Ukraine : analyse de Douglas Mcgregor le 1er juillet 2023 (PBD)


 

Commentaires

  1. Douglas Mcgregor une personne qui peut exister grâce à la liberté d'expression aux USA.
    Entretien réaliste sur la situation ukrainienne et sur le monde.

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    1. Et pour ceux qui ne connaisse pas le globish , la nouvelle langue franca ou si vous voulez le nouveau latin on fait comment pour comprendre cet entretien ?

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    2. Le traducteur aide.
      Mais il faut avoir l'oreille en même temps c'est mieux.
      Faut avoir pratiquer l'anglais dans un pays anglophone, seul et encore il faut s'adapter à l'accent américain, faut faire travailler ton oreille, cela prend du temps.
      On comprend un peu près les 3/4.
      Je l'ai écouté des heures et maintenant son intonation commence à m'être familière pour décrypter assez efficacement.

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    3. Comme vous, l’oreille se refait un peu à l’usage, même si plus de deux heures d’attention soutenue, perso je dois faire un break.
      Côté accent et diction, j’ai entendu bien pire que ce soit de texans ou de Gallois…😀😀😀

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    4. Pour ce qui est du fond, je le trouve sensé et sans ambages. J’ai aussi éte très intéressé par la conférence de Lombardi relayée ici vendredi dernier, même si l’on peut considérer un certain parti pris, l’exposé des relations Russie Moyen Orient est très instructive.

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    5. La conférence de Lombardi était vraiment bien, il a juste oublié de mentionner que l'Arabie Saoudite avait demandé aux USA à plusieurs reprises de lui fournir l'arme atomique, ce qui lui avait toujours été refusé par l'oncle Sam. Parce qu'elle se sentait coincée entre l'Iran et l'Israël tous deux détenteurs de la puissance de l'atome. Ce pourquoi l'Occident a tenté une médiation sous Obama afin de maîtriser les essais nucléaires iraniens. Ensuite Trump arrive fout tout parterre avec l'Iran, déchire le contrat, et donc est obligé de faire un geste pour l'Arabie Saoudite, ce pourquoi il la réconcilie avec l'Etat hébreu. Maintenant tout a rechangé, faut tout refaire.

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    6. à l'attention de MM. Zeche et Cyclopede,
      Bonsoir Messieurs,
      Pardonnez-moi, mais votre réponse, l'un comme l'autre, à la remarque posée un peu plus haut par Anonyme n'est pas satisfaisante.
      Je le cite (= ce jour à 17h53) : " Et pour ceux qui ne connaissent pas le globish, la nouvelle langue franca ou si vous voulez le nouveau latin on fait comment pour comprendre cet entretien ?"
      Il me semble que si vous êtes, l'un comme l'autre, dans la capacité de comprendre l'anglais (le vrai, par exemple celui de Mc Gregor), et ou celui qui est sans doute baragouiné dans la plupart des autres vidéos, il serait judicieux que certains parmi vous se dévouent pour résumer en quelques lignes ce qu'ils ont retenu (ou compris) de la vidéo concernée. Et ce pour les autres qui en ont besoin : de fait des exclus, dont Anonyme et votre serviteur.
      Je constate donc, et sans aucune surprise, que je ne suis pas le seul à ne rien comprendre de ces vidéos en anglo-machin, que d'ailleurs je n'ouvre plus du tout.
      Mais les commentaires, à propos de quelque chose dont on ignore tout, ne suffisent pas.
      Je constate aussi que M. Sylvain Ferreira, le responsable de ce blogue, ne m'a pas répondu lorsque je m'adressais à lui le 24 juin dernier à 11h53 sur ce sujet. Ou bien son message m'a échappé, et dans ce cas qu'il veuille bien me pardonner.
      Mais peut-être que c'est d'abord mon commentaire qui lui a échappé, il figurait sur cette page http://siteveillestrategique.blogspot.com/2023/06/russie-quoi-joue-la-smp-wagner-24-juin.html#comments

      Par avance merci à tous pour votre indulgence, et surtout pour votre compréhension.

      Dernier point et tout particulièrement à l'attention de Sylvain: il me semble qu'un résumé en français au-dessous de chaque vidéo en English (une dizaine de lignes devraient suffire, du moins pour commencer) augmenterait sacrément la visibilité de votre blogue. Mais ce n'est que mon avis. Mais je ne pense pas dire de sottises...
      Enfin, je ne reviendrai plus sur ce sujet : je m'y engage.
      Bien cordialement.

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    7. Bonjour à tous, Sylvain avait déjà répondu sur ce type de question, idem lorsqu'il était encor e dans "vu du droit", il fallait des moyens, du temps et des volontaires, à ce moment précis la chaîne pouvait espérer se développer et le faire dans un temps plus ou moins court.
      Sinon l'accent et la prononciation comptent pour beaucoup.
      Mc Gregor est très audible, Jackson Hinckle aussi (il a sa chaîne et c'est un pro Poutine, assez juste, d'ailleurs) par contre un Andreï Martyanov parfaitement anglophone est inaudible en anglais.
      Il y avait suite au coup prémédité ou non de Prigozhine une discussion à trois Martianov , Larry Johnson et Mc Govern. Difficilement compréhensible dans son entièreté .
      Alors que Martyanov a écrit de bons livres en anglais tout à fait compréhensible.
      Donc pour commencé la compréhension d'un discours, à condition qu'il soit bien construit, c'est de commencé par lire de l'anglais et l'apprivoiser . En plus c'est nécessaire pour avoir des informations diversifiées et approfondies . Sinon il faut aussi lire aussi des écrits bien ficelés. L'anglais sinon, américain et aussi international c'est abâtardit déjà à l'oral dans sa formulation mais aussi dans sa pensée, et cela aussi touche l'écrit et donc la pensé; l'argumentaire se fait à coup de lance pierre, assez frustre autant dans le titre des reportages tv mais aussi dans des articles de presse d'information continue sur le net ou non, mais aussi dans la dite grande presse, argument simpliste .

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    8. cher Mr Thierry
      Votre question est parfaitement pertinente.
      Les réponses de ceux qui vous conseillent de prêter attention sont totalement ineptes, essayent ils de faire de même avec Xi Jinping en VO?
      Par contre il me semble que vous ne savez pas qu'il faut aller dans paramètres (le symbole en forme de roue dentée ou d'engrenage en bas à droite de la vidéo), cliquez sur sous titres et choisir la langue de ceux ci, c'est tout!
      Bonne journée

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    9. Vous auriez d'ailleurs bien tort de ne pas écouter (ou lire, la traduction est lisible dans l'ensemble même si les noms propres dérapent dans tous les sens) cette interview, elle est passionnante et le bonhomme est nanti d'une culture protéiforme, historique, militaire, politique, sociologique, etc...et non dénué d'humour et de répartie, celle en retour à celui qui voulait le flatter sur ses degrés d'études (Phd relations internationales) est assez radicale!

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    10. Pour mr Cyclopède, à propos des accents une anecdote.
      Le pire accent dérivé de l'anglais auquel j'ai du faire face était celui d'un mineur d'une mine d'or en Australie occidentale qui faisait le guide pour un petit groupe de touristes dont nous étions les seuls étrangers (ma femme et moi), la visite se passe, le guide est franchement incompréhensible, nous ressortons, et tous les autres membres du groupe, australiens donc, se tournent vers nous et nous posent la question qui les taraudaient tous, avez vous compris quelque chose? nous prudents, euh non pas grand chose, et eux de rire en cœur, ne vous en faites pas, nous non plus!!!!
      Histoire véridique bien sur.

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    11. Je suis allé travailler en Australie, je confirme, il vous faut deux mois, complètement immergé dans l'ambiance 24/24 pour commencer à comprendre et à vous initier dans les conversations. Le néozélandais est plus fiable, le sudafricain aussi, l'écossais cela peut passer, mais les USA cela dépend où vous êtes, la Californie ok, m

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    12. Thierry, on peut faire des résumés, mais résumer deux heures treize, c'est chaud.
      Quand ce sont de petites vidéos, c'est largement faisable.

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    13. Bonjour, j'ai vécu le même genre d'anecdote il y a une quinzaine d'années à Lorient en visitant le terre-neuva Gustave Pleven en famille.
      Le guide, un grand gaillard de la cinquantaine , ancien matelot du bateau, avait une ressemblance étonnante avec Sean Connery. Mais un français pitoyable avec un accent totalement incompréhensible.
      Durant toute la visite, avec mon épouse et les enfants d'abord puis avec nos compagnons impromptus de visite, nous avons essayé de déceler l'origine nationale de ce marin. Roumain? Bulgare? Turc? Roulant terriblement les rrrrr, adepte de bi et même triphtongues impénétrables, quelques mots épars de français non pas châtié mais cruellement torturé, écartelé, empalé. Affreux et terrifiant sabyre auquel tout les visiteurs acquiesaient doctement par politesse mais jetaient des regards éperdus alentour dés que le vaillant matelot tournait le dos pour pointer un ustensile dont l'utilité évidemment nous échappait.
      Ereintés à la fin de la visite, je demandais avidement à la caissière qu'elle était donc l'origine du brave homme entouré des regards gourmands de nos compagnons d'infortune.
      La réponse tomba, comme un couperet, sur nos supputations exotiques:
      -Port Saint Louis
      - certes, mais Port Saint Louis où, dans quelle île ?
      - ha ben d'ici, Port Saint Louis, à Lorient.
      Un tantinet agacé je répliquait :
      - pardon, en fait, je ne souhaitais pas savoir où il habitait mais d'où il venait.
      - Ben voui, j'ai bien compris. Il est d'ici, un pur Breton.

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    14. Cela fonctionne toujours avec les vrais autochtones du quartier.
      Après avoir séjourné plus de 4 mois en Australie, ayant acquis un niveau correct de cet anglais d'hémisphère Sud, on me présenta un solide gaillard australien qui s'appelait Duncan avec lequel je devais passer l'après midi à enfoncer des piquets. La solitude me prit dès qu'il ouvrit la bouche, un véritable calvaire qui dura des heures et des heures.
      Et puis dans l'Aveyron, de véritables occitans, le parlant tout le temps entre eux, me parlèrent en français de leur métier jadis.
      Toujours incapable à ce jour de vous communiquer l'exacte nature de leur profession.
      Mon sourire poli me sauva de mon inculture linguistique locale.
      Un peu plus tard, je fis la connaissance d'un anthropologue spécialisé en langue occitane, qui commença à m'éclairer sur ces anciens métiers locaux.
      J'avais eu besoin d'un traducteur dans mon propre pays, et bien si cela existe.

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