Ukraine : un officier ukrainien évoque les tactiques de la SMP Wagner (South Front)


 

Source : https://southfront.org/in-video-ukrainian-commander-describes-combat-tricks-of-wagner-fighters/

Commentaires

  1. Le coup des chiens c'est surprenant. Par contre, on voit bien que le brouillage électronique russe fonctionne à plein sur l'artillerie ukrainienne.
    L'artillerie russe fait le gros du boulot pour leur permettre d'avancer en évitant le maximum de pertes.
    Wagner est en relation constante avec l'armée et les unités d'artillerie russes.
    Les colères de Prigojine, c'est du bluff !!!

    D'ailleurs, WAGNER ne possède pas d'unité de Pantsir-M officiellement;
    Qu'est ce que foutaient ces camions de DCA dans son cortège de rébellion ?
    C'est bien eux qui ont tiré sur des hélicos russes et des avions.
    Encore une preuve que tout cela était de la mise en scène qui a dérapé à un moment donné.

    Par contre, on peut remarquer que les russes n'installent pas de réels sièges sur les villes à prendre, sur aucune d'ailleurs, ils ne les encerclent jamais complètement.
    Ils forment une pince puis ils stoppent, ils contrôlent tout avec leur artillerie, et ensuite ils laissent aux ukrainiens la priorité d'attaquer pour mieux les recevoir.
    Bakhmout était un cas un peu spécial car Zelensky s'est baladé avec le drapeau de la ville le 28 décembre dernier à Washington en faisant d'elle une ville martyre.
    La com' cela coûte cher.

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  2. L’économiste américain Jeffrey Sachs explique exactement pourquoi les américains ont provoqué cette guerre.

    https://www.youtube.com/watch?v=e4V0PWeX3jA

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    1. Montage sonore et diction très étrange dans cette discussion, à se demander si il n’y a pas de l’IA derrière…

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    2. On ne peut vivre en se méfiant de tout, et pourtant.

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    3. Je trouve juste la présentation très étrange, cela n’enlève rien au propos, mais tout comme je fait la part entre un direct et un différé, je la fait entre une fluidité dans une interview et du travail qui ressemble, pour comparer à l’image, plus à du photoshop que du raw data.

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    4. Le type qui en parle n'a pas de séquelles de cette expérience, il raconte une histoire qui peut paraitre banale, pas trop dépité non plus.
      Mais après pas expert de la langue ukrainienne et j'étais pas sur place.

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