Merci pour ce point. Concernant Gaza, et bien le problème est arrivé dans la campagne présidentielle américaine car Biden vient de verser 53 millions de dollars d'aides humanitaires à Gaza après avoir déversé des milliards en armement au gouvernement Netanyahou afin qu'il puisse anéantir la bande de Gaza. On voit le double standard mais surtout le malaise qui commence à poindre dans l'administration Biden et la continuité des primaires. Appliquer la technique du frein et de l'accélérateur n'apportera rien sauf un tête à queue en fin de parcours amplement mérité.
Les discours atlantistes sont de plus en plus agressifs vis à vis de la Russie. Le caillou israélien dans les bottes américaines et des dirigeants européens vient mettre le bordel dans une opération qui sentait déjà pas très bon. ça veut dire quoi? une déculottée d'ampleur cataclysmique chez les européistes et un "sauve qui peut" chez ceux qui auront le bon sens de faire volte-face, ce qui ne devrait pas poser de problème à la classe politique. Dans les milieux financiers français, le malaise est réel. Un ami avocat ayant une partie des boîtes du CAC40 dans sa clientèle vient de m'annoncer qu'il avait décidé de prendre sa retraite avec un peu d'avance et de partir avec armes et bagages s'établir dans un "petit" pays éloigné dans lequel on parle français et où l'infrastructure médicale est de bonne qualité... Quand les principaux bénéficiaires des louches de soupe changent de marmite, c'est pas bon signe...
Surtout que l'électorat démocrate jeune est massivement revulsé par l'abomination israélienne. Attention à la démographie, le soutien des USA n'est pas éternel et eu égard à ses derniers exploits Israël, sans ce soutien, est condamné.
Les 31.000 décès de l'armée ukrainienne sortis de la bouche de Zelensky ont peut être une explication absolument rationnelle. Ce chiffre correspondrait aux pensions officielles versées par Kiev depuis le début de la guerre aux familles concernées. La différence sont les portés disparus administratifs qui arrangent pour le moment le régime étant donné son moral et l'état de ses finances. Si Kiev dit 530.000 pertes comprenant 200.000 décès, des familles s'inquièteront et demanderont des éclaircissements et ensuite des réparations qui dépasseront les pensions normalement allouées. De même pour garder le contrôle des foules et ainsi éviter des soulèvements populaires, Kiev annonce une démobilisation de ceux qui sont sur le front depuis le début du conflit. En ce moment, ils ne peuvent pas dire la vérité, ce qui entrainerait un raz de marée populaire et l'effondrement du régime instantanément.
« Kiev annonce une démobilisation de ceux qui sont sur le front depuis le début du conflit. » Aussi "drôle" que les 31 000 morts. Les soldats ukrainiens sur le front depuis le début du conflit, ça doit pas faire grand monde. Les Russes les ont démobilisés en masse et radicalement. Pour reprendre une expression lue sur le blog, ils ont été démobilisés dans le royaume des taupes. Faire perdurer cette vaine tuerie, comme le veut notre président, faut manquer de contrôle moral autant que de sens des réalités pour le proposer.
Bonjour à tous. Merci encore monsieur Ferreira pour le sérieux de vos analyses, sans mentir cela fait du bien d'entendre quelqu'un qui s'efforce de réfléchir posément. Concernant la posture des pays de l'ancien bloc de de l'est, à un moment de votre vidéo vous parlez de l'ex RDA par exemple, je ne saurais que trop conseiller le chapitre trois du dernier livre d'Emmanuel Todd (je vous l'accorde dis comme ça on dirait que je conseille la lecture d'un passage de la bible😅) Sincèrement sa proposition d'explication a le mérite d'être lue afin de complexifier, je ne dis pas compliquer, notre vision des évènements.
Merci pour ce point.
RépondreSupprimerConcernant Gaza, et bien le problème est arrivé dans la campagne présidentielle américaine car Biden vient de verser 53 millions de dollars d'aides humanitaires à Gaza après avoir déversé des milliards en armement au gouvernement Netanyahou afin qu'il puisse anéantir la bande de Gaza.
On voit le double standard mais surtout le malaise qui commence à poindre dans l'administration Biden et la continuité des primaires.
Appliquer la technique du frein et de l'accélérateur n'apportera rien sauf un tête à queue en fin de parcours amplement mérité.
Les discours atlantistes sont de plus en plus agressifs vis à vis de la Russie. Le caillou israélien dans les bottes américaines et des dirigeants européens vient mettre le bordel dans une opération qui sentait déjà pas très bon.
Supprimerça veut dire quoi? une déculottée d'ampleur cataclysmique chez les européistes et un "sauve qui peut" chez ceux qui auront le bon sens de faire volte-face, ce qui ne devrait pas poser de problème à la classe politique.
Dans les milieux financiers français, le malaise est réel. Un ami avocat ayant une partie des boîtes du CAC40 dans sa clientèle vient de m'annoncer qu'il avait décidé de prendre sa retraite avec un peu d'avance et de partir avec armes et bagages s'établir dans un "petit" pays éloigné dans lequel on parle français et où l'infrastructure médicale est de bonne qualité... Quand les principaux bénéficiaires des louches de soupe changent de marmite, c'est pas bon signe...
Surtout que l'électorat démocrate jeune est massivement revulsé par l'abomination israélienne. Attention à la démographie, le soutien des USA n'est pas éternel et eu égard à ses derniers exploits Israël, sans ce soutien, est condamné.
SupprimerLes 31.000 décès de l'armée ukrainienne sortis de la bouche de Zelensky ont peut être une explication absolument rationnelle.
RépondreSupprimerCe chiffre correspondrait aux pensions officielles versées par Kiev depuis le début de la guerre aux familles concernées.
La différence sont les portés disparus administratifs qui arrangent pour le moment le régime étant donné son moral et l'état de ses finances.
Si Kiev dit 530.000 pertes comprenant 200.000 décès, des familles s'inquièteront et demanderont des éclaircissements et ensuite des réparations qui dépasseront les pensions normalement allouées.
De même pour garder le contrôle des foules et ainsi éviter des soulèvements populaires, Kiev annonce une démobilisation de ceux qui sont sur le front depuis le début du conflit. En ce moment, ils ne peuvent pas dire la vérité, ce qui entrainerait un raz de marée populaire et l'effondrement du régime instantanément.
« Kiev annonce une démobilisation de ceux qui sont sur le front depuis le début du conflit. »
SupprimerAussi "drôle" que les 31 000 morts. Les soldats ukrainiens sur le front depuis le début du conflit, ça doit pas faire grand monde. Les Russes les ont démobilisés en masse et radicalement. Pour reprendre une expression lue sur le blog, ils ont été démobilisés dans le royaume des taupes.
Faire perdurer cette vaine tuerie, comme le veut notre président, faut manquer de contrôle moral autant que de sens des réalités pour le proposer.
Bonjour résumé intéressant et merci!
RépondreSupprimerBonjour à tous. Merci encore monsieur Ferreira pour le sérieux de vos analyses, sans mentir cela fait du bien d'entendre quelqu'un qui s'efforce de réfléchir posément. Concernant la posture des pays de l'ancien bloc de de l'est, à un moment de votre vidéo vous parlez de l'ex RDA par exemple, je ne saurais que trop conseiller le chapitre trois du dernier livre d'Emmanuel Todd (je vous l'accorde dis comme ça on dirait que je conseille la lecture d'un passage de la bible😅) Sincèrement sa proposition d'explication a le mérite d'être lue afin de complexifier, je ne dis pas compliquer, notre vision des évènements.
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