Les Russes sont dans une offensive prudente mais continue sur le front le plus large possible parce que les Ukrainiens (et alii) ne peuvent les contrer efficacement sur la totalité d'un tel front, faute de personnels. Côté ukrainien, plus guère de positions solides sur lesquelles s'appuyer pour résister. Donc quelques contre-attaques avec ce qui reste de meilleur comme troupes et comme matériels. Ceux-ci consommés et consumés, ne restera que la retraite. Bâtir des fortifications de campagne solides sous les bombes de l'aviation russe réapparue, presque impossible. Plus de projet tactique ou stratégique. On tente de colmater quelques brèches. Effondrement au ralenti en cours.
Ce pourquoi les occidentaux agitent la lanterne avec la Transnistrie et la Moldavie ainsi que la Gagaouzie. Ils veulent que les russes se précipitent et sortent de leur zone de confort, si on peut s'exprimer ainsi, afin qu'ils fassent une erreur stratégique alors qu'ils n'ont pas encore les effectifs pour réaliser un tel enveloppement.
C'est surtout pour exciter les russes avec Odessa qui reste un de leurs objectifs afin de sanctuariser la Crimée après le conflit. Sans Odessa, il n'y a plus d'Ukraine sur le plan économique ce qui accroit la probabilité de son atomisation comme l'ex Yougoslavie par certains pays de l'UE qui en revendiquent officiellement des territoires historiques. Surtout la partie la plus préoccupante pour les russes, c'est à dire tout l'Ouest de l'Ukraine si russophobe avec ses nazillons belliqueux, ce pourrait vraiment les arranger.
Mais les russes vont prendre leur temps, ils sont méthodiques, on le voit en ce moment, ils détruisent tout ce qui reste comme DCA ukrainienne et artillerie de longue portée et de précision occidentale. Les russes préparent le terrain pour la deuxième partie du printemps afin d'avoir l'appui aérien avec eux dans le cas d'une offensive qui serait plus soutenue et surtout décisive afin de neutraliser le conflit au plus vite car on est entré dans la troisième année, cela commence à trainer en longueur pour tout le monde. Mais le calendrier reste et restera favorable à Vladimir tout au long de l'année. Donc pas de panique du côté russe.
Prendre Odessa semble un objectif nécessaire, mais il faut allonger le front de plus de 200 de km, aller de l'autre côté du Dniepr, franchir d'autres coupures humides sur le parcours. Donc les Russes ne s'y risqueront qu'une fois maître de la rive gauche du Dniepr. Une opération combinée, avec action de la marine russe exposerait trop celle-ci. Le mieux serait d'obtenir Odessa - ou des garanties sur la ville et ses approches maritimes - par négociation.
Aujourd'hui avec les européens et leurs sottises mortifères qui sont animées d'aucune stratégie, on a flingué l'Ukraine définitivement et ZELENSKY s'est mis dans un cul de sac avec ses décrets, tout est bloqué pour le moment parce que personne ne souhaite perdre la face.
Maintenant l'UE essaie de reprendre le relais derrière le masque de l'Otan en attendant que les USA décident de la suite des opérations sur le terrain et de la tournure des évènements politiques à Kiev, le tout en pleine campagne présidentielle américaine. Résultat : Rien ne se passera du côté de Washington, ils sont en train d'essayer d'éponger le lourd dossier gazaoui.
En 2024, les russes font la guerre à l'Otan directement c'est indéniable, en asséchant ses arsenaux doucement mais sûrement, cet été il ne restera plus rien à offrir à Kiev à part les avoirs russes pour faire tenir le gouvernement ukrainien enfin ce qu'il en restera. Mettre à genou l'alliance Atlantique permettrait au Kremlin d'arriver à des négociations tôt ou tard et de parvenir à leurs fins. Avec l'option Trump, le conflit armé sera terminé dans moins d'une année, mais il continuera sous une autre forme, c'est à dire de manière larvée, Etat profond américain oblige. Si c'est encore le mannequin de cire Biden avec sa bande de surexcités démocrates russophobes, c'est l'UE qui finira au fond du trou en cloutant le cercueil ukrainien.
Scholz révèle des indiscrétions en enfonçant les anglais, il se reprend un coup de manivelle avec une affaire d'espionnage le mettant en position de fragilité au sein de son gouvernement et de son peuple. On voit comment nos dirigeants sont tenus par les anglo-saxons. Les incantations européennes c'est du PIPEAU !!! C'est pas eux qui décident même quand les USA lâchent l'affaire.
Les Russes sont dans une offensive prudente mais continue sur le front le plus large possible parce que les Ukrainiens (et alii) ne peuvent les contrer efficacement sur la totalité d'un tel front, faute de personnels.
RépondreSupprimerCôté ukrainien, plus guère de positions solides sur lesquelles s'appuyer pour résister. Donc quelques contre-attaques avec ce qui reste de meilleur comme troupes et comme matériels. Ceux-ci consommés et consumés, ne restera que la retraite. Bâtir des fortifications de campagne solides sous les bombes de l'aviation russe réapparue, presque impossible. Plus de projet tactique ou stratégique. On tente de colmater quelques brèches. Effondrement au ralenti en cours.
Ce pourquoi les occidentaux agitent la lanterne avec la Transnistrie et la Moldavie ainsi que la Gagaouzie. Ils veulent que les russes se précipitent et sortent de leur zone de confort, si on peut s'exprimer ainsi, afin qu'ils fassent une erreur stratégique alors qu'ils n'ont pas encore les effectifs pour réaliser un tel enveloppement.
SupprimerC'est surtout pour exciter les russes avec Odessa qui reste un de leurs objectifs afin de sanctuariser la Crimée après le conflit.
Sans Odessa, il n'y a plus d'Ukraine sur le plan économique ce qui accroit la probabilité de son atomisation comme l'ex Yougoslavie par certains pays de l'UE qui en revendiquent officiellement des territoires historiques.
Surtout la partie la plus préoccupante pour les russes, c'est à dire tout l'Ouest de l'Ukraine si russophobe avec ses nazillons belliqueux, ce pourrait vraiment les arranger.
Mais les russes vont prendre leur temps, ils sont méthodiques, on le voit en ce moment, ils détruisent tout ce qui reste comme DCA ukrainienne et artillerie de longue portée et de précision occidentale.
Les russes préparent le terrain pour la deuxième partie du printemps afin d'avoir l'appui aérien avec eux dans le cas d'une offensive qui serait plus soutenue et surtout décisive afin de neutraliser le conflit au plus vite car on est entré dans la troisième année, cela commence à trainer en longueur pour tout le monde. Mais le calendrier reste et restera favorable à Vladimir tout au long de l'année. Donc pas de panique du côté russe.
La guerre est désormais clairement avec l'OTAN, plus avec l'Ukraine.
SupprimerPrendre Odessa semble un objectif nécessaire, mais il faut allonger le front de plus de 200 de km, aller de l'autre côté du Dniepr, franchir d'autres coupures humides sur le parcours. Donc les Russes ne s'y risqueront qu'une fois maître de la rive gauche du Dniepr. Une opération combinée, avec action de la marine russe exposerait trop celle-ci. Le mieux serait d'obtenir Odessa - ou des garanties sur la ville et ses approches maritimes - par négociation.
SupprimerAujourd'hui avec les européens et leurs sottises mortifères qui sont animées d'aucune stratégie, on a flingué l'Ukraine définitivement et ZELENSKY s'est mis dans un cul de sac avec ses décrets, tout est bloqué pour le moment parce que personne ne souhaite perdre la face.
SupprimerMaintenant l'UE essaie de reprendre le relais derrière le masque de l'Otan en attendant que les USA décident de la suite des opérations sur le terrain et de la tournure des évènements politiques à Kiev, le tout en pleine campagne présidentielle américaine.
Résultat : Rien ne se passera du côté de Washington, ils sont en train d'essayer d'éponger le lourd dossier gazaoui.
En 2024, les russes font la guerre à l'Otan directement c'est indéniable, en asséchant ses arsenaux doucement mais sûrement, cet été il ne restera plus rien à offrir à Kiev à part les avoirs russes pour faire tenir le gouvernement ukrainien enfin ce qu'il en restera.
Mettre à genou l'alliance Atlantique permettrait au Kremlin d'arriver à des négociations tôt ou tard et de parvenir à leurs fins.
Avec l'option Trump, le conflit armé sera terminé dans moins d'une année, mais il continuera sous une autre forme, c'est à dire de manière larvée,
Etat profond américain oblige.
Si c'est encore le mannequin de cire Biden avec sa bande de surexcités démocrates russophobes, c'est l'UE qui finira au fond du trou en cloutant le cercueil ukrainien.
Scholz révèle des indiscrétions en enfonçant les anglais, il se reprend un coup de manivelle avec une affaire d'espionnage le mettant en position de fragilité au sein de son gouvernement et de son peuple.
On voit comment nos dirigeants sont tenus par les anglo-saxons.
Les incantations européennes c'est du PIPEAU !!!
C'est pas eux qui décident même quand les USA lâchent l'affaire.