "entre Mad Max et l'abbé Pierre".

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    2. En Ukraine, il faudrait que les ukrainiens se révoltent pour arrêter tout cela à présent.
      Mais la terreur de la gouvernance ZELENSKY empêche toute rébellion populaire, malgré le fait que cet ersatz de démocratie n'a quasiment plus de popularité et que son soutien extérieur rétrécit comme une peau de chagrin.

      Si seulement Macron n'était que stupide comme le dit Todd, mais il peut devenir dangereux, ce qui est pire et on a le droit de le redouter.
      De plus, nos couards de l'assemblée nationale ne servent à rien car ils adoubent ses coups de tête de peur de la dissolution qui serait la conséquence de son courroux en cas d'une motion de censure qui passerait.
      De plus les entorses constitutionnelles présidentielles sont renforcées par le silence coupable du conseil des neuf sages qui ne sont pas des juristes de formation mais des carriéristes collaborateurs conciliants du locataire du château.

      En réalité, la situation s'aggrave de jour en jour pour tout le monde, plus personne n'arrive à gérer le dossier ukrainien, plus personne n'a d'emprise sur quoi que ce soit et sur qui que ce soit, tout le monde y perd son latin car personne ne veut perdre la face à présent car l'enjeu est devenu vital des deux côtés du DNIEPR.

      La raison principale est que la Maison Blanche a de moins en moins de contrôle sur Kiev, alors les extrémistes kiéviens en profitent et leur message est clair ; comme vous ne nous subventionnez plus comme avant alors on en fait à notre tête et on vous écoutera de moins en moins à l'avenir, faut cracher au bassinet si vous voulez reprendre le contrôle.
      On le voit avec les messages contradictoires des USA en relation avec l'attentat de Moscou et le fait que Washington demande à Kiev de cesser les attaques de drones sur les raffineries russes.
      Au Congrès à Washington tout est bloqué à cause des élections présidentielles, cela ne va pas s'arranger jusqu'à la fin de l'année, le régime de l'escalade va perdurer jusqu'à ce que... Macron sonne le tocsin.

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    3. Attention, Todd dit aussi qu'il n'y a pas plus dangereux qu'un imbécile.
      Napoléon le disait aussi qu'il les craignait par dessus tout pour leur imprévisibilité.
      Vous savez, le fameux "les cons, ça ose tout, et c'est même..."

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    4. @RdT
      Autant on peut constater que les citoyens de nos démocraties actuelles n’aient plus envie d’aller au front comme en 14 (pas de revanche en jeu) ni comme en 39 (pas de menace territoriale), autant je ne pense pas qu'on puisse également jouer de la révolte sociale comme auparavant.
      Certes la manipulation des masses n’a pas fondamentalement changé, mais Il n’y a pas que le nucléaire qui ait changé la donne en stratégie de guerre, mais, et on le voit régulièrement dans ce que d’aucun appellent faits divers ou de société, la population.
      Si révolte il y a, on sait par qui elle sera conduite et les populations qu’elle mobilisera, ce ne sera pas quelques fils de bourges que sont les 500 blacks blocks parfaitement identifiés, mais ceux qui, sans même les armes que la drogue a refusé de lui confier, ont mis à sac toutes les villes le printemps dernier.
      Je n’ai aucun doute que LFI et associés n’attendent que çà, mais que les mondialistes pyromanes soient prêts à çà, je veux croire que nous n’en sommes pas là.
      Cà s’est pour Mad Max, pour l’Abbé Pierre, vu ce qu’il représente aujourd’hui et qui « eclaire » aujourd’hui l’ensemble des nouveaux damnés de la terre, peu de chance qu’il mobilise beaucoup comme sauveur.

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  3. Macron est sans doute en service commandé .il joue le "mauvais flic", celui qui fait peur ,un rôle qui flatte son narcissisme ,mais l épée de damocles d une intervention des troupes de l otan est maintenant entrée officiellement dans le jeu ,pour l instant seulement par la france ,la Pologne et les baltes mais personne ne s y trompe si la France envoie des troupes , tous devront suivre ...reste à savoir si ce qui paraît n être qu une simple gesticulation pour influencer les russes ( n allez pas jusqu a Odessa ou kiev et négocions, sinon...) et sauver la face de l otan , pourrait etre suivi d un passage à l acte au cas où les russes dépasseraient cette ligne rouge odessa-kiev...wait and see

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    1. Mais non, ce sont seulement les tapineuses du bordel Europe qui rivalise pour devenir tenancière du mac qui a à faire ailleurs.

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  4. En europe nous sommes devenus pour les usa l équivalent des colonies et de leurs troupes pour la France de 40 44,une chair à canon corvéable à merci , faute de mieux , nos bons maitres les usa combattant la russie avec leurs troupes indigènes d europe ,dirigées par leurs généraux de l otan ( vu l etat des nôtres sur LCI ou BFMTV , on les comprends) ...réduits à n être plus qu' une armée de tirailleurs indigènes frenchies , au service de la puissance coloniale americaine , nous sommes voués à etre envoyés en 1 ligne par notre "roi nègre young leader macron" prêt comme ses predecesseurs du temps des colonies à avaler toutes les couleuvres
    venant des maîtres...bientôt la nouvelle devise républicaine progressiste sera " tonton Sam m' a dit "...

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    1. Desolé, mais faut arrêter aussi les comparaisons idiotes, et ici celui des colonies soit disant envoyées en premières ligne.
      Durant la première guerre mondiale, les tirailleurs ont rarement été envoyées en première ligne. Les plus grands pourvoyeurs de celles-ci furent les Bretons et les Vendéens.

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