BULLETIN D'INFORMATION N°18 DE NOTRE WEB TV (14/05/2024)



Commentaires

  1. Merci pour ce point.
    Pierre Messmer est un ancien légionnaire qui a participé à la bataille de Narvik en 40, il fut ministre de la défense sous De Gaulle et Premier Ministre sous Pompidou, on lui doit notamment la décision concernant la création de notre parc civil électro nucléaire en réaction à la première crise pétrolière de 1973.
    Quant à Marcel Bigeard qui a fini sa carrière en tant que général de corps d'armée dans les parachutistes, il fut secrétaire d'Etat à la défense sous Giscard qui était son pote et aussi député assidu de Meurthe et Moselle.

    La poussée sur Kharkov est peut être réalisée pour prendre à revers le front Nord afin de le débloquer car les russes sont coincés derrière la rivière OSKOL, les ukrainiens tenant les hauteurs en face.

    Quant à ISRAEL, elle commence à s'enliser dans le mépris international, va falloir prendre ses distances avec son gouvernement car les derniers votes à l'ONU plaident en sa large défaveur.

    RépondreSupprimer
  2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ha bon? A l'étranger? Et où précisément ?

      Supprimer
    2. Le Kremlin avait des dossiers aussi sur PRIGOJINE pour l'envoyer en taule si besoin est, c'était pas un problème.

      Le poste de secrétaire au conseil de sécurité de la fédération de Russie est plus prestigieux que celui de ministre de la défense.

      BELOUSOV était vice premier ministre, c'est à dire le N°2 du gouvernement, il redevient simplement ministre de la défense, certes c'est en temps de conflit, cela reste un poste extrêmement important.

      Après de la corruption dans ces milieux c'est certain, avec les sommes pharaoniques engagées on peut en détourner, cela ne se voit pas directement.
      Cela va faire partie de la mission du nouveau ministre de la défense, nettoyer les écuries d'Augias.

      Supprimer
  3. Nicolai PATROUCHEV vient d'être nommé à un poste de conseiller au Kremlin.
    C'est un remaniement ministériel à la sauce chaise musicale.
    Poutine a entre 20 et 25 collaborateurs proches qui changent très peu.
    Ils lui sont fidèles et loyaux dans l'ensemble.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cela s'appelle "la continuité du pouvoir".

      M. Poutine peut être assassiné, devenir fou à lier, se lancer dans une transition transgenre, devenir réfugié politique aux USA ou à Bruxelles, cela n'aurait aucune conséquence: Son successeur et l'équipe dirigeante sont déjà désignés et opérationnels à 100%. Et continueraient à défendre les intérêts supérieurs de la Russie.

      Supprimer
    2. Dans la réalité du pouvoir moscovite, ce sont des familles qui par tradition restent dans les arcanes du pouvoir comme les diplomates pendant de grandes périodes.
      Les individus montent par la loyauté et la méritocratie envers l'Etat et bien évidemment les résultats engrangés au cours de leur carrière, jusqu'au jour où cela commencera à flancher, aucun système n'étant parfait.
      Poutine doit finir sa carrière comme sénateur à vie après ce mandat, c'est déjà programmé, donc il va choisir ou appuyer quelqu'un avant son départ de la présidence en 2030.
      Ce sont les hommes qui se chargent de la sécurité du pays qui ont les postes les plus importants. La sécurité est une obsession russe de part la taille du pays et du peu de population qui y réside.
      C'est pour cela qu'ils sortaient du KGB et maintenant du FSB.
      Après on verra l'évolution.

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés