Merci pour ce point. Hier, erreur de ma part, j'ai mis MARINER ONE et MARINER TWO, les hélicoptères présidentiels américains s'appellent MARINE ONE et MARINE TWO.
Ate Chuet, est revenu sur le crash de l'hélicoptère présidentiel iranien. Il s'agit bien d'un hélicoptère de fabrication américaine de type BELL 2012 bipale et non quadripale comme le BELL 412, préalablement cité. Par contre il y avait 9 personnes à bord, équipage compris !!! Le plan de vol planifié prévoyait bien de passer par le massif montagneux pour les trois hélicoptères. Quand il y a une mauvaise météo, les hélicoptères se séparent obligatoirement afin d'éviter un abordage dû à la mauvaise visibilité. Les deux autres hélicoptères ont bien réussi leurs parcours dans ces mauvaises conditions. Les capacités d'un hélicoptère sont limitées dans le mauvais temps, effectivement il ne peut pas prendre de l'altitude pour passer au dessus des nuages comme un avion. Il n' y a pas de radar sur ce type d'appareil, donc le pilote vole à vue au dessus du relief en gardant une distance de sécurité de 100 à 200 mètres malgré la brouillasse visuelle, ce n'est pas un exercice aisé. Il peut y avoir eu une ou une avarie ou une panne moteur. Un hélicoptère n'a pas de système de dégivrage, et en montagne tout peut arriver très vite avec le froid.
Mais le plus intéressant, c'est que les iraniens ont demandé de l'aide aux turcs pour les recherches, car le crash s'est déroulé tout près de leur frontière commune. Les turcs ont répondu par l'affirmatif, et ont déployé un drone BAYRAKTAR qui a survolé la zone. Au début, les turcs avaient un BAYRAKTAR armé de disponible pratiquement sur zone, mais les iraniens ont refusé, ils ont demandé un qui soit désarmé pour voler au dessus de leur territoire. Ce qui fut fait mais avec plus de délai, et c'est bien ce drone qui a trouvé l'épave.
Je vous remercie ZECHE pour votre éclairage & commentaires. Sinon, pour le Pouvoir iranien, j'ai à disposition un bon Piper L-18, c'est le bordel parce que pas de gonio, ou un Djinn... Je pense que ces aéronefs pourront faire l'affaire !!! Blague à part, je crois rêver (appareil sur lequel ils volaient ...!!!) Un tel scénario pour un film - je refuse - je dirai : " ce n'est pas crédible" ! Mais si , mais si....
La séparation lors d’un passage en IMC (Instrument meteo conditions) est une règle de base du vol en patrouille. Ce qui m’étonne c’est que le maintien des conditions du vol à vue est aussi une règle de base lorsque l’on est pas équipé avec les instruments adéquats (gyroscopiques) mais surtout radar dans les régions montagneuses. La perte des conditions (entrée dans la couche) entraîne sans cela une espérance de vie qui se compte souvent en secondes. L’hélico a toutefois l’avantage de pouvoir réduire sa vitesse horizontale jusqu’à zéro, mais le temps de merde plus le cailloux, çà demeure du sans filet.
Plus ça va, plus c'est bizarre. On en sait plus. Les 3 hélicos volaient SOUS la brume et avaient une bonne visibilité. Puis le pilote de l'hélicoptère predidentiel a ordonné soudain à tous de monter au dessus de la brume. Quelques dizaines de secondes plus tard, sans un seul appel radio, les hélicos perdent celui du président. A bord, il y a un survivant. Qui correspond avec les secours longuement avant de mourir. Il ne comprend pas ce qu'il s'est passé . Pour lui d'un coup il s'est retrouvé dans l'épave, coincé, à souffrir le martyr. Aurait il fait une syncope suivie d'une amnésie traumatique? Assez courant dans les dernières secondes avant impact d'un choc.
Merci pour ce point.
RépondreSupprimerHier, erreur de ma part, j'ai mis MARINER ONE et MARINER TWO, les hélicoptères présidentiels américains s'appellent MARINE ONE et MARINE TWO.
Ate Chuet, est revenu sur le crash de l'hélicoptère présidentiel iranien.
Il s'agit bien d'un hélicoptère de fabrication américaine de type BELL 2012 bipale et non quadripale comme le BELL 412, préalablement cité.
Par contre il y avait 9 personnes à bord, équipage compris !!!
Le plan de vol planifié prévoyait bien de passer par le massif montagneux pour les trois hélicoptères.
Quand il y a une mauvaise météo, les hélicoptères se séparent obligatoirement afin d'éviter un abordage dû à la mauvaise visibilité. Les deux autres hélicoptères ont bien réussi leurs parcours dans ces mauvaises conditions.
Les capacités d'un hélicoptère sont limitées dans le mauvais temps, effectivement il ne peut pas prendre de l'altitude pour passer au dessus des nuages comme un avion. Il n' y a pas de radar sur ce type d'appareil, donc le pilote vole à vue au dessus du relief en gardant une distance de sécurité de 100 à 200 mètres malgré la brouillasse visuelle, ce n'est pas un exercice aisé.
Il peut y avoir eu une ou une avarie ou une panne moteur.
Un hélicoptère n'a pas de système de dégivrage, et en montagne tout peut arriver très vite avec le froid.
Mais le plus intéressant, c'est que les iraniens ont demandé de l'aide aux turcs pour les recherches, car le crash s'est déroulé tout près de leur frontière commune.
Les turcs ont répondu par l'affirmatif, et ont déployé un drone BAYRAKTAR qui a survolé la zone. Au début, les turcs avaient un BAYRAKTAR armé de disponible pratiquement sur zone, mais les iraniens ont refusé, ils ont demandé un qui soit désarmé pour voler au dessus de leur territoire. Ce qui fut fait mais avec plus de délai, et c'est bien ce drone qui a trouvé l'épave.
Je vous remercie ZECHE pour votre éclairage & commentaires.
SupprimerSinon, pour le Pouvoir iranien, j'ai à disposition un bon Piper L-18, c'est le bordel parce que pas de gonio, ou un Djinn... Je pense que ces aéronefs pourront faire l'affaire !!!
Blague à part, je crois rêver (appareil sur lequel ils volaient ...!!!)
Un tel scénario pour un film - je refuse - je dirai : " ce n'est pas crédible" !
Mais si , mais si....
La séparation lors d’un passage en IMC (Instrument meteo conditions) est une règle de base du vol en patrouille.
SupprimerCe qui m’étonne c’est que le maintien des conditions du vol à vue est aussi une règle de base lorsque l’on est pas équipé avec les instruments adéquats (gyroscopiques) mais surtout radar dans les régions montagneuses.
La perte des conditions (entrée dans la couche) entraîne sans cela une espérance de vie qui se compte souvent en secondes. L’hélico a toutefois l’avantage de pouvoir réduire sa vitesse horizontale jusqu’à zéro, mais le temps de merde plus le cailloux, çà demeure du sans filet.
Plus ça va, plus c'est bizarre.
SupprimerOn en sait plus.
Les 3 hélicos volaient SOUS la brume et avaient une bonne visibilité.
Puis le pilote de l'hélicoptère predidentiel a ordonné soudain à tous de monter au dessus de la brume.
Quelques dizaines de secondes plus tard, sans un seul appel radio, les hélicos perdent celui du président.
A bord, il y a un survivant. Qui correspond avec les secours longuement avant de mourir.
Il ne comprend pas ce qu'il s'est passé . Pour lui d'un coup il s'est retrouvé dans l'épave, coincé, à souffrir le martyr. Aurait il fait une syncope suivie d'une amnésie traumatique? Assez courant dans les dernières secondes avant impact d'un choc.