Je viens de voir une vidéo russe sur Lampe de connaissance avec un nouveau type de char russe baptisé TSAR GRILL, c'est à dire un char anti drones bricolé à partir d'un T-72 qui ouvre la voie aux autres blindés dans les plaines ukrainiennes afin de réaliser une percée. Il possède un chalut rotatif anti mines à l'avant, il est entièrement carapaçonné avec des plaques de blindage comme on a déjà vu précédemment mais avec en plus une couche de grilles à l'extérieur le protégeant des drones FPV et des RPG dans son intégralité. Soit une double protection métallique avec certainement en plus un équipement de guerre électronique sur son toit disposé entre les deux couches de protection afin de brouiller le maximum de drones pour éviter les percussion de ceux-ci.
Mais c'est sa silhouette qui m'a interpellé. Il ressemble comme deux gouttes d'eau au char TIGRE ELEPHANT TYPE FERDINAND en le regardant par l'arrière. Ce char a été construit sur un châssis PORSCHE et était équipé d'un canon de 88mm. En effet pour la conception du char TIGRE début des années 40, HENSCHELL était en compétition avec PORSCHE pour sa réalisation. FERDINAND PORSCHE a perdu la compétition mais avait déjà sorti une bonne centaine de châssis blindé allongé pneumatique, révolutionnaire pour l'époque. On a soudé sur ces châssis une carapace blindée de forme haute et anguleuse et intégré le canon de 88mm. Mais ce char n'avait pas de tourelle pivotante, le canon oscillait de quelques degrés en azimut, comme un chasseur de chars, il fallait que le tank se positionne en s'alignant précisément sur sa cible avant de faire feu.
Je pense que les russes se replongent dans leur Histoire militaire pour sortir des équipements pareils venus d'un autre temps. Ils ont sorti des chars obusiers lourds de même acabit pendant le deuxième conflit mondial comme le SU-152 ou le prototype KV-2, ils ont un savoir faire incontestable en la matière.
Dans un article du 05 mai, NachDenkSeiten s’interroge : « Les dirigeants du Kremlin sont-ils tombés dans un « piège stratégique » avec l’invasion de l’Ukraine ? » Piège tendu par les USA. Un passage – assez latéral – m’a paru bien intéressant :
« N'est-ce pas précisément ce dont le gouvernement Poutine est accusé avec beaucoup d'émotion dans ce pays [l’Allemagne] : réagir d'une manière que l'Allemagne ne pouvait pas se permettre ? Un comportement de grande puissance, alors que la République fédérale d’Allemagne est une « petite puissance », pas même vraiment autodéterminée, mais tenue en laisse transatlantique. Sommes-nous seulement jaloux de la façon dont la Russie poursuit désormais de plus en plus rigoureusement ses intérêts nationaux, alors que leur existence est même ici niée ? »
Excellente question, et qui se pose dans rigoureusement les mêmes termes pour la France. Avec cette seule différence que la « laisse transatlantique », nos dirigeants nous l’ont passée au cou.
Les provocations occidentales en Ukraine n'avaient qu'un seul but, mettre en fragilité le pouvoir de Poutine et le positionner devant des choix cornéliens afin qu'il fasse une bourde que les occidentaux reprendront à leur compte comme prétexte.
1) Je continue à négocier avec les européens sur Minsk tout en sachant que cela ne donnera rien puisqu'il sont tenus en laisse par Washington qui n'a aucun intérêt à ce que ces accords se finalisent puisqu'il sponsorise le chaos en Ukraine depuis MAIDAN. Si rien n'aboutit, le peuple russe va me prendre pour un incapable à un moment donné car j'ai déjà résolu la crise en Tchétchénie. Pas terrible comme option sur le long terme avec un risque de décrédibilisation de sa personne à terme.
2) Je ne fais rien, alors je laisse mourir des russiens à ma frontière qui ont de la famille en Russie, ce qui provoquera des remous tôt ou tard au sein de ma population qu'il faudra bien endiguer, ce qui fragilisera ma position politique. C'est la pire des options sur le long terme, c'est du suicide politique intégral.
3) J'interviens militairement mais il faut que cela cicatrise au plus vite, car je risque de provoquer un désordre international à mon encontre et d'isoler la Russie encore plus. Mais attention, si cela ne fonctionne pas, on part dans une guerre longue contre l'Occident et je vais tôt ou tard affaiblir mon pays et ramasser la douloureuse. Pour ce faire, j'ai un plan B concernant l'économie que j'ai préparé depuis 2014 pour tenir sur la durée en cas d'un conflit qui dure. Banco je retiens cette option. On connait la suite, les occidentaux font capoter le plan de paix avec Kiev fin mars 2022. Par conséquent, les occidentaux veulent la guerre, l'agressivité du départ est dans le camp occidental, enfin anglosaxon pour être plus précis.
En réalité, Poutine n'avait que des mauvaises options dans sa besace, des situations scabreuses à régler, il était coincé avec cette affaire du Donbass avec ce restant d'Empire russe et soviétique. Maintenant il est obligé de vaincre sur le terrain et de donner une bonne leçon à tout ce petit monde à la sauce stalinienne. Il vient de décréter des manœuvres militaires avec emploi de l'arme nucléaire tactique.
Je viens de voir une vidéo russe sur Lampe de connaissance avec un nouveau type de char russe baptisé TSAR GRILL, c'est à dire un char anti drones bricolé à partir d'un T-72 qui ouvre la voie aux autres blindés dans les plaines ukrainiennes afin de réaliser une percée.
RépondreSupprimerIl possède un chalut rotatif anti mines à l'avant, il est entièrement carapaçonné avec des plaques de blindage comme on a déjà vu précédemment mais avec en plus une couche de grilles à l'extérieur le protégeant des drones FPV et des RPG dans son intégralité.
Soit une double protection métallique avec certainement en plus un équipement de guerre électronique sur son toit disposé entre les deux couches de protection afin de brouiller le maximum de drones pour éviter les percussion de ceux-ci.
Mais c'est sa silhouette qui m'a interpellé.
Il ressemble comme deux gouttes d'eau au char TIGRE ELEPHANT TYPE FERDINAND en le regardant par l'arrière.
Ce char a été construit sur un châssis PORSCHE et était équipé d'un canon de 88mm.
En effet pour la conception du char TIGRE début des années 40, HENSCHELL était en compétition avec PORSCHE pour sa réalisation.
FERDINAND PORSCHE a perdu la compétition mais avait déjà sorti une bonne centaine de châssis blindé allongé pneumatique, révolutionnaire pour l'époque.
On a soudé sur ces châssis une carapace blindée de forme haute et anguleuse et intégré le canon de 88mm.
Mais ce char n'avait pas de tourelle pivotante, le canon oscillait de quelques degrés en azimut, comme un chasseur de chars, il fallait que le tank se positionne en s'alignant précisément sur sa cible avant de faire feu.
Je pense que les russes se replongent dans leur Histoire militaire pour sortir des équipements pareils venus d'un autre temps.
Ils ont sorti des chars obusiers lourds de même acabit pendant le deuxième conflit mondial comme le SU-152 ou le prototype KV-2, ils ont un savoir faire incontestable en la matière.
Dans un article du 05 mai, NachDenkSeiten s’interroge : « Les dirigeants du Kremlin sont-ils tombés dans un « piège stratégique » avec l’invasion de l’Ukraine ? » Piège tendu par les USA. Un passage – assez latéral – m’a paru bien intéressant :
RépondreSupprimer« N'est-ce pas précisément ce dont le gouvernement Poutine est accusé avec beaucoup d'émotion dans ce pays [l’Allemagne] : réagir d'une manière que l'Allemagne ne pouvait pas se permettre ? Un comportement de grande puissance, alors que la République fédérale d’Allemagne est une « petite puissance », pas même vraiment autodéterminée, mais tenue en laisse transatlantique.
Sommes-nous seulement jaloux de la façon dont la Russie poursuit désormais de plus en plus rigoureusement ses intérêts nationaux, alors que leur existence est même ici niée ? »
Excellente question, et qui se pose dans rigoureusement les mêmes termes pour la France. Avec cette seule différence que la « laisse transatlantique », nos dirigeants nous l’ont passée au cou.
Les provocations occidentales en Ukraine n'avaient qu'un seul but, mettre en fragilité le pouvoir de Poutine et le positionner devant des choix cornéliens afin qu'il fasse une bourde que les occidentaux reprendront à leur compte comme prétexte.
Supprimer1) Je continue à négocier avec les européens sur Minsk tout en sachant que cela ne donnera rien puisqu'il sont tenus en laisse par Washington qui n'a aucun intérêt à ce que ces accords se finalisent puisqu'il sponsorise le chaos en Ukraine depuis MAIDAN.
Si rien n'aboutit, le peuple russe va me prendre pour un incapable à un moment donné car j'ai déjà résolu la crise en Tchétchénie.
Pas terrible comme option sur le long terme avec un risque de décrédibilisation de sa personne à terme.
2) Je ne fais rien, alors je laisse mourir des russiens à ma frontière qui ont de la famille en Russie, ce qui provoquera des remous tôt ou tard au sein de ma population qu'il faudra bien endiguer, ce qui fragilisera ma position politique. C'est la pire des options sur le long terme, c'est du suicide politique intégral.
3) J'interviens militairement mais il faut que cela cicatrise au plus vite, car je risque de provoquer un désordre international à mon encontre et d'isoler la Russie encore plus.
Mais attention, si cela ne fonctionne pas, on part dans une guerre longue contre l'Occident et je vais tôt ou tard affaiblir mon pays et ramasser la douloureuse.
Pour ce faire, j'ai un plan B concernant l'économie que j'ai préparé depuis 2014 pour tenir sur la durée en cas d'un conflit qui dure.
Banco je retiens cette option.
On connait la suite, les occidentaux font capoter le plan de paix avec Kiev fin mars 2022.
Par conséquent, les occidentaux veulent la guerre, l'agressivité du départ est dans le camp occidental, enfin anglosaxon pour être plus précis.
En réalité, Poutine n'avait que des mauvaises options dans sa besace, des situations scabreuses à régler, il était coincé avec cette affaire du Donbass avec ce restant d'Empire russe et soviétique.
Maintenant il est obligé de vaincre sur le terrain et de donner une bonne leçon à tout ce petit monde à la sauce stalinienne.
Il vient de décréter des manœuvres militaires avec emploi de l'arme nucléaire tactique.